LeHFL-400 peut supporter une personne pesant jusqu'Ă  180 kg (400 livres). Le HFL est un appareil autonome destinĂ© aux personnes ambulatoires qui peuvent s'asseoir et se lever d'une chaise normale ; celles qui pourraient perdre l'Ă©quilibre et tomber ou trĂ©bucher de temps en temps et qui ont besoin d'aide pour se relever du sol. L'option HFL Les jeux, consignes et mĂ©thodes prĂ©sentĂ©s ci-dessous proviennent de nos parcours respectifs formations et ateliers suivis ou animĂ©s, collaborations diverses, etc. Bien souvent nous nous permettons d’emprunter Ă  d’autres certaines mĂ©thodes. Bien souvent Ă©galement, nous adaptons certaines choses vues ou expĂ©rimentĂ©es prĂ©cĂ©demment dans d’autres contextes, ceci afin de servir au mieux les groupes qui nous sollicitent. Et pour la mĂȘme raison, nous inventons rĂ©guliĂšrement certaines sĂ©quences pĂ©dagogiques
 PlutĂŽt qu’une simple boite Ă  outil, cet inventaire, non exhaustif, est proposĂ© pour que chacun-e puisse y trouver de quoi s’approprier tout ou partie des pĂ©dagogies de l’éducation populaire. Pourquoi des jeux ? Parce qu’on n’a pas trouvĂ© mieux pour apprendre Ă  se connaitre ! Mais aussi parce que les jeux permettent d’expĂ©rimenter le faire ensemble et qu’ils crĂ©ent les conditions de l’équivalence quel que soit notre Ăąge, notre fonction, notre statut social, 
 nous sommes tou∙tes Ă©quivalents devant la consigne du jeu. Enfin, par le jeu, nous pouvons travailler et Ă©prouver diffĂ©rentes dimensions et enjeux d’une vie collective la coopĂ©ration, l’initiative, l’écoute, la stratĂ©gie, etc. Sentez-vous libre et lĂ©gitime d’utiliser ce dont vous avez besoin ! NĂ©anmoins, ne vous mettez pas en danger, ni vous, ni le collectif ! Il est toujours prĂ©fĂ©rable d’avoir soi mĂȘme vĂ©cu quelque chose avant de l’animer pour d’autres et certaines des mĂ©thodes prĂ©sentĂ©es ci-dessous exigent une posture d’animateurtrice aiguisĂ©e
 Pour se rencontrerLes bonjoursIntĂ©rĂȘts se rencontrer tout simplement ! Mais aussi commencer Ă  mĂ©moriser les prĂ©noms des personnes prĂ©sentes. De plus, un contact physique aussi simple qu’une poignĂ©e de main permet de briser la glace » et de casser la distance » existante entre des personnes inconnues. Consigne chaque participant∙e se dirige vers une personne inconnue. Les deux se saluent par une poignĂ©e de main et un Ă©change de prĂ©nom. Chacun peut ensuite aller Ă  la rencontre d’une autre personne mais sans lĂącher la premiĂšre main tant qu’une autre main n’a pas Ă©tĂ© attrapĂ© ». Et ainsi de suite
 Variante on peut ajouter une consigne complĂ©mentaire et demander Ă  chacun∙e de partager, en plus du prĂ©nom, un autre Ă©lĂ©ment de prĂ©sentation ex. d’oĂč je viens ? mon mĂ©tier ? comment je me sens ? etc.. Une autre variante testĂ©e avec les copaines de Via Brachy consiste Ă  traiter de la rencontre interculturelle en faisant en sorte que chaque participante se salue Ă  la maniĂšre de telle ou telle rĂ©gion du monde le hug » allemand, le wai thaĂŻlandais, les bises française, etc
. Les jeux de prĂ©nomIntĂ©rĂȘts Connaitre et mĂ©moriser les prĂ©noms des personnes prĂ©sentes de maniĂšre ludique. Consignes Associer son prĂ©nom Ă  un geste se mettre debout et en cercle. On fait un premier tour. Puis chacune rĂ©pĂšte son prĂ©nom-geste et passe la parole en annonçant le prĂ©nom-geste d’une autre personne. Et ainsi de suite
 J’appelle-je remplace. Sans gestes. Un tour de prĂ©noms. Puis j’appelle un prĂ©nom pour lui passer la parole et j’en appelle un deuxiĂšme avec qui je change de place. S’associer Ă . Soit PrĂ©nom + Ă©tat Ă©motionnel, mĂ©tĂ©o du jour, mĂ©tier rĂȘvĂ©, etc.. Le Zip-Zap une personne se place au centre d’un cercle, elle dĂ©signe une personne dans le cercle et lui dit zip » ou zap », zip je donne le prĂ©nom de la personne Ă  ma droite, zap Ă  ma gauche. Plus dur, zip zip », le prĂ©nom de la personne Ă  la droite de celle qui est Ă  ma droite
 On mĂ©lange le cercle au moins une fois, pour changer les places. Le Killer A rĂ©aliser aprĂšs un premier jeu de prĂ©nom. Les participant⋅es sont debouts en cercle. L’animateur⋅trice se tient au milieu du cercle. Lorsqu’il⋅elle annonce le prĂ©nom de l’un des participant⋅es, celui⋅elle-ci se baisse. Les deux personnes situĂ©es Ă  ses cotĂ©s doivent alors dire le plus rapidement possible le prĂ©nom de l’autre. Celui⋅elle qui a perdu » vient au centre du cercle pour appeler un autre prĂ©nom. Et ainsi de suite
 Le drap A rĂ©aliser aprĂšs un premier jeu de prĂ©nom. Deux Ă©quipes sont sĂ©parĂ©es par un drap. Une personne de chaque camp viennent se positionner devant le drap. Lorsque celui-ci est abaissĂ©, ils doivent donner le prĂ©nom de la personne en face le plus rapidement possible. Les paquetsIntĂ©rĂȘt partager des informations basiques » au sein d’un grand groupe; Ă©viter les tours de table fastidieux. Consigne les participants sont invitĂ©s Ă  se regrouper dans l’espace par [au choix] organisation dont ils∙elles sont membres / mĂ©tier /nombre d’enfant / etc
 La liste des items possibles est infinis, tout dĂ©pend de ce que l’on dĂ©sire connaitre du groupe ! Variante les classements ». La consigne est identique mis Ă  part qu’il s’agit de se classer par Ăąge, par niveau de revenue !, etc. Le positionnement dans l'espaceIntĂ©rĂȘts savoir qui vient d’oĂč en un minimum de temps. Eviter les redites. Figurer dans l’espace la diversitĂ© ou pas des origines reprĂ©sentĂ©es au sein du groupe. Consigne chaque participant est invitĂ© Ă  se positionner dans l’espace selon son origine gĂ©ographique prĂ©ciser s’il s’agit du lieu de vie, du lieu de travail, de la ville de naissance, etc
. L’animateur peut commencer Ă  se positionner en annonçant d’oĂč il vient, puis indiquer au reste des participant∙es la direction des points cardinaux afin que chacun puisse se situer. Lorsque tous les participant∙es sont positionnĂ©âˆ™es, l’animateur distribue la parole afin de connaitre l’ensemble des lieux ainsi reprĂ©sentĂ©s. La prĂ©sentation croisĂ©eIntĂ©rĂȘts Eviter les tours de table souvent fastidieux, intimidants et lors desquels chacun⋅e se sent obligé⋅e de donner son pedigree institutionnel » rĂŽle social. Permettre la rencontre. Assumer et faire confiance en la subjectivitĂ© d’autrui ce qu’une personne restituera de ma prĂ©sentation sera fonction de son propre parcours de vie. Consigne En binĂŽme. Dans un temps limitĂ© 5-10 min /personne, chacune se prĂ©sente Ă  une autre personne qui se chargera ensuite de prĂ©senter son binĂŽme lors de la restitution en plĂ©niĂšre. Lors de la restitution croisĂ©e, chacun⋅e peut bien entendu apporter une prĂ©cision ou une correction si cela lui semble nĂ©cessaire. Variante la prĂ©sentation croisĂ©e peut ĂȘtre dirigĂ©e », ce qui signifie que les Ă©lĂ©ments de prĂ©sentation sont prĂ©dĂ©finis par l’animateur⋅trice. Exemple l’endroit ou j’ai grandis / mon mĂ©tier* / mon plus grand rĂȘve Ă  choisir selon le degrĂ© de connaissance des personne prĂ©sentes et ce qu’il nous apparaĂźt pertinent d’apprendre des uns et des autres. * le mĂ©tier n’est pas la fonction ni le titre directeur, chargĂ© de projet,
