Enmars prochain, le remake live-action d’Alice au Pays des Merveilles cĂ©lĂ©brera son onziĂšme anniversaire.RĂ©alisĂ© par le gĂ©ant Tim Burton, ce film a rencontrĂ© un immense succĂšs qui a permis Ă  Disney de rĂ©adapter de plus en plus ses grands classiques animĂ©s. Tim Burton a rĂ©ussi Ă  mĂ©langer l’univers de l’Ɠuvre de Lewis Caroll avec le sien, le tout

ï»żAlice Alice Kingsleigh est une jeune femme de 19 ans qui s’interroge sur son avenir. D’un caractĂšre indĂ©pendant, elle se sent piĂ©gĂ©e dans le monde Ă©triquĂ© qui est celui des femmes de l’aristocratie londonienne de l’époque victorienne. Les rĂȘves d’Alice sont bien difĂ©rents des attentes de ceux qui l’entourent. Elle va rencontrer sa vraie destinĂ©e Ă  Underland, un endroit qu’elle avait dĂ©jĂ  visitĂ© lorsqu’elle Ă©tait enfant et qu’elle avait appelĂ© Wonderland, le Pays des Merveilles. Elle ne se souvient ni d’Underland, ni de ses habitants, ce qui ne l’empĂȘche pas de retrouver ses amis, dont Absolem la Chenille, Chess, le Chat, Tweedledee et Tweedledum, et bien sĂ»r le Chapelier croit ĂȘtre en train de rĂȘver, il est impossible qu’elle grandisse et rapetisse ainsi tout le temps... Mais quand elle se retrouve face Ă  des crĂ©atures qui n’ont rien d’amical et qu’on lui demande de dĂ©fendre ce pays extraordinaire, elle n’est pas sĂ»re d’ĂȘtre Ă  la hauteur... Le personnage d'Alice est jouĂ© par Mia Wasikowska© Disney A voir Ă©galement Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLe Chapelier Fou Non seulement le Chapelier Fou ne dissimule pas ses sentiments, mais on peut lire facilement son humeur changeante sur son visage et dans sa attendait impatiemment le retour d’Alice et il est sans doute son meilleur ami, car il a foi en elle envers et contre tout. Il est courageux, et fera tout pour protĂ©ger la jeune ille, jusqu’à risquer sa propre autrefois le chapelier de la Reine Blanche et il exerçait son mĂ©tier avec iertĂ©, mais il soufre d’une intoxication au mercure - un redoutable effet secondaire du procĂ©dĂ© de fabrication des chapeaux - et il n’est plus tout Ă  fait lui-mĂȘme... Le personnage du ChapelierFou est jouĂ© par Johnny Depp explique “J’ai toujours vu le Chapelier comme un personnage tragique. Il est, sous bien des aspects, une victime. Le mercure l’a empoisonnĂ©, c’est certain, mais cette version de l’histoire lui donne aussi un passĂ© dramatique qui pĂšse lourdement sur le personnage.”© Disney A voir Ă©galement Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLa Reine RougeIracebeth est la tyrannique souveraine d’Underland. Ce personnage est la rencontre de la Reine de Coeur d’“Alice au Pays des Merveilles” et de la Reine Rouge de “De l’autre cĂŽtĂ© du miroir”. Avec son Ă©norme tĂȘte, son tempĂ©rament colĂ©rique et sa manie de faire couper la tĂȘte Ă  tout le monde, elle fait rĂ©gner la terreur sur ses sujets. Sa jeune soeur, la Reine Blanche, espĂšre remonter sur le trĂŽne et reprendre la couronne qu’Iracebeth lui a volĂ©e autrefois.>Le personnage de La Reine Rouge est jouĂ© par Helena Bonham Carter© Disney A voir Ă©galement Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLa Reine BlancheMirana, la reine Blanche est la jeune soeur de la Reine Rouge. Son apparence douce et lumineuse cache aussi certains aspects plus Alice revient Ă  Underland, la Reine Blanche la prend sous son aile et lui offre sa protection, mais ses motivations profondes ne sont pas complĂštement altruistes... Le personnage de la Reine Blanche est jouĂ© par Anne Hathaway explique “AprĂšs tout, elle et la Reine Rouge ont certains gĂšnes en commun ! Mirana est trĂšs attirĂ©e par sa propre part d’ombre, mais elle a trop peur de s’y aventurer et fait en sorte que tout paraisse lĂ©ger et joyeux. Elle craint constamment de perdre le contrĂŽle d’elle-mĂȘme.”© Disney A voir Ă©galement Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLe Chat du Cheshire Ce chat tigrĂ© tirĂ© Ă  quatre Ă©pingles a le pouvoir d’apparaĂźtre et de disparaĂźtre Ă  volontĂ©. D’un calme Ă  toute Ă©preuve et d’une sensualitĂ© nonchalante, il arbore un sourire sĂ©ducteur qui masque sa lĂąchetĂ©. C’est d’abord la tĂȘte dĂ©sincarnĂ©e de ce matou qui apparaĂźt Ă  Alice dans le bois de Tulgey, aprĂšs qu’elle a Ă©tĂ© attaquĂ©e par le vicieux Bandersnatch. Le Chat propose de purifier les blessures de son bras en les lĂ©chant. Alice refuse, mais lui permet de la conduire jusqu’au thĂ© donnĂ© par le Chapelier. Celui-ci reproche au Chat d’avoir fui le jour oĂč la Reine Rouge a pris le pouvoir Ă  utilisant ses talents et le trĂšs convoitĂ© chapeau du Chapelier, Chessur finira par trouver le moyen de se racheter...© Disney A voir Ă©galement Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesTweedledee et TweedledumCes deux frĂšres jumeaux rondelets ne sont jamais d’accord, et leur drĂŽle de façon de parler n’a de sens que pour arrive Ă  Underland, elle leur demande de la guider. Innocents, enfantins et charmants, ils veulent bien faire mais leur aide n’est pas trĂšs eicace parce qu’ils parlent un langage bizarre et incomprĂ©hensible oĂč se mĂ©langent rythmes et devinettes. Les personnages de Tweedledee et Tweedledum sont tous les deux jouĂ©s par Matt Lucas. Matt Lucas, le comĂ©dien britannique qui les incarne tous les deux, explique “Je me suis dit que les Tweedles n’avaient jamais rencontrĂ© d’humain avant Alice. Ils sont trĂšs curieux Ă  son sujet. À leurs yeux, c’est Alice qui est un ĂȘtre bizarre, tout le reste est normal. Le Pays des Merveilles est leur normalitĂ©. Une chenille qui parle, c’est normal. Une jeune fille, c’est tout Ă  fait inhabituel !”© Disney A voir Ă©galement Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLe LoirMallymkun, la souris portant une culotte de cheval, est prompte Ă  se battre Ă  l’épĂ©e. Elle refuse de croire que le Lapin Blanc a ramenĂ© la vĂ©ritable Alice, celle qui pourrait rendre Ă  Underland sa splendeur d’ est ravie de piquer la pauvre Alice Ă  la cheville avec une Ă©pingle Ă  chapeau lorsque la jeune fille croit ĂȘtre en train de rĂȘver. Mais cette dure Ă  cuire va prouver son courage lorsqu’Alice est menacĂ©e par le terrible Bandersnatch. La loyautĂ© de Mallymkun envers le Chapelier est sans Ă©gale, et elle est prĂȘte Ă  afronter la mort pour rester Ă  ses cĂŽtĂ©s.© Disney A voir Ă©galement Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLe LiĂšvreC’est chez le LiĂšvre de Mars qu’ont lieu les thĂ©s donnĂ©s par le Chapelier Fou. ParanoĂŻaque, angoissĂ© et lĂ©gĂšrement dĂ©rangĂ©, il se tord constamment les pattes et les oreilles et il a tendance Ă  lancer sur tout le monde des thĂ©iĂšres et d’autres objets !Il aime faire la cuisine et il est l’un des rares habitants d’Underland Ă  avoir Ă©chappĂ© aux grifes de la Reine Rouge.