. Il est souvent intĂ©ressant de voir comment chacun⋅e rĂ©ussit plus ou moins facilement Ă  dĂ©finir concrĂštement ce qu’il⋅elle fait. Que toutes celles-eux qui...IntĂ©rĂȘts se connaitre diffĂ©remment ». Que chacun⋅e puisse poser des questions au groupe et pas seulement les animateur⋅trices. MĂȘler l’anecdotique avec des Ă©lĂ©ments plus sĂ©rieux ». Consignes Disposer un cercle de chaises. Une chaise en moins que le nombre de participant-es. Une personne debout au milieu donne une consigne du type que tous ceux-elles qui portent des chaussettes, ont des enfants, sont bĂ©nĂ©voles dans une asso, 
 changent de places ». La personne qui se retrouve sans chaise annonce alors une nouvelle consigne. Variante Il est possible de prĂ©parer en avance des antisĂšches », de sorte que celui⋅elle qui se retrouve sans inspiration au milieu du cercle peut piocher dedans. Cela permet de garantir un certain dynamisme mais aussi, le cas Ă©chĂ©ant, d’orienter le jeu vers ce qu’il nous semble intĂ©ressant d’apprendre des un⋅es et des autres. Les avions en papierIntĂ©rĂȘts Se rencontrer diffĂ©remment; mĂȘler le personnel et le professionnel; susciter les rencontres en binĂŽmes. ConsignesUn feuille par participante 3 ou 4 items lĂ©gers », personnels Ȉ renseigner par exemple citation, film prĂ©fĂ©rĂ©, objet que j’ai toujours avec moi, etc. + un autoportrait. Les participant-es remplissent individuellement leur feuille. Puis, avec les feuilles, on fait des avions lancĂ©s dans la salle, chacun ramasse un avion et doit retrouver son auteur⋅e. On interroge ensuite l’auteur⋅e sur deux ou trois autres items, Ă©ventuellement d’avantage professionnels » ton mĂ©tier, 
. Il est alors possible de proposer une restitution croisĂ©e en plĂ©niĂšre CF; la prĂ©sentation croisĂ©e dirigĂ©e. L'horlogeIntĂ©rĂȘts Rencontrer un maximum de personnes en un minimum de temps. Varier les sujets de discussion et rencontrer l’autre via un thĂšme original / polĂ©mique / drĂŽle / lĂ©ger ceci est fonction des sujets choisis au prĂ©alable. Consignes L’horloge est une sorte de Speed-dating thĂ©matique ». Fonctionne idĂ©alement avec 12 participant-es mais il est facile de l’adapter avec un groupe de taille diffĂ©rente. Chaque participant dispose d’une feuille A4 reprĂ©sentant une horloge 12h. Un temps pour prendre des rendez-vous un rendez-vous par heure. Chacun note le prĂ©nom d’un⋅e participant⋅e en face de chaque crĂ©neau horaire disponible 12 si 12 participant⋅es. Puis l’animateur⋅trice annonce une heure il est 15h , chacun-e rencontre alors son rendez-vous programmĂ© Ă  ladite heure. A chaque heure, une question ou un thĂšme de discussion diffĂ©rent est proposĂ©. 5min. max. par rendez-vous, puis on change nouvelle heure, nouveau partenaire, nouveau sujet de conversation
 Souvent, les discussions provoquĂ©es seront frustrĂ©es par le temps limitĂ© accordĂ©. C’est tout l’intĂ©rĂȘt de l’exercice que chacun⋅e ait envie de poursuivre ultĂ©rieurement ou avec quelqu’un d’autre les conversations entamĂ©es. Variantes le temps des prises de rendez-vous » n’est pas indispensables. On peut simplement proposer Ă  chaque fin de rdv de former un nouveau binĂŽme. Le bingoIntĂ©rĂȘts susciter la rencontre Consigne voir le Bingo de la Volte Variantes Il est possible d’imposer diffĂ©rentes contraintes pas deux fois le mĂȘme prĂ©nom, n’inscrire que des gens prĂ©sents,
 La menterieRaconter 3 histoires personnelles anecdotes au reste du groupe 2 sont vrais et une est fausse, c’est la menterie ! Le portrait chinoisLe speed-dating mouvantIntĂ©rĂȘts apprendre Ă  se connaitre de maniĂšre dĂ©calĂ©e, en interrogeant diffĂ©rentes facettes de nos personnalitĂ©s ou de notre vĂ©cu. Consignes chaque participant∙e reçoit une question sur un bout de papier sĂ©rieuse ou lĂ©gĂšre, thĂ©matisĂ©e ou dĂ©calĂ©e,
. Ensuite on part Ă  la rencontre d’une autre personne chacun∙e rĂ©pond Ă  la question de l’autre en une minute maximum environ. Puis on s’échange les bouts de papiers, chacun∙e repart alors Ă  la rencontre d’une autre personne avec une nouvelle question. Variante Il est possible de glisser un ou plusieurs papiers blancs au sein de la banque de question celui∙elle rĂ©cupĂ©rant un papier blanc se retrouve donc libre de poser la question de son choix. Les trois bouclesIntĂ©rĂȘt Se rencontrer en s’amusant, retenir le nom des personnes prĂ©sentes, et s’embrouiller l’esprit! Consignes les participant∙es sont debout en cercle. On va lancer une boucle de prĂ©noms qui ne suit pas l’ordre du cercle, et chaque personne va ĂȘtre appelĂ©e une seule fois. Le participant A gĂ©nĂ©ralement l’ appelle le participant B, qui appelle le participant C, etc. jusqu’à ce que tout le monde ait Ă©tĂ© appelĂ© et que le dernier appelle le participant A. On fait tourner cette boucle des prĂ©noms 3 ou 4 fois pour l’avoir bien en tĂȘte chaque participant appelle toujours la mĂȘme personne. On lance alors une deuxiĂšme boucle, la boucle des toi ». Le participant A montre du doigt le participant E en disant toi », E montre alors le participant D du doigt en disant toi », etc. jusqu’à ce que tout le monde ait Ă©tĂ© appelĂ© et que le dernier montre du doigt le participant A. La boucle est diffĂ©rente de celle des prĂ©noms. On fait tourner cette boucle des toi » 3 ou 4 fois pour l’avoir bien en tĂȘte. Le participant A relance la boucle des prĂ©noms. Puis relance la boucle des toi » en parallĂšle. On peut s’amuser avec ça quelques minutes, puis on rajoute la troisiĂšme boucle Le participant A se dĂ©place et vient se mettre derriĂšre le participant G, qui vient se mettre derriĂšre C, etc. jusqu’à ce que tout le monde se soit dĂ©placĂ© et que le dernier vienne se mettre derriĂšre le participant A. On fait tourner cette boucle des dĂ©placements 3 ou 4 fois pour l’avoir bien en tĂȘte. La boucle des dĂ©placements continue. Quand l’ le sent, relance la boucle des prĂ©noms en parallĂšle. Puis celle des toi ». Une fois que tout le monde a compris, n’importe qui peut relancer une des trois boucles quand elle s’arrĂȘte ça arrive souvent!. Valentine's gameUn exercice » qui porte le nom de celle qui nous l’a fait dĂ©couvrir ! IntĂ©rĂȘts Nourrir les relations interpersonnelles au-delĂ  de nos rapports professionnels ou de nos rĂŽles sociaux. CrĂ©er et nourrir de l’intimitĂ©. Prendre le temps de poser les questions qu’on ne se pose jamais. Consignes