© Disney A voir Ă©galement Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLa chenilleAbsolem la Chenille sait tout. C’est le gardien absolu de l’Oraculum, un trĂšs ancien document qui dĂ©peint tous les Ă©vĂ©nements majeurs passĂ©s, prĂ©sents ou Ă  venir de l’histoire d’Underland. Mac Twisp, Le Lapin Blanc, Tweedledee et Tweedledum emmĂšnent Alice voir Absolem pour qu’il puisse se prononcer est-elle oui ou non la vĂ©ritable Alice, celle qui est dĂ©jĂ  venue Ă  Underland lorsqu’elle Ă©tait enfant, et dont le destin est de les aider ?Alice et ses compagnons trouvent la Chenille bleue confortablement installĂ©e sur un champignon, au coeur d’une forĂȘt de champignons, environnĂ©e par un nuage de fumĂ©e. Absolem pousse Alice Ă  mieux comprendre qui elle est vraiment en l’obligeant Ă  affronter cette question difficile “Qui es-tu ?”© Disney A voir Ă©galement Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLe Lapin BlancMcTwisp est toujours en retard, toujours pressĂ©, toujours en train de courir. ChargĂ© de retrouver Alice et de la ramener Ă  Underland pour qu’elle puisse accomplir sa destinĂ©e, il se montre Ă  la garden-party pour attirer la jeune ille et la faire tomber dans le terrier qui mĂšne Ă  Underland. Michael Sheen, voix originale du Lapin Blanc dĂ©clare “Le Lapin Blanc est un personnage chaleureux, mais qui peut aussi se montrer tatillon et strict avec Alice. Il a du ressort, une Ă©nergie toute de nervositĂ©, et il a toujours l’impression d’ĂȘtre en retard. Le temps est trĂšs important pour lui, mais il sait aussi se montrer courageux quand il le faut.”© DisneyA voir Ă©galement Alice au Pays des Merveilles le film Coloriage Alice au Pays des Merveilles
Sinspirant du film de Tim Burton tout en inventant un nouveau conte basĂ© sur l'univers de Lewis Carroll, Alice aux Pays des Merveilles de Disney va faire dĂ©border votre imagination sur Nintendo DS. Retenez votre souffle et aventurez-vous dans le terrier du lapin pour rejoindre l'ArriĂšre-Pays, un monde extraordinaire et saugrenu bourrĂ© de personnages RĂ©alisateur Tim Burton Genre Fantastique Titre Original Alice in Wonderland Synopsis Alice, dĂ©sormais ĂągĂ©e de 19 ans, retourne dans le monde fantastique qu'elle a dĂ©couvert quand elle Ă©tait enfant. Elle y retrouve ses amis le Lapin Blanc, Bonnet Blanc et Blanc Bonnet, le Loir, la Chenille, le Chat du Cheshire et, bien entendu, le Chapelier Fou. Alice s'embarque alors dans une aventure extraordinaire oĂč elle accomplira son destin mettre fin au rĂšgne de terreur de la Reine Rouge. Lewis Carroll, auteur fantasmagorique du XIXe siĂšcle. Tim Burton, cinĂ©aste fantastique du XXIe siĂšcle. TĂŽt ou tard, ces deux-lĂ  devaient se rencontrer. C'est dĂ©sormais chose faite, avec l'adaptation sur grand Ă©cran d'"Alice au pays des merveilles" sortie mercredi dans les salles en France. "Alice au pays des merveilles" Tim Burton rejoint Lewis Carroll de l'autre cĂŽtĂ© du miroir Pour "Charlie et la chocolaterie" de Roald Dahl, le rĂ©alisateur amĂ©ricain s'Ă©tait attachĂ© Ă  une adaptation au millimĂštre prĂšs, mais cette fois, il prend des libertĂ©s avec deux des oeuvres les plus connues de Lewis Caroll, "Alice au pays des merveilles" 1865 et "De l'autre cĂŽtĂ© du miroir" 1871. Du coup, il s'approprie pleinement l'univers dĂ©jantĂ© de l'auteur britannique pour y distiller sa propre vision, Ă  la fois expressionniste et gothique. Enfant, Alice rĂȘve d'un monde Ă©trange, peuplĂ© de crĂ©atures inquiĂ©tantes... Une rĂȘve rĂ©current qu'elle a bien du mal Ă  oublier... Devenue adulte ou presque, elle ne se rappelle plus rien oubliĂ©s le chat du Cheshire, Absolem la chenille ou la Reine rouge. A 19 ans, la jeune Alice Mia Wasikowska s'apprĂȘte Ă  entrer dans le monde elle est promise Ă  un jeune lord, un "beau parti" comme on dit dans les milieux nobles de la sociĂ©tĂ© victorienne... DĂ©sormais il lui faut ĂȘtre sage, tenir son rang, quitte Ă  devenir collet-montĂ© comme son futur promis et ses beaux-parents. Seulement Alice doute. Elle rĂ©siste. Au nom de ses rĂȘves d'enfant. Quitte Ă  s'enfuir loin et retourner dans ce monde fantastique qu'elle avait dĂ©couvert quand elle Ă©tait enfant. Elle y retrouve le Lapin Blanc, Bonnet Blanc et Blanc Bonnet, le Loir, Absolem la Chenille voix d'Alan Rickman, le Chat du Cheshire voix de Stephen Fry et, bien entendu, le Chapelier Fou Johnny Depp. Une impression de dĂ©jĂ  vu... De vieux souvenirs resurgissent et petit Ă  petit, Alice change. Elle grandit, elle rapetisse et s'embarque dans une aventure extraordinaire pour accomplir son destin mettre fin au rĂšgne de terreur de la mĂ©chante Reine Rouge Helena Bonham Carter et de son Valet de Coeur Crispin Glover. Pour atteindre son objectif et faire triompher la Reine Blanche Anne Hathaway, elle devra affronter le terrifiant Jabberwocky Christopher Lee... "Je voulais raconter cette histoire d'une nouvelle façon car aucune des adaptations cinĂ©ma ne m'a jamais vraiment plu. Je voulais transposer Ă  l'Ă©cran l'imagerie que cette histoire a créée en moi", explique Tim Burton. Une imagerie sombre et saugrenue, servie par de superbes dĂ©cors et costumes et une magnifique galerie de personnages, qu'ils soient rĂ©els ou animĂ©s... Et si Johnny Depp et Mia Wasikowska incarnent parfaitement leurs rĂŽles, c'est Helena Bonham Carter qui sĂ©duit le plus, dans son incarnation de la Reine Rouge, si mĂ©chante, si complexĂ©e et si amoureuse... Pour les besoins du rĂŽle, sa tĂȘte a d'ailleurs Ă©tĂ© retouchĂ©e par ordinateur pour ĂȘtre deux fois plus grosse qu'en rĂ©alitĂ©, sans compter la sĂ©ance de maquillage journalier. "Cela prenait trois heures, mais j'adore ĂȘtre royale", confie-t-elle. "Le problĂšme, c'est que comme elle n'arrĂȘte pas de hurler, je perdais ma voix presque tous les jours vers 10h... 'Qu'on lui coupe la tĂȘte! Qu'on lui coupe la tĂȘte! C'Ă©tait vraiment Ă©puisant toutes ces colĂšres!" De retour aux studios Disney aprĂšs trente ans d'absence -il y avait dĂ©butĂ©!- Tim Burton, lui, a Ă©galement travaillĂ© avec de grosses contraintes techniques, sans compter l'usage de la technologie 3D. C'est peut-ĂȘtre le seul bĂ©mol du film l'apport de la 3D reste mineur, davantage un effet de mode qu'un rĂ©el choix cinĂ©matographique. Toujours est-il que le film fait un carton en trois semaines d'exploitation aux Etats-Unis, "Alice" a rapportĂ© un pactole de plus de 265 millions Ă  son distributeur Walt Disney Enstreaming Au cinĂ©ma Salto et prochainement Alice au Pays des merveilles. Tim Burton ne dĂ©laisse par pour autant le registre parodique et
© 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. 2019-12-05 À la tĂ©lĂ©vision ce soir et en streaming Alice de l’autre cĂŽtĂ© du miroir Alice Through the Looking Glass, 2016 de James Bobin avec Mia Wasikowska, Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Sacha Baron Cohen, Anne Hathaway, Rhys Ifans, Matt Lucas et Ed Speleers. Ce film est la suite d’Alice au pays des merveilles 2010, l’adaptation Ă  succĂšs du cĂ©lĂšbre roman de Lewis Carroll par Tim Burton. DĂ©couvrez infos, images, bande annonce et extrait de ce long mĂ©trage diffusĂ© sur W9 le jeudi 5 dĂ©cembre 2019. Synopsis Quand Alice se rĂ©veille au Pays des Merveilles, elle doit aller dans un nouveau monde mystĂ©rieux afin de rĂ©cupĂ©rer un sceptre magique qui pourrait arrĂȘter le MaĂźtre du Temps avant qu’il avance l’horloge et transforme le Pays des Merveilles en un monde sans vie. Soutenue par Mirana la Reine Blanche, Alice va tout faire pour empĂȘcher le MaĂźtre du Temps de remettre sa sƓur, la Reine Rouge sur le trĂŽne. Alice de l’autre cĂŽtĂ© du miroir les images du film © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. © 2016 Disney Enterprises, Inc. All Rights Reserved. Pour le long mĂ©trage Alice de l’autre cĂŽtĂ© du miroir, nouvelle adaptation en live-action de l’Ɠuvre de Lewis Carroll par les studios Disney, Tim Burton cĂšde sa place Ă  la rĂ©alisation Ă  James Bobin Flight of the Conchords, Les Muppets, le retour mais reste Ă  la production. Alice de l’Autre CĂŽtĂ© du Miroir est Ă©galement le dernier film oĂč a jouĂ© Alan Rickman, dĂ©cĂ©dĂ© le 14 janvier 2016. Johnny Depp et Mia Wasikowska y sont toujours prĂ©sents dans les rĂŽles d’Alice et du Chapelier Fou ainsi que Helena Bonham Carter dans le rĂŽle de La Reine Rouge. Et de nouveaux acteurs y font leur apparition Sacha Baron Cohen Borat, leçons culturelles sur l’AmĂ©rique au profit glorieuse nation Kazakhstan, Hugo Cabret dans le rĂŽle du mĂ©chant Le Temps et Rhys Ifans Good Morning England, Elementary dans celui du pĂšre du Chapelier Fou. La bande annonce du film DĂ©couvrez ci-dessous la bande annonce finale du film Alice de l’autre cĂŽtĂ© du miroir et un extrait avec Alice et le Chapelier fou. En savoir plus Alice de l’autre cĂŽtĂ© du miroir est diffusĂ© sur W9 et en streaming sur 6play le jeudi 5 dĂ©cembre 2019 Ă  21h05 Alice de l’autre cĂŽtĂ© du miroir a Ă©tĂ© diffusĂ© sur M6 le jeudi 1er novembre 2018 Ă  21h Film Ă  partir de 8 ans À propos Articles rĂ©cents Accro aux films, aux piĂšces de théùtre, aux sĂ©ries et Ă  la culture en gĂ©nĂ©ral, j'aime les Ɠuvres qui me 3 CinĂ©ma "À bout de souffle" 1960, "Blade Runner" 1982, "Casablanca" 1942Top 3 TV "Engrenages" 2005-..., "The Wire" 2002-2008, "Twin Peaks" 1990-1991
Anecdotes Les Aventures d'Alice au pays des merveilles (Alice's Adventures in Wonderland), frĂ©quemment abrĂ©gĂ© en Alice au pays des merveilles, est une Ɠuvre de littĂ©rature enfantine Ă©crite par Charles Lutwidge Dodgson, sous le
A travers cette liste, dĂ©couvrez les personnages du film Alice au pays des merveilles avec pour chacun son histoire et des images. Commençonspar le commencement (c'est toujours mieux), Alice au pays des merveilles est-il Alice au p. Les NĂ©ophytes de l'Art. Vous souhaitez rĂ©agir Ă  ce message ? CrĂ©ez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. Les NĂ©ophytes de l'Art . Accueil ; Portail ; Radio ; S'enregistrer ; Connexion -50% Le deal Ă  ne pas rater : Plaque de cuisson Manga news > Manga > SĂ©rie > Alice au pays des merveilles - Disney > Alice au pays des merveilles - Disney - IntĂ©grale Volume » Fiche News Editions Images Coms1 JP Title ケăƒȘă‚čă‚€ăƒłăƒŻăƒłăƒ€ăƒŒăƒ©ăƒłăƒ‰ Translated Title Alice in wonderland By ABE Jun With ABE Jun , BURTON Tim Traducteur CITROEN Laetitia Publisher FR Pika Collection Shonen Type Shonen Genre Comedie, Fantastique Publisher JP KĂŽdansha Release date 01 June 2016 Illustration 328 pages n&b + couleurs
Lemardi 5 mars prochain dÚs 20h50 M6 diffusera pour la premiÚre fois en clair à la télévision le film Alice au pays des merveilles réalisé par Tim Burton. Lors de sa sortie en mars 2010 il

Alice Kingsley Mia Wasikowska is, unbeknownst to her, on her way to her engagement party. Turns out this is the famous Alice who 13 years earlier ventured in to Wonderland. Surely there is a creative reason to pull her back into the zany world. Nope, she merely felt the urge to chase a rabbit who himself was seeking to fulfill a prophecy. And so, Alice in roped back into the world of fantasy/ you've seen anything at all on this movie, then the strengths are obvious. It's Disney, it's CGI loaded, it's in 3D. Everything visual is well appointed with lavish detail. It makes me wonder if director Tim Burton is better suited as a set designer since he is always given projects for his vision. I recall a time where his vision wasn't hampered by the concepts of others, at time when his films were so wholly original that nothing else compared, and sadly he's been stuck in a limbo of "revisions" for a a girl who can't remember anything, Alice is never surprised. She sees giant creatures, she shrinks, flies on a hat, all without a yelp. The first person to blame would be Burton, since Wasikowska lacks leading experience. Still I wonder what's going through her head when she decided to play Alice as oppressively jaded. Outside the last ten minutes, she's the antithesis of Dorothy. Having a protagonist who's so down trodden in a beautiful world is Depp. You pay the man and he'll do his thing. I can't tell you that his character, The Mad Hatter, is an original. I'm sure it's a combination of other Depp figurines. With the Hatter he has carte blanche to do anything, anything at all, and somehow be considered in character. It doesn't matter that he's periodically possessed by a Scotsman—he's in character and he's Johnny Depp so it must be fantastic, right? More amusing are Helena Bonham Carter and Crispin Glover, the latter of whom you wouldn't White Queen Anne Hathaway was in position to be the most complex element of the film. I suppose her role is to assume power in the event that her sister is dethroned. For a character who talks a big game of peace, she sure does mix together an abhorrent potion to return Alice to normal size. Despite repeatedly saying she represents good, I didn't see any evidence. Toes would have been crushed I'm sure, but the vibe from Anne's portrayal suggested that she wanted to be the calculating can't tell you how stupid this movie made me feel. For some reason it figured a major plot point would be found in determining the identity of Alice. If you are seated in the theatre watching a film called Alice in Wonderland you will not be surprised to find that the lead character of Alice is indeed the very same mentioned in the title. Why we spend most of the film getting to this conclusion feels like an attempt to recreate Hook. By the end you realize that Alice is the problem with Wonderland. In the 13 years she's been gone, her friends seem to be in good health despite the Red Queen reigning over the land. Why are they looking for her now? The Red Queen was in power this whole time and they seem to be in good shape, but when Alice gets there the queen challenges them. I suppose she's just as upset to have such a lifeless young girl in her land. I for one am disenchanted.