Chaque dispose d’un temps individuel pour rĂ©flĂ©chir aux questions qu’i∙el souhaite poser Ă  chacun∙e des membres du groupe. I∙el peut autant poser une question personnalisĂ©e Ă  chaque personne ou choisir de poser la mĂȘme question Ă  tout le monde. Cela peut ressembler Ă  la question que je n’ai jamais osĂ©e te poser » ou que je n’ai jamais eu l’occasion, le temps de te poser » ou bien encore ce que j’ai envie de te demander ici et maintenant ». Les sont ensuite Ă  se rencontrer deux par deux, un peu comme un speed-dating », pour se poser respectivement leurs questions et y rĂ©pondre. Les rĂ©ponses doivent ĂȘtre relativement spontanĂ©es et rapides entre 3 et 5min par question. Il n’y a, a priori, aucune restitution ni exploitation de ces temps-lĂ . Pour faire groupepetite histoire - grande HistoireIntĂ©rĂȘts partager nos histoires de vie, les racines de nos colĂšres et de nos engagements, organiser la transmission de nos expĂ©riences politiques. Identifier ce qui, dans nos parcours de vie respectifs, nous a emmenĂ© lĂ  ou nous en sommes aujourd’hui. Consignes Un temps d’écriture individuelle Les participant∙es sont invitĂ©âˆ™es Ă  reprĂ©senter leur parcours de vie sous forme d’une frise, d’un dessin schĂ©matique ou encore d’un tableau chronologique en y faisant figurer les Ă©lĂ©ments significatifs de sa petite histoire et d’autres de la grande Histoire. La petite histoire renvoie Ă  notre histoire personnelle famille, Ă©tudes, travail, voyages, rencontres,
, la grande Histoire a tout ce qui a une dimension collective un livre, un Ă©vĂšnement sportif, quelque chose qui nous a marquĂ© Ă  la tĂ©lĂ©vision, 
 sans avoir nĂ©cessairement le label » politique. La collecte s’en suit un temps de collecte permettant d’élaborer une frise collective. A tour de rĂŽle, chacun∙e est invitĂ©âˆ™e Ă  partager un Ă©lĂ©ment de sa petite histoire et un Ă©lĂ©ment de sa grande histoire qui seront notĂ©s sur la frise par un∙e autre participant∙e. En fonction du nombre de participantes et du temps que l’on s’accorde, ce moment peut ĂȘtre animĂ© de multiples maniĂšres
 Exploitation de la frise un temps d’échange et de discussion, souvent autour de la question suivante Qu’est ce que vous lisez, repĂ©rez, dans cette fresque comme Ă©lĂ©ments dĂ©clencheurs de votre engagement et de ceux des autres participants?» repĂ©rage des moments oĂč l’on s’est rĂ©alisĂ© ou au contraire on s’est sentis niĂ©s. Pour un descriptif et une analyse dĂ©taillĂ© voir l’excellent Cahier du PavĂ© sur les RĂ©cits de vie, tĂ©lĂ©chargeable gratuitement ici Les jeux coopĂ©ratifsIntĂ©rĂȘts DĂ©velopper de l’esprit d’équipe, de l’analyse stratĂ©gique de situations, de la communication, de l’attention Ă  soi et aux autres, prendre des risques individuels pour servir le groupe, nourrir le lĂącher prise, Ă©prouver les notions de leader et de souteneur, dĂ©velopper de la coordination. Les temps de dĂ©briefing permettent de nourrir notre analyse et notre comprĂ©hension de nos maniĂšres d’ĂȘtre et de faire ensemble. Consignes Le Pacman ou comment ne pas accueillir une personne dans un groupe installer une forĂȘt de chaises » dans la piĂšce de maniĂšre totalement alĂ©atoire. Chaque participant⋅e est assis⋅e sur une chaise, moins une chaise laissĂ©e libre et une personne qui est le pacman ». L’objectif du Pacman est d’aller s’asseoir sur la chaise, les autres doivent l’en empĂȘcher en se dĂ©plaçant d’une chaise Ă  une autre. Le pacman ne peut se dĂ©placer qu’à une vitesse constante et plutĂŽt lente, tous⋅tes les autres peuvent se dĂ©placer aussi vite que nĂ©cessaire. Leur seule contrainte une fois que l’on s’est levĂ© d’une chaise, on ne peut pas s’y rassoir immĂ©diatement. Les ptits moteurs chacun⋅e se promĂšne dans l’espace avec un objet en Ă©quilibre sur la tĂȘte un stylo, un briquet,
. cet objet symbolise notre petit moteur. Lorsque l’objet tombe, la personne ne peut plus bouger tant que quelqu’un⋅e d’autre ne lui a pas remis l’objet sur la tĂȘte. Le jeu du bĂąton chaque binĂŽme constituĂ© se balade dans l’espace en tenant un bĂąton en Ă©quilibre avec l’index positionnĂ© Ă  chaque extrĂ©mitĂ© du bĂąton. D’abord l’un guide, puis l’autre, puis personne. Le nƓud se mettre en cercle. Chacun⋅e attrape deux mains diffĂ©rentes en fermant les yeux ou pas afin de crĂ©er un nƓud de main un nƓud d’humain. Une fois que tout ça est bien emmĂȘlĂ©, on se dĂ©mĂȘle mais sans lĂącher les mains ni dĂ©boĂźter l’épaule du copain⋅e afin de retrouver le cercle initial. Le tapis coopĂ©ratif Un tapis est posĂ© au sol. Les participant∙e∙s montent tou∙te∙s dessus. La seule consigne est de retourner le tapis, sans toucher le sol ni avec leurs mains, leurs pieds, ou aucune autre partie du corps. Il est possible de rajouter un timing au bout de quelques minutes il vous reste 2 minutes ». Un tapis de bain pour 5-6 participant∙e∙s semble ĂȘtre une bonne taille. Les passages de clap les participant∙e∙s sont debout en cercle. Une personne lance le clap ». Pour cela, iel se tourne vers son∙sa voisin∙e et le∙la regarde dans les yeux. Iels essayent alors de claquer des mains en mĂȘme temps. Iels rĂ©essayent tant que la synchronisation n’est pas parfaite. Quand ça marche, celluielle qui a reçu peut alors essayer de passer le clap Ă  son∙sa voisin∙e. Une fois qu’on a fait un tour, on peut relancer le clap sans suivre le cercle, il faut simplement capter le regard de quelqu’un avant d’essayer de lui passer le clap. Il peut mĂȘme y avoir plusieurs claps en mĂȘme temps. Enfin, on peut tenter de rĂ©aliser un clap toutes ensembles. Le dessin coopĂ©ratif les participantes sont rassemblĂ©es par groupes de 4 ou 5 autour d’une feuille blanche. Chacune dispose d’un crayon. il s’agit alors, dans un laps de temps limitĂ©, de dessiner ensemble, les yeux fermĂ©s ! un objet ou une idĂ©e. Les energisersle Wizz ou le tap-tap Consignes Faire circuler l’énergie ! Un geste associĂ© Ă  un son permet de faire circuler l’énergie au sein du groupe positionnĂ©e en cercle. Soleil & CrĂšme solaire Consignes les participan∙tes circulent librement dans l’espace dĂ©finit. Chacun∙e choisit secrĂštement une personne qui sera son soleil et une autre qui sera sa crĂšme solaire. A la fin du compte Ă  rebours, chacun∙e fige sa position, le but Ă©tant d’ĂȘtre positionnĂ©âˆ™e dans l’espace de façon Ă  ce que la personne crĂšme solaire nous protĂšge de la personne soleil. Variantes – mĂȘme principe de circulation dans l’espace et de compte Ă  rebours ; mais on choisit d’ĂȘtre la crĂšme solaire d’une personne tierce que l’on cherche Ă  protĂ©ger du soleil. – les deux amoureu∙ses mĂȘmes principes sauf qu’il s’agit de rĂ©ussir Ă  se positionner Ă  Ă©quidistance de deux personnes. Mais qu’est-ce tu mimes ? Consignes une personne commence Ă  mimer une action. Lorsqu’une autre personne lui demande mais qu’est-ce que tu fais ? , elle rĂ©pond tout Ă  fait autre chose que ce qu’elle Ă©tait en train de mimer. Ceci devient alors la consigne de mime de celui-elle ayant posĂ© la question. Et ainsi de suite
 Le ninja de l’extrĂȘme Consignes dĂ©bout en cercle, les participant-es s’affrontent, tour par tour, toujours dans le mĂȘme ordre pour Ă©liminer une personne je dois rĂ©ussir Ă  lui toucher la main dans un seul et mĂȘme mouvement. L’autre peut esquiver. Une fois le mouvement d’attaque ou d’esquive rĂ©alisĂ©, je dois rester dans la posture atteinte mais toujours avec mes deux mains non-cachĂ©es. Si ma main est touchĂ©e, je perds un point de vie main dans le dos, si j’ai Ă©tĂ© touchĂ©e deux fois, je suis Ă©liminĂ©e du jeu
 L’association d’idĂ©es IntĂ©rĂȘts Se dynamiser, libĂ©rer la crĂ©ativitĂ©, partager un moment collectif. Consignes Les joueur∙euse∙s sont debout en cercle. Un∙e participant∙e envoie une balle Ă  quelqu’un∙e d’autre en prononçant Ă  voix haute le premier mot qui lui vient par la tĂȘte. Celluielle qui a reçu la balle doit alors la renvoyer Ă  quelqu’ d’autre en prononçant un mot auquel ça lui a fait penser. Et ainsi de suite
 A ce stade, les variantes sont nombreuses ! On peut, par exemple, se donner comme contrainte de sauter une idĂ©e » je prononce non pas le 1er mot auquel je pense mais le suivant, thĂ©matiser nos associations d’idĂ©es en dĂ©marrant systĂ©matiquement par un mot liĂ© Ă  cette thĂ©matique, etc. Les jeux de confiance– Aveugles & Guides se mettre en binĂŽmes. L’un sera l’aveugle » et ferme donc les yeux et l’autre le guide ». Le guide doit guider l’aveugle en l’appelant par son prĂ©nom et uniquement cela. Puis on Ă©change de rĂŽle l’aveugle devient guide et le guide devient aveugle. Cela permet de travailler la confiance et le lĂącher-prise. – La boule de billard – Le photographe – La poupĂ©e de porcelaine – La bougie Les SensorielsLes Bambous coopĂ©ratifs IntĂ©rĂȘts ExpĂ©rimenter le lĂącher-prise, se coordonner en silence et se faire confiance. Consignes par groupes de 5 Ă  6 personnes, soutient la tige de bambou avec ses indexes. L’objectif est d’arriver Ă  poser la tige de bambou au sol sans devoir discuter et sans que personne ne lĂąche jamais le contact avec le bambou. les Marionnettes IntĂ©rĂȘts RĂ©veiller son corps, se mettre en condition avant de commencer la journĂ©e, prendre soin de soi et de l’autre. Consignes Par trinĂŽmes, les participant∙es vont tour Ă  tour ĂȘtre marionnette et marionnettiste. En silence, la marionnette se place entre ses deux marionnettistes afin que ceux-ci puissent manipuler son corps. L’idĂ©e est de jouer avec le corps de l’autre sans parole, tout en sentant et respectant ses limites physiques. Le compte est bon IntĂ©rĂȘts ĂȘtre ensemble, cultiver notre attention aux autres. Consignes Les participants sont debout en cercle. Le but du groupe est de compter jusqu’au nombre total de participants. ne dira qu’un seul nombre, mais on ne sait pas dans quel ordre, il va falloir faire travailler la tĂ©lĂ©pathie ! Si deux disent le mĂȘme chiffre en mĂȘme temps, on reprend Ă  1, jusqu’à ce qu’on arrive au total sans erreur. Marches dans l’espace IntĂ©rĂȘts dĂ©velopper l’écoute du groupe, la communication par le corps, nourrir le lĂącher prise, dĂ©velopper de la coordination
 Consignes les participant∙e∙s sont invitĂ©âˆ™e∙s Ă  marcher dans un espace dĂ©limitĂ©, en essayant de rester synchronisĂ©s. On peut alors rajouter diffĂ©rentes consignes successives, en prĂ©cisant qu’il faut que le groupe reste homogĂšne =synchronisĂ© – Les vitesses de 1 Ă  5 1 Ă©tant la plus lente possible, 3 la marche, et 5 une course effrĂ©nĂ©e. – S’arrĂȘter et redĂ©marrer toutes ensembles. – Chuter au sol. – Se relever du sol. – Se mettre tou∙te∙s Ă  parler Ă  voix haute ex dire ce que vous avez fait hier – ArrĂȘter de parler. – Se mettre Ă  rire. – ArrĂȘter de rire. – Synchroniser les volumes 1 Ă©tant le plus faible chuchotement, 3 normal, et 5 trĂšs fort. – Une seule personne s’arrĂȘte. – Deux personnes s’arrĂȘtent
 – Une seule personne marche, les autres s’arrĂȘtent. – Deux personnes marchent, les autres s’arrĂȘtent. Il peut ensuite y avoir un dĂ©fi entre l’animateurice et les participant∙e∙s le groupe marche de maniĂšre synchronisĂ©e, s’arrĂȘte Ă  l’écoute, repart Ă  l’écoute. L’animateurice essaye de deviner qui a impulsĂ© l’arrĂȘt, et qui a impulsĂ© le redĂ©marrage. Le but du groupe est que l’animateurice ne trouve pas. Les besoins du collectifIntĂ©rĂȘts Partager ce qui fait que l’on se sent bien dans un groupe. Identifier la couleur d’un groupe orientĂ© action, rĂ©flexion, convivialitĂ©,
. Les besoins sont universels et c’est une responsabilitĂ© collective de les nourrir ! Consignes De quoi j’ai besoin pour me sentir bien dans un collectif ? Chacun∙e note individuellement et anonymement une idĂ©e par post-it. On recueille l’ensemble des post-it que l’on regroupe, reclasse et nomme. Puis on peut se proposer de pondĂ©rer » ces Ă©lĂ©ments afin d’avoir une image des besoins dans ce collectif Ă  ce moment prĂ©cis quels sont les besoins que j’estime bien nourris / moyennement nourris / peu nourris dans CE collectif. La mĂ©taphore de l'avionIntention Conscientiser et exprimer sa place et son ressenti dans le collectif en rĂ©pondant Ă  la question si [notre collectif] Ă©tait un avion, quel serait mon rĂŽle ou ma fonction ? Chacun∙ e est Ă  choisir un ou plusieurs rĂŽles que l’on trouve ordinairement dans ou autour d’un avion afin d’exprimer la place qu’il∙elle pense avoir au sein du collectif. Dedans Passager – HĂŽtesse ou Stewart – Touriste charter – Business man – Pilote d’avion – Copilote – Passager∙e clandestin∙e – Touriste 1ere classe – Pirate de l’air etc. Dehors MĂ©canicien∙ne – Tour de contrĂŽle – Douane – MĂ©tĂ©orologue – Bagagiste – Agence de voyage – Constructeur d’avion – Marshaller – celui∙elle qui rate son vol – Celui∙elle a qui on refuse d’embarquer etc. Le diagramme de VennPrincipes Souvent nommĂ© IkigaĂŻ car assimilĂ© Ă  tort avec ce concept japonais, nous l’utilisons pour accompagner des collectifs Ă  dĂ©finir leur raison d’ĂȘtre au sens de ce qui manquerait au monde si nous n’existions pas ». Mais aussi afin de clarifier les stratĂ©gies de dĂ©veloppement d’un projet et d’un collectif, d’identifier les zones de tensions prĂ©caritĂ©, incertitude, perte de sens, 
, de mettre Ă  jour les contradictions, 