Aliceau Pays des Merveilles - Tim Burton - Trailer n°3. 6nĂ©'Web. 3:00. Le Tapis rouge d'Alice au pays des merveilles avec Tim Burton ! TĂ©lĂ© 7 Jours. 1:49. Alice au Pays des Merveilles - Tim Burton - Trailer n°2. 6nĂ©'Web. 2:35. Le tapis rouge de Alice au Pays des Merveilles de TIm Burton. 3:27. Tim Burton Interview 5: Alice au Pays des Alice » 1988, un film de Jan Svankmajer L'univers onirique des Aventures d'Alice au pays des merveilles 1865 de Lewis Carroll et les transformations subies par son hĂ©roĂŻne ont inspirĂ© depuis les dĂ©buts du cinĂ©ma de nombreux rĂ©alisateurs1. C'est surtout la version animĂ©e de Walt Disney 1951, calquĂ©e sur la narration originale mais fortement dĂ©pouillĂ©e de sa portĂ©e critique, qui consacre la popularitĂ© d'Alice. Soixante ans plus tard, en 2010, Tim Burton rĂ©alise une adaptation contemporaine produite et distribuĂ©e par Walt Disney Pictures oĂč Alice, devenue une belle jeune femme de dix-neuf ans, retourne au pays des merveilles et traverse une sĂ©rie d'Ă©preuves qui culminent dans la conquĂȘte de son Ă©mancipation. Entre ces deux pĂ©riodes, le rĂ©alisateur tchĂšque Jan Svankmajer nous livre en 1988 une Ă©trange pĂ©pite cinĂ©matographique avec son premier long mĂ©trage Alice ou Quelque chose d'Alice d'aprĂšs la traduction originale rĂ©compensĂ© Meilleur film d'animation au Festival d'Annecy » l'annĂ©e suivante. Librement inspirĂ© du conte original tout en en conservant l'esprit contestataire, le film se distingue radicalement des adaptations moralisatrices et stĂ©rĂ©otypĂ©es de Disney et de Burton2 aussi bien par sa forme hybride, mĂ©lange de prises de vue rĂ©elle et d'animation stop motion, que par ses intentions. Si le rĂȘve occupe une place centrale dans les trois versions, elles ne s'en emparent ni ne l'incarnent de la mĂȘme maniĂšre. Lisse et plutĂŽt rassurant dans les versions de Disney et de Burton, le rĂȘve se dĂ©ploie essentiellement comme un joyeux divertissement, prĂ©texte aux multiples rencontres et pĂ©ripĂ©ties de la protagoniste, et sert de contexte Ă  l'Ă©loge de la conformitĂ© Ă  l'ordre social Ă©tabli. Dans celle de Svankmajer, en revanche, les Ă©preuves que la protagoniste traverse durant son voyage onirique rĂ©vĂšlent le versant obscur du pays des merveilles, le coin sombre de l'inconscient oĂč se nichent les traumas archaĂŻques et se jouent les tensions entre la vie et la mort. Ils renvoient Ă  l'expĂ©rience primordiale de la vie in utero que le rĂ©alisateur exprime par une poĂ©tique de la tactilitĂ© fondĂ©e sur la conviction que l'expĂ©rience du corps est plus fondamentale que celle du regard, car le sens du toucher est antĂ©rieur Ă  celui de la vue. Le film va se dĂ©velopper selon la logique du rĂȘve, territoire intermĂ©diaire entre la rĂ©alitĂ© et l'inconscient, dont la porositĂ© sera rĂ©vĂ©lĂ©e par un dispositif technique qui fait coexister la prise de vue rĂ©elle et l'animation stop motion. En mĂȘme temps, le rĂȘve va prendre littĂ©ralement corps selon la logique de la gestation, lieu de mĂ©tamorphoses et de transformations aboutissant Ă  la naissance d'un corps nouveau, celui d'une Alice Ă©mancipĂ©e du pouvoir tyrannique et oppressant de la reine des cƓurs. L'hypothĂšse de la gestation se justifie Ă©galement par la position particuliĂšre qu'occupe Alice dans le film et qui incarne la spĂ©cificitĂ© du songe protagoniste de son propre rĂȘve, elle en est aussi la gĂ©nĂ©ratrice, ce qui lui confĂšre un rĂŽle actif et absolu dans la construction du chemin vers la conquĂȘte de sa propre autonomie. Dans ce sens, la dĂ©marche subversive du film rĂ©side d’abord dans sa singularitĂ© esthĂ©tique et dans son apprĂ©hension de la matiĂšre onirique comme terrain de l'expression de l'imaginaire et de la libertĂ©; mais il s'agit aussi d'un propos idĂ©ologique qui se fonde sur l'expĂ©rience de la censure et de l'oppression dont Jan Svankmajer fut victime dans les annĂ©es 1970. Selon lui, sa dĂ©marche artistique consiste Ă  reconnaĂźtre et Ă  lĂ©gitimer la place que l'irrationnel occupe dans l'esprit humain », car face au conformisme dominant et Ă  la rĂ©pression qu'exerce la dictature de la rationalitĂ©, l'imagination est seule capable de subversion parce qu'elle proclame le possible contre le rĂ©el »3. RĂ©pression et transgressions À l'instar de l’Ɠuvre originale, le film s'ouvre sur un paysage bucolique traversĂ© par une riviĂšre qui nous conduit vers Alice. Assise aux cĂŽtĂ©s de sa grande sƓur plongĂ©e dans la lecture d'un livre, elle lance des pierres Ă  l'eau pour tromper l'ennui. Sans y parvenir, elle tente de perturber la lecture de sa grande sƓur qui l'en empĂȘche en lui donnant une Ă©nergique tape sur la main. Acte de rĂ©pression symbolisant une forme de pouvoir, la violence du toucher, mis en Ă©vidence par les gros plans visuel et sonore, produit chez la fillette une Ă©motion proche de l'agacement qui va motiver la gestation onirique. Alice narratrice prĂȘte sa voix Ă  tous les personnages qui peuplent le territoire onirique, comme si chacun Ă©tait l'incarnation des pulsions, souvenirs et angoisses logĂ©s dans son inconscient Le regard fixe d'Alice tournĂ© vers la camĂ©ra dĂ©voile, en creux, le dĂ©fi de la protagoniste face Ă  son inadĂ©quation au monde qui l'entoure. Il annonce une premiĂšre transgression, symbolique, produite par la rupture du contrat narratif rĂ©aliste, c'est-Ă -dire l'entorse aux rĂšgles classiques du cinĂ©ma. La brĂšche ainsi provoquĂ©e dans le dispositif cinĂ©matographique rĂ©vĂšle l'existence d'une Alice narratrice, se situant Ă  l'extĂ©rieur de la diĂ©gĂšse de son propre rĂȘve et reprĂ©sentĂ©e par un trĂšs gros plan de sa bouche. L'insert apparaĂźt de maniĂšre rĂ©currente tout le long du film et participe d'une certaine maniĂšre Ă  la reconstitution du corps d'Alice qui substitue Ă  ses yeux les images du rĂȘve, et restitue sa bouche par l'intermĂ©diaire de l'insert. Alice narratrice prĂȘte sa voix Ă  tous les personnages qui peuplent le territoire onirique, comme si chacun Ă©tait l'incarnation des pulsions, souvenirs et angoisses logĂ©s dans son inconscient. À la fois spectatrice, protagoniste et narratrice de son propre rĂȘve, Alice est investie d'une forme de pouvoir d'agir sur son propre destin comme sur le spectateur qu'elle sollicite Ă  ĂȘtre actif. De fait, dans le gĂ©nĂ©rique du film, elle l'invite Ă  Ă©couter son histoire et Ă  la vivre en fermant les yeux car autrement il ne verra rien. À la fois annonce du regard intĂ©rieur qu'impose le principe du rĂȘve et de l'introspection, la demande de fermer les yeux prĂ©pare aussi au renoncement – certes paradoxal – Ă  convoquer la vue comme le sens principal permettant de regarder le film, pour lui substituer celui du toucher. À l'instar de ses expĂ©riences de toucher aveugle que le rĂ©alisateur a effectuĂ© afin de saisir le contenu sensible des objets, le film fait appel Ă  leur caractĂšre tactile comme façon de reprĂ©senter les Ă©motions que les matiĂšres inspirent, façonnant ainsi les ressentis des personnages. Les effets synesthĂ©siques sont produits par le recours systĂ©matique au gros plan Ă©vocateur des Ă©tats Ă©motionnels d'Alice et de la nature subjective du rĂȘve. Transition et rĂȘv-eil » Dans la chambre d'Alice, sorte d'Ă©trange cabinet de curiositĂ©s, chaque recoin livre une collection de jouets et d'objets Ă©tranges usĂ©s par le temps. Les gros plans d'un trognon de pomme, de mouches mortes, de vieux bocaux de confiture ou d'un piĂšge Ă  rat, suggĂšrent l'inquiĂ©tante Ă©trangetĂ© de l'univers fantastique et transgressif de l'enfance. C'est d'abord par le son, puis par l'image, que nous dĂ©couvrons Alice en train de lancer des petits cailloux dans une tasse de thĂ©. EntourĂ©e de