 Au delĂ  de l’intĂ©rĂȘt Ă  dĂ©finir collectivement notre Raison d’ĂȘtre, c’est un temps de travail permettant de nourrir l’interconnaissance, de renforcer nos liens au projet, d’identifier les besoins satisfaits ou insatisfaits du collectif et de crĂ©er une culture commune. MĂ©thode complĂ©ter successivement individuellement ou collectivement les quatre cercles extĂ©rieurs Aime, DouĂ©, Besoin, PayĂ©. Puis les confronter deux Ă  deux pour dĂ©finir les quatre parties internes Passion, Vocation, Profession, Mission. Enfin, identifier le cƓur, la Raison d’ĂȘtre. La production de ces diffĂ©rentes Ă©tapes peut ĂȘtre rĂ©alisĂ©e selon de multiples mĂ©thodes, en fonction du contexte, du groupe, etc. La plupart du temps, l’ultime Ă©tape dĂ©finition de notre Raison d’ĂȘtre est confiĂ©e Ă  un sous-groupe mandatĂ© pour faire une proposition Ă  l’ensemble des participantes ça prend du temps de se mettre d’accord sur les mots!. L'Anti-dĂ©finitionIntĂ©rĂȘts Faire un pas de cotĂ©, adopter une vision dĂ©calĂ©e voire absurde afin de faire Ă©merger des Ă©lĂ©ments de comprĂ©hension ou de dĂ©finition. Dire ce que nous ne sommes pas ou ne souhaitons pas ĂȘtre pour mieux identifier ce que nous sommes. Consignes Lister de maniĂšre spontanĂ©e, par des phrases courtes, tout ce que nous ne sommes pas ou ne voulons pas ĂȘtre/faire. Pour un exemple illustrĂ©, voir la page La Volte n’est pas Variantes Cette logique du contre-pied peut ĂȘtre adaptĂ©e Ă  diffĂ©rents types de sujets – Comment susciter la participation ? > les Ă©lĂ©ments contribuant Ă  la non-participation. – Comment rĂ©ussir tel projet ? > ce qui nous ferait Ă©chouer. Les cadeauxIntentions identifier ce que chacune apporte au collectif et comment accueillir cela. Travailler ma posture vis-Ă -vis de ce qui me plait chez l’autre et surtout vis-Ă -vis de ce qui m’agace, me bouscule, m’irrite, me perturbe, me gĂȘne et qui peut souvent correspondre Ă©galement Ă  ce qui nous manquerait
. Faire des cadeaux c’est donc dire Ă  l’autre ce que l’on aime chez luielle mais aussi ce qui peut nous mettre en inconfort dans notre relation. Remarque bien souvent, ce qui m’agace » chez l’autre raconte davantage sur moi-mĂȘme que sur autrui ! Consignes Chaque personne crĂ©e son carnet de note, par exemple en se dessinant sur la premiĂšre page, puis en Ă©crivant chaque incipit en haut des pages suivantes. Puis les carnets tournent au rythme de chacune afin que tou-tes puissent dire Ă  tou-tes. Puis on peut se proposer une lecture Ă  voix haute ou pas ou, tout au contraire, de ne pas lire et que chacun-e reparte avec son carnet de cadeau Ă  dĂ©couvrir » lors d’un moment propice. Exemples d’incipit Ce qui me plait chez 
 et qui nourrit le collectif c’est
 Ce qui peut me mettre en difficultĂ© chez 
, c’est
 Ce qui nous manquerait si 
 n’était pas lĂ  c’est 
 Pour faire Ă©merger du savoirGroupe d'interview mutuelleIntĂ©rĂȘts permettre Ă  chacun∙e de faire le lien entre le thĂšme de la rĂ©union et sa propre expĂ©rience, que chacun∙e puisse tirer des enseignements de ses expĂ©riences et permettre la transmission de maniĂšre horizontale et en facilitant l’expression de tou∙tes. Consignes il s’agit de relater et d’analyser une expĂ©rience vĂ©cue, dans un temps limitĂ©. L’animateur invite les participant∙es Ă  se regrouper par trois puis chacun∙e Ă  tour de rĂŽle, va conter une expĂ©rience vĂ©cue en lien avec le thĂšme de la rĂ©union. Les deux autres personnes miroirs » posent des questions de comprĂ©hension. A l’issue des GIM seuls sont mis en commun les Ă©lĂ©ments d’analyse et de comprĂ©hension des situations vĂ©cues et non plus les histoires en elles-mĂȘmes. Cet exercice facilite donc la prise de parole en petits groupes ainsi que la mise en lumiĂšre d’élĂ©ments communs et synthĂ©tisĂ©s. J'aime / j'aime pas / Il me manqueIntentions Partir du vĂ©cu des participan∙tes, faire Ă©merger de la matiĂšre en je » Ă  partir de laquelle nous souhaitons travailler collectivement. Consignes Variables ! Les trois items j’aime/j’aime pas / il me manque pouvant ĂȘtre produits de diffĂ©rentes maniĂšres atelier d’écriture, post-it, panneaux en libre accĂšs, etc. Tout dĂ©pend de la composition du groupe, du sujet abordĂ© nos rĂ©unions, une action spĂ©cifique, un rĂŽle dans l’organisation, etc. et de l’exploitation que l’on souhaite en faire. Variantes L’intĂ©rĂȘt principal de cette mĂ©thode tient Ă  la simplicitĂ© des items proposĂ©s et Ă  l’invitation Ă  s’exprimer en je ». Ainsi de multiples variations peuvent ĂȘtre imaginĂ©es. Quelques variables testĂ©es dans diffĂ©rents contextes Ce que je vis / ce que je n’aimerais pas vivre / ce que j’aimerais vivre Ce que l’on fait / ce que j’aimerais que l’on fasse / ce que je n’aimerais pas que l’on fasse. Ce que je fais et aimerais continuer Ă  faire / ce que je fais et ne souhaiterais plus faire / ce que je n’ai jamais fais et aimerais faire La Boule de neigeIntĂ©rĂȘts permettre Ă  chacun∙e, et surtout aux plus timides, d’émettre ses idĂ©es dans un grand groupe, permettre d’échanger correctement et de s’approprier un ensemble de propositions. Faciliter un processus d’émergence-convergence par la confrontation et la bonification d’idĂ©es ou de propositions. Consignes On demande chacun∙e de trouver un nombre de propositions fixĂ©es Ă  l’avance sur le thĂšme qui nous rassemble. Puis les participant∙es se regroupe par binĂŽme pour Ă©changer, discuter, puis cumuler, bonifier ou agglomĂ©rer leurs idĂ©es afin de nen retenir Ă  nouveau qu’un nombre limitĂ©. On rĂ©itĂšre la mĂȘme dĂ©marche en groupe 4. Parfois on pousse la dĂ©marche jusqu’à des sous-groupes de 8. En revanche, il semble fastidieux de reprendre la dĂ©marche Ă  16. Il vaut mieux alors passer en retransmission Ă  l’ensemble du groupe. A chaque Ă©tape, il s’agit de rassembler nos idĂ©es afin de converger vers des propositions communes et ainsi de faire entonnoir, de converger vers des orientations communes. Variantes une variante consiste Ă  remplacer la retransmission plĂ©niĂšre par des petits groupes composĂ©s de membres de chacune de nos boules de neige. Chacun devient alors le rapporteur de sa boule de neige au sein de ce nouveau petit groupe. Théùtre d'improIntĂ©rĂȘts produire de la matiĂšre Ă  penser, dĂ©battre, dĂ©cider,
 de maniĂšre ludique et Ă  partir de situations vĂ©cus ou projetĂ©s. S’exprimer collectivement par le corps et sortir ainsi du tout-intellectuel. L’improvisation peut permettre de faire Ă©merger y compris inconsciemment des sujets ou problĂ©matiques concrĂštes que nous n’aurions pas nĂ©cessairement identifiĂ©s par le seul usage de nos cerveaux
 Consignes on forme des sous-groupes. Chaque sous-groupe reçoit une situation phrase ou mots-clefs dĂ©finit par le groupe et/ou l’animateur∙trice et dispose alors d’1 minute pour imaginer une saynĂšte environ 3 minutes et la jouer devant le reste du groupe. Variantes pour renforcer le cotĂ© ludique avec le risque que la forme prenne le pas sur le fond, on peut, lors de chaque saynĂšte, s’imposer des contraintes muet, vu par des enfants », en langage soutenu, en chantant, etc.. Pour s'Ă©couterle Pense EcouteIntĂ©rĂȘts Entrer dans une thĂ©matique. Prendre le temps de s’écouter penser soi-mĂȘme, de mĂ»rir sa rĂ©flexion, d’aller au bout de ses pensĂ©es avant un temps collectif. Prendre le temps, se donner du temps, se concentrer et se centrer sur l’objet de la rencontre. Travailler l’écoute rĂ©elle ne pas couper la parole, ne pas rĂ©agir. Faciliter la rencontre de l’autre, crĂ©er du lien et favoriser le respect. TrĂšs utile pour faciliter l’expression du ressenti personnel plus facile en binĂŽme qu’en grand groupe. Consignes En binĂŽme, chacune dispose d’un temps donnĂ© 2 minutes est un minimum, 5 minutes un maximum pour rĂ©pondre Ă  une question. Celui qui a la parole est donc le penseur », l’autre est dans l’écoute et le silence et ne peut interrompre la personne ou uniquement pour un besoin de comprĂ©hension. Il y a aura des blancs dans le monologue et c’est normal. Puis, on Ă©change les rĂŽles. Il n’y a pas de restitution en groupe, ce qui permet de libĂ©rer la parole. Variantes proposer un pense-Ă©coute en marchant la marche stimule la rĂ©flexion et aide Ă  vivre les silences qui sont pourtant nĂ©cessaires. On peut aussi enchaĂźner plusieurs Pense Écoute » avec le mĂȘme partenaire, en proposant une restitution collective du dernier Ă©lĂ©ment discutĂ© penser Ă  ce qu’il nous apparaĂźt judicieux de partager en grand groupe et ce qu’il nous apparaĂźt judicieux de laisser dans l’intimitĂ© du binĂŽme ou enchaĂźner plusieurs Pense Écoute » en changeant de partenaire Ă  chaque fois. . Paroles BoxĂ©esIntĂ©rĂȘts Que chacun puisse dire ce qu’il a au fond du cƓur. Combattre la langue de bois. Consignes Rassembler les participant∙es en cercle bien serrĂ©. Chacun∙e peut prendre la parole une fois et une seule fois pour un temps maximum au choix de 3 Ă  6 min. en fonction du sujet et du nombre de participant∙es. La parole est alors entiĂšrement libre et l’auditoire est condamnĂ© au silence. Pas de deuxiĂšme chance. Pas de droit de rĂ©plique. Le descriptif complet est disponible sur le site de la SCOP La Braise et tĂ©lĂ©chargeable ici PAROLES-BOXÉES- Doutes & CertitudesIntĂ©rĂȘts partager nos angoisses, inquiĂ©tudes, dĂ©sires et espoirs. Consignes chaque participant dispose de 5 Ă  10 minutes pour noter d’un cotĂ© ses doutes et de l’autre ses certitudes. puis un temps de partage collectif est proposĂ©. Le descriptif complet de la mĂ©thode est tĂ©lĂ©chargeable ici Doutes et certitudes Le Groupe d'Interview mutuelleIntĂ©rĂȘts permettre Ă  chacune de faire le lien entre le thĂšme de la rĂ©union et sa propre expĂ©rience, que chacune puisse tirer des enseignements de ses expĂ©riences et permettre la transmission de maniĂšre horizontale et en facilitant l’expression de toutes. Consignes il s’agit de relater et d’analyser une expĂ©rience vĂ©cue, dans un temps limitĂ©. L’animateur invite les participant∙es Ă  se regrouper par trois puis chacune Ă  tour de rĂŽle, va conter une expĂ©rience vĂ©cue en lien avec le thĂšme de la rĂ©union. Les deux autres personnes miroirs » posent des questions de comprĂ©hension. A l’issue des GIM seuls sont mis en commun les Ă©lĂ©ments d’analyse et de comprĂ©hension des situations vĂ©cues et non plus les histoires en elles-mĂȘmes. Cet exercice facilite donc la prise de parole en petits groupes ainsi que la mise en lumiĂšre d’élĂ©ments communs et synthĂ©tisĂ©s. La Double ListeIntĂ©rĂȘts permettre l’expression de toutes sans que cela soit la cohue. PrivilĂ©gier la prise de parole des personnes s’étant le moins exprimer en leur donnant la prioritĂ©. Permet de visualiser l’équilibre et la rĂ©partition de la prise de parole dans le groupe. Efficace lors de dĂ©bats incarnĂ©s, sur des temps longs au delĂ  de 20min et pour des tailles de groupe importantes. Consignes l’animateur note les demandes de prise de parole sur un tableau Ă  plusieurs colonnes, prioritĂ© Ă©tant donnĂ©e aux personnes n’ayant pas encore pris la parole si une personne n’ayant pas encore pris la parole la demande aprĂšs une personne l’ayant dĂ©jĂ  prise, on lui donne la parole avant celle-ci en l’inscrivant sur la 1Ăšre colonne cell∙eux qui ont dĂ©jĂ  pris la parole ne parleront Ă  nouveau que si personne n’ayant encore jamais parlĂ© ne demande la parole. On peut ouvrir autant de colonne-liste que nĂ©cessaire lorsque je demande la parole pour la troisiĂšme fois, je suis inscrit sur la troisiĂšme colonne et ainsi de suite
. Pour dĂ©batreDĂ©bats mouvantsIntĂ©rĂȘts Faire Ă©merger de la matiĂšre sur des sujets complexes. Consignes Proposer une affirmation clivante », c’est-Ă -dire une phrase simple rĂ©sumant une position sur un sujet dont on suppose qu’elle divisera le groupe en Pour » et Contre ». Demander aux participant∙es de choisir leur camp par rapport Ă  une ligne au sol la riviĂšre du doute » divisant l’espace en 2 parties devant l’animateur∙trice. Proposer un temps de prĂ©paration avant l’échange d’arguments entre les 2 camps. Chaque camp prend alors alternativement la parole pour exposer un argument en commençant par le camp minoritaire ». Les personnes convaincues par un argument peuvent changer de camp. Variantes – poser comme contrainte une seule prise de parole par personne ». – donner la parole Ă  celles et ceux qui changent de camp, pour en comprendre les raisons. – intervertir les camps ceux∙elles positionnĂ©âˆ™s spontanĂ©ment dans le camp du pour » ou du d’accord » doivent alors trouver des arguments allant dans l’autre sens contre » ou pas d’accord ». La Boxe CanadienneConsignes L’animateur∙trice divise les participant∙es en deux camps Ă©gaux. DiffĂ©rentes affirmations sont successivement proposĂ©es, un peu comme dans un dĂ©bat mouvant, sauf qu’ici c’est l’animateur∙trice qui dĂ©cide Ă  chaque fois quel camp sera d’accord et quel camp sera en dĂ©saccord avec cette affirmation. Chaque groupe doit alors trouver un certain nombre d’arguments en fonction de son camp. IntĂ©rĂȘts Faire Ă©merger de la matiĂšre sur des sujet complexes. Se contraindre Ă  se mettre Ă  la place de l’autre. DĂ©battre en se dĂ©tachant de la nĂ©cessitĂ© d’avoir raison. Variantes Presque infinies ! Par exemples – thĂ©matiser l’exercice sur le sujet prĂ©cis. – introduire des rĂšgles ou contraintes au fur et Ă  mesure bĂąton de parole », nombre limite d’arguments, prises de paroles contraintes, temps de parole limitĂ©s, portes-paroles dĂ©signĂ©s pour le groupe, etc. – laisser un temps de rĂ©flexion Ă  chaque groupe avant l’énoncĂ© des arguments. – changer la constitution des groupes Ă  chaque affirmation. – proposer un rĂŽle d’observateur. 