ses deux poupĂ©es, la scĂšne agit comme une rĂ©miniscence de celle du bord de la riviĂšre et anticipe les personnages et les objets qui apparaĂźtront dans le rĂȘve. Elle rappelle que le rĂȘve se nourrit de la rĂ©alitĂ©, et inversement. Entre l'un et l'autre il n'existe pas de passages logiques », mais un infime mouvement physique celui de fermer ou d'ouvrir les paupiĂšres »4. Le basculement du rĂ©el vers le monde onirique survient sans transition visible ni effets spectaculaires. L'insert du gros plan de la lampe grĂ©sillante de sa chambre, tel un lĂ©ger battement de cils, sĂ©pare le monde rĂ©el d'Alice endormie de celui du rĂȘve oĂč, encore assoupie, elle se laisse surprendre par un bruit de craquement suggĂ©rant une prĂ©sence. En mĂȘme temps que le spectateur, la fillette dĂ©couvre Ă©bahie le rĂ©veil du lapin taxiderme dans sa cage en verre. Animal mort mais statufiĂ©, il est rĂ©animĂ© par la magie de l'animation et le souffle du surrĂ©alisme. Pour le rĂ©alisateur, l'animation est une opĂ©ration magique qui permet de donner vie aux choses mortes et aux objets inertes. Porteurs d'une vie intĂ©rieure, ils sont aussi les tĂ©moins de diverses histoires qui se sont inscrites en eux. Ils ont Ă©tĂ© touchĂ©s par des personnes qui se trouvaient dans diverses situations, sous le coup de diverses Ă©motions et qui ont laissĂ© en eux une trace de leurs Ă©tats psychiques »5. La succession de gros plans et de trĂšs gros plans du lapin dĂ©voilent la matiĂšre tourmentĂ©e » qui le compose. Ils font ressortir ses textures le pelage, la sciure de bois qui s'Ă©chappe de son ventre, les clous accrochĂ©s Ă  ses pattes oĂč se sont accumulĂ©es de mystĂ©rieuses Ă©motions qui renvoient aux inquiĂ©tudes refoulĂ©es d'Alice, comme si elles Ă©taient devenues palpables. Cette expĂ©rience du corps, centrale dans le cinĂ©ma de Jan Svankmajer, se manifeste par l'Ă©vocation tactile. Un toucher dont la mĂ©moire permet de se reconnecter avec les replis les plus enfouis de l'inconscient, libĂ©rant ainsi une imagination pure, subversive et libĂ©ratrice. LibĂ©rĂ© du socle qui le maintient prisonnier, le lapin blanc dĂ©terre un tiroir oĂč sont rangĂ©s veston et couvre-chef en velours rouge, gants et collerette dentelĂ©e qu'il enfile consciencieusement. Il brise ensuite la cage de verre avec une paire de ciseaux et s'Ă©chappe vers un champ labourĂ©, continuitĂ© surrĂ©aliste de la chambre d'Alice et antichambre de l'Ă©vasion onirique de la fillette. IntermĂ©diaire entre l'animĂ© et l'inanimĂ©, le rĂȘve et la rĂ©alitĂ©, la vie et la mort, le lapin blanc devient le guide Ă©trange et inquiĂ©tant qui va conduire Alice dans les trĂ©fonds d'un territoire onirique contenu dans l'espace polymorphe de sa chambre. StructurĂ© Ă  la maniĂšre de poupĂ©es russes, l'espace de la chambre contient d'autres espaces altĂ©rĂ©s par exemple, la petite demeure en blocs de bois du lapin posĂ©e sur la table de la chambre d'Alice, elle-mĂȘme une chambre Ă  part entiĂšre oĂč Alice aura du mal Ă  s'incorporer. In utero Le voyage d'Alice au pays des songes peut ĂȘtre assimilĂ© Ă  un retour Ă  la matrice pour mieux renaĂźtre. Si les rĂ©fĂ©rences visuelles du film ne se rapportent pas explicitement aux fonctions du corps des femmes, c'est au mouvement descendant d'Alice, Ă  la tactilitĂ© des images et aux mĂ©tamorphoses qu'elle subit par la suite que l'on peut associer l'allusion Ă  la gestation. En effet, dans la matrice le sens du toucher est bien celui qui s'Ă©veille en premier lieu, suivi de celui du goĂ»t. La vue Ă©tant le sens qui se dĂ©veloppe le dernier. Ce n'est donc pas un hasard si le film porte Ă©galement sur l'inextinguible curiositĂ© gustative d'Alice, comme lorsqu'elle goĂ»te la sciure de bois dont le lapin blanc s'alimente, qu'elle boit l'encre qui la fait rapetisser ou qu'elle mange des petits morceaux de bois qui agissent sur la taille des objets dans la deuxiĂšme partie du film. Lorsque Alice atterrit dans un monte-charges en pleine descente, toutes sortes d'objets Ă©tranges disposĂ©s sur des Ă©tagĂšres comme dans un cabinet de curiositĂ©s dĂ©filent devant ses yeux vieux jouets, bocaux de confiture infestĂ©s de punaises, fossiles, bocaux aux contenances organiques et bestiaire fantastique. Toutes ces choses sont les incarnations des angoisses primordiales vĂ©cues dans le temps in utero, prĂ©-historique, oĂč se jouent aussi les tensions entre la vie et la mort. Lorsqu'elle arrive au bout de la descente, Alice perce littĂ©ralement le plafond, Ă©voquant ainsi le moment de la naissance. Cependant, au lieu de sortir vers le monde extĂ©rieur, elle s'enfonce dans les trĂ©fonds de son subconscient. MĂ©tamorphoses du corps et re-naissance MĂ©taphore de la dualitĂ© vie-mort, la permĂ©abilitĂ© entre l'animĂ© et l'inanimĂ© est rendue possible par la coexistence entre l'animation et la prise de vue rĂ©elle, un des fondements de la dĂ©marche artistique du rĂ©alisateur. InfluencĂ©e par le surrĂ©alisme, elle s'inscrit dans une rĂ©flexion critique et subversive Ă  l'Ă©gard d'une logique rationnelle dont les normes limitent la crĂ©ativitĂ© et la libertĂ©. Cette permĂ©abilitĂ© s'incarne principalement dans le corps d'Alice Ă  travers les mĂ©tamorphoses qu'il subit par les possibilitĂ©s de l'animation. Ainsi, dans la scĂšne des larmes, elle est trop grande pour passer par la porte minuscule de la piĂšce. AprĂšs avoir bu l'encre, elle finit par rapetisser mais sa petite taille ne lui permet pas d'accĂ©der Ă  la clĂ© posĂ©e sur la table devenue trop haute. Passant brusquement de l'Ă©tat de fillette en chair et en os Ă  celui de petite poupĂ©e, les transformations de son corps rĂ©vĂšlent son inadaptation aux lois d'un monde protĂ©iforme et hostile, subtile allĂ©gorie de l'oppression d'un systĂšme sur l'individu. Du point de vue de la rĂ©ception spectatorielle, l'inadaptation d'Alice trouve sa correspondance dans le trouble qu'Ă©prouve le spectateur Ă  s'identifier au corps brusquement changeant de la protagoniste. Le corps d'Alice est aussi l'objet de toutes sortes d'agressions de la part des personnages qui peuplent le monde du rĂȘve le petit rat qui s'installe sur sa tĂȘte pour y planter des piquets, le lapin blanc qui prodigue des coups de pagaie, ou la violence verbale de la reine des cƓurs portĂ©e par un obsessionnel et impitoyable coupez-lui la tĂȘte », qui semble renvoyer Ă  la fragmentation du corps d'Alice narratrice. Dans le cinĂ©ma de Svankmajer, la crĂ©ation passe par la violence et la destruction des corps voir par exemple son court mĂ©trage Les possibilitĂ©s du dialogue, 1982, c'est Ă  dire de la matiĂšre, pour aboutir Ă  une forme de re-naissance rĂ©vĂ©latrice de la transformation. Ainsi, la scĂšne oĂč le lapin blanc et sa cohorte d'Ă©tranges squelettes habillĂ©s en costumes prĂ©cieux s'en prennent Ă  Alice devenue poupĂ©e et l'agressent violemment. SuggĂ©rant une forme d'agression sexuelle, le viol onirique dont elle fait l'objet culmine au moment oĂč Alice est intimĂ©e de grimper sur une planchette donnant sur un chaudron rempli d'un liquide blanc. SacrifiĂ©e par ces pirates morts-vivants sur la planche du supplice, elle en ressort transformĂ©e en un corps gigantesque et rigide, pĂ©trifiĂ© par le sort qui lui a Ă©tĂ© rĂ©servĂ©. La tension entre la prise de vue rĂ©elle et l'animation, entre l'animĂ© et l'inanimĂ©, la vie et la mort apparaĂźt lorsque les yeux de la grande poupĂ©e en plĂątre laissent entrevoir ceux, inquiets, de la petite fille bien en chair et en os qui y est dissimulĂ©e, rĂ©sumant en une seule image la portĂ©e et la puissance de l'enjeu du corps. AprĂšs maints efforts, Alice parvient Ă  briser l'enveloppe plĂątrĂ©e qui la tient prisonniĂšre. Cette re-naissance aboutit Ă  la