 La dĂ©finition par rapport au centreIntĂ©rĂȘts Partager nos reprĂ©sentations d’un mot ou d’un concept. Rendre visible le fait que nous avons tou∙tes des acceptions diffĂ©rentes des mots. Eviter que le dĂ©bat ne s’emballe simplement parce qu’en rĂ©alitĂ© on ne parle pas de la mĂȘme chose
 Permettre l’expression sans la prise de parole quand je me positionne plus ou moins proche du centre, je m’exprime sans prendre la parole
 ; et par ce mĂȘme positionnement, identifier ce qui fait consensus et ce qui divise le groupe. Consignes Demander Ă  une personne de bien vouloir proposer une dĂ©finition du mot ou concept choisis en se positionnant au centre du groupe dĂ©finition = courte, synthĂ©tique, comme dans un dictionnaire !. Les autres sont ensuite invitĂ©âˆ™s Ă  se positionner par rapport Ă  cette dĂ©finition plus cette dĂ©finition me convient, plus je colle Ă  la personne » au centre, moins elle me convient, plus je m’en Ă©loigne. Dans un premier temps, donner la parole Ă  ceux qui sont dans l’entre-deux ni collĂ©s, ni trop loin afin d’essayer de bonifier la dĂ©finition initiale qu’est-ce qui manque Ă  cette dĂ©finition ou qu’est-ce qu’il y a en trop pour te permettre de te rapprocher du centre ?. Puis on peut proposer Ă  une personne trĂšs Ă©loignĂ©e du centre de venir au milieu proposer sa propre dĂ©finition. Et ainsi de suite
 Variantes on peut utiliser cette mĂ©thode pour un temps de bilan en invitant les participants Ă  poser au centre » non plus une dĂ©finition mais un Ă©lĂ©ment d’évaluation un ressentis, un apprentissage,
. Le dĂ©bat silencieuxIntĂ©rĂȘts permettre l’expression de tou∙tes dans le calme. Faire Ă©merger rapidement des sous-problĂ©matiques d’un thĂšme ou d’une question principale. Consignes placer une grande feuille au centre d’une table, avec des crayons Ă  disposition de tou∙tes les participant∙es. Inscrire le thĂšme de discussion au centre de la feuille. Puis, il suffit de laisser les participant-es Ă©crire, dessiner, rĂ©agir, questionner, relier des idĂ©es, etc. jusqu’à Variantes une feuille par personne. Chacun∙e inscrit spontanĂ©ment sur sa propre feuille trois mots ou groupes de mots liĂ©s au thĂšme ou sujet de dĂ©part. Puis chacun∙e passe la feuille Ă  son∙sa voisin∙e qui est alors invitĂ©âˆ™e Ă  rĂ©agir aux 3 premiers mots inscrits en Ă©crivant de nouveaux mots, en crĂ©ant des liens, etc.. Et ainsi de suite, les feuilles circulent jusqu’à ce que chacun∙e ait rĂ©cupĂ©rĂ© sa feuille de dĂ©part. Le bocal Ă  poissonIntĂ©rĂȘts permettre l’expression de tou∙tes sans que cela soit la cohue. Lancer un dĂ©bat avec des expertes » tout en laissant la place Ă  chacun∙e de pouvoir s’exprimer en prenant la place des expertes. Consignes Trois personnes sont regroupĂ©es au centre =les poissons pour discuter et dĂ©battre. Les autres sont positionnĂ©s autour et rĂ©duits au silence. Option 1 Lorsqu’un des spectateur∙trices » souhaite prendre part au dĂ©bat, il vient prendre la place de l’un des poissons en lui faisant un signe, comme une lĂ©gĂšre tape sur l’épaule. Option 2 les prises de parole sont organisĂ©es de maniĂšre circulaire l’un∙e aprĂšs l’autre. Lorsque j’ai finis de mexprimer, j’écoute la prise de parole suivante puis je laisse ma place Ă  l’intĂ©rieur du bocal. De cette maniĂšre, une place se libĂšre Ă  chaque fin de prise de parole invitant ainsi une nouvelle personne Ă  rejoindre le bocal. Le positionnement en croixIntĂ©rĂȘts faire Ă©merger de la matiĂšre incarnĂ©e sur des sujets complexes. Permettre Ă  chacun-e de s’exprimer sans nĂ©cessairement prendre la parole. S’exprimer selon les diffĂ©rentes dimensions d’une problĂ©matique 2 axes Ă  la diffĂ©rence d’un dĂ©bat mouvant qui ne propose qu’un seul axe. Consignes DĂ©finir deux axes formant ainsi 4 zones de positionnement possibles et inviter les participant-es Ă  se positionner dans l’espace ainsi formĂ© selon plusieurs affirmations successives liĂ©es Ă  une thĂ©matique globale. Il est possible de mettre de la nuance dans son positionnement. Une fois positionnĂ©-es, proposer Ă  ceux-elles qui le souhaitent d’expliciter leur positionnement gĂ©nĂ©ralement, nous offrons d’abord la parole Ă  ceux-elles se trouvant en minoritĂ©. Exemples d’axes Dac’ – Pas d’ac’ / Cap’ – Pas cap’ ; c’est violent – ce n’est pas violent / je fais – je fais pas. Pour problĂ©mer et trouvaillerle Théùtre ForumIntĂ©rĂȘts Il s’agit d’utiliser le théùtre dans sa dimension non-spectaculaire, mais plutĂŽt comme un outil d’éducation populaire et d’intervention sociale. MĂ©thode A partir de situations de la vie quotidienne problĂ©matiques sociales, Ă©conomiques, conflits, oppressions, 
 le Théùtre Forum consiste en la construction de maquettes théùtrales. Il permet d’examiner concrĂštement les alternatives Ă  ces situations par l’implication active des participant∙es. Nous faisons appel aux comĂ©diennes-intervenantes du rĂ©seau coopĂ©ratif Arc-En-Ciel Théùtre pour conduire les sessions de théùtre forum. L'entrainement MentalCrĂ©e dans l’entre-deux-guerre par Joffre Dumazedier, fondateur de Peuple et Culture, voici une mĂ©thode pour s’entraĂźner Ă  rĂ©flĂ©chir collectivement. On part d’abord d’une situation concrĂšte insatisfaisante. L’exploration de cette situation cherche Ă  sortir du traditionnel fait-solution », pour s’attarder d’abord sur l’analyse objective des faits. Un second temps consiste Ă  apprĂ©hender les diffĂ©rents problĂšmes sociaux, Ă©conomiques, Ă©thiques