derniĂšre transformation d'Alice, qui est Ă  la fois d'ordre physique et psychique. Redevenue rĂ©elle, elle ne retournera plus Ă  son Ă©tat de poupĂ©e, comme si sa transition vers un nouvel Ă©tat sa re-naissance s'Ă©tait enfin accomplie. EnfermĂ©e dans une sorte de cave garde-manger, elle observe, surprise, tout autour d'elle, les bocaux apparus lors de la descente en monte-charges. AnimĂ©e par la curiositĂ© qui la caractĂ©rise, elle dĂ©couvre avec frayeur des objets du quotidien dĂ©tournĂ©s de leur banale nature, tels le pain soudain criblĂ© de clous, les Ɠufs donnant naissance Ă  des petits squelettes de poussin, la chair animĂ©e ou encore la boĂźte en mĂ©tal qui livre une colonie de cafards. Le surrĂ©alisme tactile se couple au fantastique animĂ© pour produire le cauchemar cathartique qui lui ouvrira les portes vers l'autonomie. Émancipation LibĂ©rĂ©e de ses peurs, Alice n'est plus en proie aux transformations physiques qu'elle avait subies jusque-lĂ . Bien que le monde du rĂȘve soit toujours agressif et violent Ă  son Ă©gard, qu'elle est Ă  chaque fois dĂ©routĂ©e par l'univers singulier et le comportement fantasque des personnages qu'elle rencontre, elle s'affirme dĂ©sormais en agissant sur le monde qui l'entoure, en le transformant Ă  son tour, voire en lui redonnant vie. AprĂšs sa visite chez la chenille-chaussette, elle reçoit deux petits bouts de bois qui lui permettent d'agrandir les objets auxquels elle s'adresse. Ainsi, la scĂšne oĂč elle agrandit » la minuscule maison d'oĂč s'Ă©chappent les cris monstrueusement aigus d'un bĂ©bĂ© invisible qui se rĂ©vĂšle ĂȘtre un cochon. Plus avant, lorsque la Reine des CƓurs lui propose de jouer au croquet, le maillet en forme de flamand rose qu'Alice tient entre ses mains devient oiseau, et la boule piquĂ©e d'Ă©pingles se transforme en hĂ©risson, comme si l'Ăąme des objets inertes reprenait vie, renvoyant Ă  la tension entre la vie et la mort qui traverse l'oeuvre. Quelle tĂȘte trancher alors qu'Alice est elle-mĂȘme tous les personnages cauchemardesques qui ont peuplĂ© son rĂȘve, et que son rĂ©veil est un refus de mourir ? À la fin du film, Alice parvient Ă  dĂ©fier le Roi et la Reine des CƓurs lors du procĂšs final en transgressant leurs lois absurdes par la subversion, affirmant de cette maniĂšre son Ă©mancipation. Mais la punition s'accomplit d'une bien curieuse maniĂšre quelle tĂȘte trancher alors qu'Alice est elle-mĂȘme tous les personnages cauchemardesques qui ont peuplĂ© son rĂȘve, et que son rĂ©veil est un refus de mourir ? Alice ouvre les yeux. Elle scrute tous les recoins de sa chambre et s'aperçoit avec stupeur que la cage en verre du lapin blanc est brisĂ©e et qu'il a disparu. AprĂšs s'ĂȘtre saisie d'une paire de ciseaux, elle prononce ces mots il est en retard, comme toujours. Je crois que cette fois-ci je vais lui couper la tĂȘte ». Elle mĂȘme reine es cƓurs, elle jette un trouble qui ne permet pas de trancher si elle est vĂ©ritablement sortie du rĂȘve ou si le rĂȘve et la rĂ©alitĂ© ne font qu'un. Jusqu'au bout, Alice narratrice aura agi sur le spectateur en tirant les ficelles de son propre rĂ©cit. Conclusion GrĂące Ă  un dispositif qui combine animation stop motion et prise de vue rĂ©elle, Jan Svankmajer s'empare du fantastique et du surrĂ©alisme pour se glisser dans la logique et la structure du rĂȘve et explorer les recoins les plus profonds de l'inconscient, lĂ  oĂč sont tapis les reliquats de l'enfance. Il constitue un chemin d'introspection - mĂ©thode privilĂ©giĂ©e des surrĂ©alistes – installĂ© sur le territoire inquiĂ©tant et violent du cauchemar dont l'enjeu se situe au cƓur mĂȘme de sa propre matiĂšre le dĂ©sir, les obsessions et les angoisses les plus refoulĂ©s en tant que forces crĂ©atives et transformatrices de l'enfance. FertilisĂ© par l'imagination, le territoire du rĂȘve libĂšre les Ă©nergies occultes et mystĂ©rieuses qui se matĂ©rialisent dans la tactilitĂ© de la matiĂšre. Cette esthĂ©tique cinĂ©matographique s'attache Ă  rĂ©vĂ©ler le cachĂ©, l'irrationnel, l'imagination Ă  travers la texture et la surface matĂ©rielle des choses et des objets. RĂ©cit Ă  tiroirs, au propre comme au figurĂ©, il se donne Ă  voir Ă  la maniĂšre d'un vĂ©ritable cabinet de curiositĂ©s qui engage l'inquiĂ©tante hĂ©roĂŻne – et le spectateur inquiet – dans un rituel d'initiation duquel elle ressort mĂ©tamorphosĂ©e. Si le film ne contient pas de message proprement et ouvertement fĂ©ministe, il s'empare des figures associĂ©es au corps fĂ©minin en tant que symbole de subversion par rapport Ă  l'ordre Ă©tabli. Contrairement aux images consensuelles de la version de Walt Disney, oĂč Alice traverse le monde des songes avec la lĂ©gĂšretĂ© d'un bon rĂȘve, celles de Jan Svankmajer se caractĂ©risent par leurs textures brutes, crues, proches du cauchemar, qu'Alice accepte de confronter. Son univers onirique n'a rien de la douceur ni de la candeur que l'on attribue habituellement aux fillettes. Il est traversĂ© par des pulsions et des dĂ©sirs enfouis, violents, incarnĂ©s par des objets et des personnages inquiĂ©tants. Le parcours d'introspection d'Alice coĂŻncide avec le chemin utĂ©rin initiatique, oĂč l'expression des dĂ©sirs et des angoisses les plus refoulĂ©es, proches de l'Ă©rotisme par exemple le liquide blanc dans la scĂšne de la grande poupĂ©e en plĂątre qui rappelle le liquide sĂ©minal, se rĂ©vĂšle Ă  travers la tactilitĂ© des crĂ©atures et des objets qui peuplent le rĂȘve. VĂ©ritablement actrice de son propre destin, l'Alice de Jan Svankmajer est dotĂ©e d'un pouvoir d'agir – forgĂ© par son imagination dĂ©bridĂ©e et renforcĂ© par son rĂŽle Ă  la fois de narratrice et de protagoniste de son propre rĂȘve – qui lui assure la conquĂȘte de son Ă©mancipation. Ce n'est pas vraiment le cas de l'hĂ©roĂŻne de Tim Burton, en dĂ©pit des ambitions du rĂ©cit, des objectifs et des caractĂ©ristiques du personnage. La jeune Alice est dĂ©terminĂ©e Ă  se battre contre un destin vouĂ© Ă  un mariage qu'elle ne souhaite pas. Le chemin qu'elle se promet de suivre pour changer le cours de sa vie est essentiellement inspirĂ© par ses mentors masculins le Chapelier fou, le pĂšre et la chenille, dĂ©tenteurs de sagesse et de savoir, qui lui donnent les clĂ©s de son Ă©mancipation, alors que les figures fĂ©minines du film – la Reine des CƓurs et sa sƓur la Reine Blanche – incarnent les archĂ©types des comportements traditionnellement attribuĂ©s aux femmes laideur, hystĂ©rie, jalousie chez l'une ; beautĂ©, grĂące, gentillesse et altruisme chez l'autre. Laissant une place secondaire au rĂȘve et Ă  sa symbolique tout en le magnifiant visuellement par le recours Ă  une technologie de pointe, la version de Tim Burton assure et reproduit, sous couvert de contestation, la place du modĂšle dominant. Dans cette perspective, Alice se positionne comme une critique plus large, une rĂ©flexion plus universelle qui entend exprimer son opposition Ă  la tyrannie de la conformitĂ©, et sollicite Ă  chaque instant la place et la reconnaissance de l'imagination comme territoire de libertĂ©. Pour Jan Svankmajer le diktat et la logique du marchĂ© imposent la diversion commerciale au dĂ©triment de la crĂ©ation artistique authentique. Selon ses propres mots, cette civilisation ne compte pas sur les rĂȘves car ceux-ci ne peuvent ĂȘtre commercialisĂ©s. » Poursuivre la lecture territoires du fĂ©minin, Jan Svankmajer Cayetana CarriĂłn, Le Labyrinthe de Pan PorositĂ© des mondes, PorositĂ© des genres » dans Le Rayon Vert, 22 mai 2018. Cayetana CarriĂłn, La Femme des sables Le Mythe de Sisyphe Ă  l’ùre atomique » dans Le Rayon Vert, 10 novembre 2017. Francesco Rimini, Insectes Le Testament de Jan Svankmajer » dans Le Rayon Vert, 11 mai 2018.
Aliceau Pays des Merveilles (2010) film en streaming complet Alice, désormais ùgée de 19 ans, retourne dans le monde fantastique qu'elle a découvert quand elle était enfant. Elle y retrouve ses amis le Lapin Blanc, Bonnet Blanc et Blanc Bonnet, le Loir, la Chenille, le Chat du Cheshire et, bien entendu, le Chapelier Fou.
18 avril 2010 7 18 /04 /avril /2010 2012 Il y a quelques jours, en compagnie d’amies et de mon fiston, nous sommes allĂ©s voir le dernier Tim Burton. J’avoue que je suis adepte de ses films qu’ils soient d’animation ou non. C’est un univers particulier loin des sentiers habituels, sombres et mystĂ©rieux, Ă  l’humour lĂ©gĂšrement noir. Une ambiance. Je ne sais pas exactement d’oĂč lui est venu l’inspiration ; j’avais entendu parler De l’autre cĂŽtĂ© du miroir mais comme je ne l’ai pas lu, je ne saurais dire. Evidemment, nous y retrouvons les personnages connus du livre d’origine, les situations absurdes et insensĂ©es, les transformations de l’environnement et de la jeune fille au hasard des circonstances. Alice est devenue une jeune fille de 19 ans. Son pĂšre est dĂ©cĂ©dĂ© et sa mĂšre espĂšre la marier Ă  un lord pour assurer son avenir ; cependant, ce lord est affreusement guindĂ©, froid, pĂ©dant, laid. Alice est perdue. Elle s’échappe de la grande cĂ©rĂ©monie de demande en mariage en suivant le lapin blanc. AprĂšs sa chute entre les racines d’un arbre, elle arrive dans le pays des merveilles oĂč une Alice est attendue pour le sauver de la tyrannie de la reine rouge. Bien que niant ĂȘtre cette sauveuse, elle est entrainĂ©e dans l’aventure et retrouve avec d’étranges sensations des personnages qu’elle reconnait dont en particulier le chapelier fou. Entre les histoires racontĂ©es par son pĂšre dans son enfance et cette aventure, elle divague. Finalement, elle remplit sa mission aprĂšs de nombreuses pĂ©ripĂ©ties et retourne dans le monde rĂ©el pour refuser le mariage et devenir l’associĂ© de feu son pĂšre qui aurait dĂ» ĂȘtre son beau-pĂšre. Si je raconte la fin, c’est parce que j’ai trouvĂ© rocambolesque cette appropriation moderne d’une histoire de l’époque victorienne. La jeune fille qui bouleverse les plans de vie qui lui Ă©taient destinĂ©s pour devenir une sorte d’aventuriĂšre, c’est un thĂšme trĂšs contemporain. Qui aurait osĂ© imaginer pareille revirement du temps de Lewis Carroll ? Le livre d’origine est donc une base sur laquelle une aventure aux valeurs actuelles se dĂ©veloppe. En outre, les jeux de mots si particuliers de l’original n’apparaissent nullement dans les dialogues ou les situations de ce film. Autant le dire alors, c’est une interprĂ©tation visuelle d’Alice par Tim Burton. Variation dĂ©licieuse nĂ©anmoins puisque j’aime ces ambiances, variation donc pour les adeptes de cette esthĂ©tique. Dans les arbres, les dĂ©cors, certains personnages grotesques, j’ai vu Les noces funĂšbres et L’étrange NoĂ«l de Monsieur Jack. Dans le personnage du chevalier noir au service de la reine rouge, j’ai vu Sleepy Hollow ; dans les personnages cocasses, Charlie et la Chocolaterie. Dans le plan d’entrĂ©e sur la scĂšne de bataille, Beetlejuice. Dans l’univers de la reine blanche, des Ă©chos d’Edward aux mains d’argent. En bref, un synopsis de la filmographie de Tim Burton. Avec la 3D, c’est un lĂ©ger plus pour donner de la profondeur au dĂ©cor, je ne pense pas cependant que ce soit indispensable ; tout est si chargĂ© et opulent qu’il y a suffisamment Ă  regarder sur divers plans, en divers visionnages normalement. La conclusion est somme toute traditionnelle avec cette Alice renversant les rĂšgles de la vie rĂ©elle grĂące Ă  la force que lui donne son imagination dĂ©veloppĂ©e dans le pays de merveilles. L’esthĂ©tisme est travaillĂ© gracieusement, Tim Burton s’éclate, se lĂąche grĂące aux possibilitĂ©s d’étrangetĂ© offertes par l’Ɠuvre originale et la technique actuelle du cinĂ©ma. Les personnages en particulier sont richement caractĂ©risĂ©s et mĂ©ritent d’ĂȘtre vus et revus. Dommage que ces dĂ©cors opulents, ces costumes recherchĂ©s et enlevĂ©s, ces personnages atypiques, cet immense travail d’orfĂšvre servent une narration stĂ©rĂ©otypĂ©e. Je ne suis pas certaine que ce film me marquera parce qu’il y manque un soupçon d’originalitĂ©... est- ce lĂ  le contrĂŽle de Disney ? Tant pis, j’aurais prĂ©fĂ©rĂ© plus d’audace sur le fond et pas uniquement sur la forme. Published by fĂ©e des agrumes - dans CulturĂ©e
Aliceau pays des merveilles - Disney - IntĂ©grale (ケăƒȘă‚čă‚€ăƒłăƒŻăƒłăƒ€ăƒŒăƒ©ăƒłăƒ‰) est un manga shonen de ABE Jun publiĂ© le 01 Juin 2016 par Pika -
Alice au Pays des Merveilles News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Box Office RĂ©compenses Films similaires Service proposĂ© par Jeune fille curieuse, aimable mais dissipĂ©e, Alice est prĂȘte Ă  tout pour sortir de son quotidien mortellement ennuyeux. MĂȘme Ă  suivre un Ă©trange lapin blanc... Spectateurs 3,3 46334 notes dont 3486 critiques Pour visionner ce film, louez, achetez ou abonnez-vous Ă  une offre de l'un des services suivants Ă  la location Canal VOD Louer Ă  2,99 € - SD Louer Ă  3,99 € - HD VIVA Louer Ă  2,99 € - HD PremiereMax Louer Ă  2,99 € - HD Orange Louer Ă  2,99 € - SD Louer Ă  3,99 € - HD Ă  l'achat Orange Acheter Ă  11,99 € - SD Acheter Ă  13,99 € - HD PremiereMax Acheter Ă  11,99 € - HD Canal VOD Acheter Ă  13,99 € - SD Acheter Ă  16,99 € - HD VIVA Acheter Ă  11,99 € - HD
\n alice au pays des merveilles streaming tim burton
Aliceau Pays des Merveilles T02 de Tim Burton et Jun Abe 3 Poche Alice im Wunderland-Steelbook-la-Limitierte [Blu-Ray] [Import] 4 298 Blu-ray 43,28€ Recevez-le samedi 23 juillet Livraison GRATUITE par Amazon Il ne reste plus que 2 exemplaire (s) en stock. Autres vendeurs sur Amazon 9,21 € (3 offres de produits d’occasion et neufs) Alice au Pays des Merveilles streamingNationalitĂ© AmĂ©ricain, RĂ©alisateur Tim Burton, Avec Johnny Depp, Matt Lucas, Mia Wasikowska, Genre Fantastique,Aventure,Famille, Date de sortie 2010–03–24 Alice, dĂ©sormais ĂągĂ©e de 19 ans, retourne dans le monde fantastique qu’elle a dĂ©couvert quand elle Ă©tait enfant. Elle y retrouve ses amis le Lapin Blanc, Bonnet
Orgueil et PrĂ©jugĂ©s et Zombies streamingNationalitĂ© AmĂ©ricain, britannique, RĂ©alisateur Burr Steers, Avec Bella Heathcote, Lily James, Sam Riley, Genre Action,ComĂ©die ,Epouvante-horreur,Romance, Date de sortie 2016–02–05 En plus de sa recherche du grand amour et d’indĂ©pendance, Incidemment vous offrir un bouquet des films 2016 streaming vf gratuit la belle Elizabeth Bennet

Contesde fĂ©es en français|Alice au pays des merveilles / Pinocchio. × . Alice au pays des merveilles / Pinocchio Contes de fĂ©es en français. Released on 05/07/2019 by Highscore Music; Main artist: Contes de fĂ©es en français; Genre: Children; Available in. 16-Bit CD Quality 44.1 kHz - Stereo. Unlimited Streaming Listen to this album in high quality now on our
Le 16/03/2010 Ă  1500 Par Notre avis 6 10 On s'attendait forcĂ©ment Ă  une Ɠuvre particuliĂšre, mais Tim Burton livre avec son Alice au pays des merveilles quelque chose d'assez dĂ©concertant un film lisse dans sa narration, guidĂ© sur des rails, creux mĂȘme, mais esthĂ©tiquement fou, comportant Ă©normĂ©ment d'images splendides et quelques unes d'une laideur sans nom, des personnages passionnants et bien interprĂ©tĂ©s Johnny Depp, Ă©tonnament sobre, Helena Bonham Carter, parfaite et d'autres trop mis en arriĂšre plan Crispin Glover. Il y a donc beaucoup Ă  boire et Ă  manger dans ce spectacle, qui sans son esthĂ©tisme serait bien trop sage mais qui sait rester passionnant par son Ă©talage graphique d'une richesse assez rare. Tim Burton a de l'ambition visuelle mais ne sait pas faire dĂ©coller les thĂšmes propres Ă  Lewis Carroll. C'est lĂ  tout le paradoxe Alice est une oeuvre visuelle passionnante mais trop creuse. Pour l'apprĂ©cier, il faut le voir comme une galerie d'art design en mouvement, un peu vide, mais voulue comme telle par son rĂ©alisateur. Est-ce suffisant ? Pour s'Ă©merveiller oui, mais pour en faire un classique dĂ©finitif, non. CRITIQUE ALICE AU PAYS DES MERVEILLESEnfant prodige des annĂ©es 80-90, remarquĂ© par sa dĂ©clinaison filmique des Ɠuvres d'Edward Gorey, Tim Burton est dĂ©sormais devenu un nom bankable pour les studios, le transformant en objet ressemblant parfois de prĂšs ou de loin Ă  ce qu'il Ă©tait en cette pĂ©riode bĂ©nie. AprĂšs avoir fait l'unanimitĂ© jusqu'Ă  Sleepy Hollow, le cinĂ©aste est donc passĂ© par un peu tout et surtout n'importe quoi, divisant systĂ©matiquement Ă  chacune de ses dĂ©monstrations. Alice au Pays des merveilles sera de ceux-lĂ . VĂ©ritable ovni, bien au delĂ  de Charlie et la Chocolaterie, le rĂ©sultat est un film foutraque, sans doute le plus passionnant esthĂ©tiquement depuis Sleepy Hollow. Mais extrĂšmement un projet montĂ© sur pieds dans les grandes largeurs par le studio Disney avant l'arrivĂ©e de Tim et qui n'avait besoin que d'une touche fofolle supplĂ©mentaire, cet opus renvoie Ă  ce qu'Ă©tait dĂ©jĂ  La PlanĂšte des singes une commande droite dans ses pompes Ă  l'encĂ©phalogramme narratif plat. Un constat s'expliquant Ă©galement par la timiditĂ© lĂ©gendaire de Burton derriĂšre une camĂ©ra sa rĂ©alisation est toujours aussi simple mais aussi par l'emploi omniprĂ©sent d'effets spĂ©ciaux et de retouches numĂ©riques sur absolument tous les personnages, tellement poussĂ© que la production a sans aucun doute optĂ© pour un enchaĂźnement de tableaux. Tim a donc misĂ© sur l'utilisation de l'outil informatique, couvrant chacun de ses acteurs de retouches numĂ©riques Ă  tire larigot et nous livrant au final un dĂ©filĂ© live de croquis. De lĂ  se dĂ©gage le plus grand paradoxe du film Alice au pays des merveilles est un film esthĂ©tiquement complĂštement fou mais dans lequel rien ne dĂ©borde et sans aucune porositĂ© ou rugositĂ©. Alice se contente donc d'ĂȘtre une mise en scĂšne visuelle de l'oeuvre de Lewis Caroll, ne rencontrant ses limites que lors des scĂšnes d'action finales, dynamiquement peu inspirĂ©es si Burton savait rĂ©aliser des scĂšnes d'action, ça se saurait mais loin du Narnia auquel les rumeurs de couloir le rapprochait, la riche direction artistique ici prĂ©sente dĂ©passant de loin celle trĂšs basique des chroniques du lion et de l'armoire situation se montre encore plus tordue lorsque l'on fouille au delĂ . D'une part parce qu'il s'agit plus d'une adaptation de De l'autre cĂŽtĂ© du miroir que celle d'Alice au Pays des merveilles si l'on veut rester dans le registre littĂ©raire et qu'en voulant mettre cette histoire en boite "Ă  la Hook", on perd en cours de route tous les degrĂ©s de lectures parfois tendancieux et psychotiques Ă©voquĂ©s dans les romans de Caroll. Il ne fallait pas en attendre moins d'une production Disney et d'ailleurs le cĂ©lĂšbre dessin animĂ© sert ouvertement de source d'inspiration Ă  de nombreux ingrĂ©dients ici. Ainsi, Helena Bonham Carter interprĂšte la Reine Rouge en la jouant comme La Reine de cƓur en vocifĂ©rant des "Coupez-lui la tĂȘte !" bien familiers. Un emprunt rĂ©ussi, puisque Carter ne s'Ă©tait Ă  ce jour jamais montrĂ©e aussi mauvaise que chez son mari Tim Burton remember Sweeney Todd ! et nous livre ici une interprĂ©tation voilĂ  donc face Ă  un cartoon live, Ă  l'univers esthĂ©tique d'une richesse incroyable et qui semble avoir Ă©tĂ© un sacrĂ© casse-tĂȘte technique Ă  monter. Sur ce plan, nous surfons entre l'Ă©tonnant l'univers, le charmant le bestiaire dont surtout le chat !, le rigolo quelques dĂ©tails et le ratage, consistant pour ce dernier en le monde rĂ©el Ă  peine digne d'un tĂ©lĂ©film et heureusement prĂ©sent quelques minutes au dĂ©but du film et Ă  la fin et le monde de glace, oĂč Anne Hathaway passe ses scĂšnes les bras pliĂ©s, comme si elle avait les coudes sous plĂątre. Donc oui, Alice au Pays des merveilles n'est pas un film parfait, plus tĂ©lĂ©guidĂ© sur les rails du blockbuster familial, mais passionnant. ExceptĂ© une allĂ©gorie balancĂ©e entre deux portes sur l'Ă©mancipation des jeunes femmes Ă  l'Ă©poque victorienne, via la chenille qui devient papillon, capable de changer le monde en prenant des grandes dĂ©cisions, le film ne parle de rien en son fond, ce qui rend la comparaison douloureuse avec des films comme Coraline et Le Labyrinthe de Pan. IntĂ©ressĂ© uniquement par le monde qu'il filme, Burton oublie toute notion de rythme ou de mise en scĂšne pour ne livrer qu'un simple univers esthĂ©tique dans lequel on trouve Ă  boire et Ă  manger. A trop vouloir faire du luxe, calme et voluptĂ©, il livre du pimpant. cx7A.
  • ttg7isn7ux.pages.dev/103
  • ttg7isn7ux.pages.dev/63
  • ttg7isn7ux.pages.dev/334
  • ttg7isn7ux.pages.dev/313
  • ttg7isn7ux.pages.dev/421
  • ttg7isn7ux.pages.dev/510
  • ttg7isn7ux.pages.dev/198
  • ttg7isn7ux.pages.dev/26
  • alice au pays des merveilles streaming tim burton