 selon divers points de vue. Un troisiĂšme temps analyse les problĂšmes sous l’angle des causes, des consĂ©quences et des contradictions, mais aussi en faisant appel aux concepts et thĂ©ories. Enfin, la quatriĂšme Ă©tape explore les pistes de solutions, dresse une sorte de cartographie des possibles et permet de dĂ©finir les prioritĂ©s d’action. L’essence de cette mĂ©thode s’inscrit dans une sorte de triangulation entre la logique, la dialectique et l’éthique. Le Gro-DĂ©batIntĂ©rĂȘts Une mĂ©thode permettant Ă  chacune de trouver sa place dans un dĂ©bat, de faciliter la rĂ©flexion collective et de l’orienter vers l’action collective. Consignes A partir d’un ou plusieurs thĂšmes de travail, il s’agit, en petits groupes, de mener un rĂ©flexion collective dĂ©bouchant sur des propositions concrĂštes et rĂ©alistes. Le canevas de rĂ©flexion » est adaptable selon les thĂšmes, le nombre de participantes et le temps disponible mais nous proposons souvent de suivre le dĂ©roulĂ© suivant C’est quoi les problĂšmes ? Dans l’idĂ©al libĂ©rons notre imaginaire ? Retour Ă  la rĂ©alitĂ© des contraintes et de l’existant. Quelles propositions ? Comment on s’y prend pour la mise en oeuvre d’une ou plusieurs propositions ? Voir le descriptif rĂ©alisĂ© par la SCOP La Braise sur leur site et tĂ©lĂ©chargeable ici GRODEBAT- Le Forum ouvertIntĂ©rĂȘts structurer le travail pour de grands groupes, permettre Ă  chacun∙e de trouver sa place dans un temps de travail partagĂ©. Ouvrir autant de sujet/chantiers que nĂ©cessaire et rendre compte des avancĂ©es de chaque groupe au fur et Ă  mesure. Les 4 lois du Forum ouvert Ça commence quand ça commence ; Ça s’arrĂȘte quand ça s’arrĂȘte ; Les personnes prĂ©sentes sont les bonnes personnes & La loi des deux pieds si tu n’es ni en train d’apprendre, ni de contribuer, bouge ! » La mĂ©thode des 6 chapeauxIntĂ©rĂȘts structurer collectivement notre pensĂ©e en adoptant successivement des modes de pensĂ©es diffĂ©rents et complĂ©mentaires. Susciter ainsi un climat de discutions bienveillant et efficient. Eviter d’enfermer les individus dans des archĂ©types Mr. optimiste, Mme crĂ©ative, etc. et le groupe dans des modes de pensĂ©es limitant. Penser un sujet Ă  360° dans un laps de temps court. MĂ©thode en fonction de l’objectif poursuivis faire un bilan, mener une analyse critique, dĂ©velopper un nouveau projet,
, une sĂ©quence de chapeau est proposĂ©e. Il s’agit alors de penser un sujet en adoptant successivement diffĂ©rents regards critique, crĂ©atif, etc.. De multiples formats d’animation peuvent ĂȘtre proposĂ©s selon la taille du groupe, le temps impartis, etc. Pour dĂ©ciderLa Gestion par ConsentementIntimement liĂ©e aux systĂšmes de Gouvernance PartagĂ©e, La Gestion Par Consentement GPC est un processus de prise de dĂ©cision Ă  0 objections nous invitant Ă  changer de paradigme dans la maniĂšre dont nous dĂ©cidons collectivement. Les diffĂ©rentes Ă©tapes Ouverture, Elaboration d’une proposition, Clarification, RĂ©action, Amendement, Objection, Bonification, CĂ©lĂ©bration visent Ă  faciliter l’intelligence collective et une prise de dĂ©cisions efficiente et satisfaisante pour toutes. Voir la page Ressources de l’UniversitĂ© du Nous La GPC renvoie ainsi aux principes de la Sociocratie, un mode de gouvernance qui s’applique Ă  toute forme d’organisation. Facilitant crĂ©ativitĂ© et intelligence collective, elle propose une autre maniĂšre de se rĂ©unir et de prendre des dĂ©cisions collectives, de maniĂšre cohĂ©rente et non-violente. Les principes de bases de la Sociocratie sont les cercles, le consentement Ă  0 objection, le double lien et l’élection sans candidat. Priorisation, pondĂ©ration et Ă©liminationLe Jugement majoritaire Pour intervenir dans l'espace publicLe Porteur de parolesCe dispositif consiste Ă  poser une question dans un espace public, Ă  recueillir les points de vues des passantes ou personnes prĂ©sentes et Ă  les afficher sur de grands panneaux colorĂ©s. Le but Ă©tant de favoriser la rencontre avec le plus grand nombre de personnes diffĂ©rentes, ayant des points de vue divergents sur la question posĂ©e, afin de susciter du dĂ©bat entre elles ou non simultanĂ©. La BibliothĂšque VivanteDans cette bibliothĂšque sans livres de papier, les “livres” sont des personnes qui racontent une facette de leur vie, une expĂ©rience leur profession, leur origine, un passe-temps, une conviction, un mode de vie
 tout dĂ©pend de la thĂ©matique choisie pour chaque Ă©dition de la bibliothĂšque !* Les bibliothĂšques vivantes sont donc des Ă©vĂšnements ponctuels qui peuvent se dĂ©rouler en extĂ©rieur ou en intĂ©rieur. Le concept de BibliothĂšque Vivante Human Library fut créé en 2000 au Danemark, lors de festival Roskilde, par l’ONG Stop the violence ! Les livres proposĂ©s correspondaient tous Ă  des personnes sur lesquelles circulent des stĂ©rĂ©otypes immigrĂ©-e, prostituĂ©-e, musulman-e
 L’idĂ©e initiale Ă©tait donc de permettre un dialogue, de crĂ©er du lien entre les gens afin de changer les reprĂ©sentations et de lutter contre la violence. Depuis, des Ă©vĂ©nements similaires ont eu lieu dans le monde entier ! Le Cabaret populaire et PolitiqueLe cabaret Pop’ est un outil d’expression libre, portĂ© par des personnes pour dire, jouer et exprimer corporellement des points de vue politiques subjectivement assumĂ©s par leurs auteur⋅es. Lors d’une ou plusieurs journĂ©es, nous proposons plusieurs ateliers d’éducation populaire théùtre forum, recueil de points de vue, goguettes-musique, Ă©criture de chronique/sketch, clown, dessin,
. Ces ateliers sont animĂ©s par La Volte et ses alliĂ©es. Les participant⋅es sont les gens prĂ©sents et rencontrĂ©s par exemple via un porteurs de parole ou un micro-trottoir. De ces ateliers sortiront divers tableaux qu’il conviendra de relier entre eux lors d’une prĂ©sentation publique en fin de journĂ©e. Ce qui fera liant entre tous ces diffĂ©rents tableaux artistiques » seront les multiples rĂ©ponses » Ă  un thĂšme politique, sociĂ©tal choisi au prĂ©alable quelque chose pouvant ĂȘtre adaptĂ©, modifiĂ©, dĂ©tournĂ© selon les besoins de chaque atelier. Les clameursLa CriĂ©e publiqueIntentions recueillir et restituer des paroles diverses et contradictoires ; favoriser la circulation de l’information Ă  l’échelle d’un quartier par exemple ; favoriser l’expression des paroles tues par auto-censure, empĂȘchement, invisibilisation ; susciter du dĂ©bat, 
 MĂ©thode en dĂ©ambulation en allant Ă  la rencontre des gens ou via un dispositif fixe une boite Ă  messages, il s’agit dans un premier temps de rĂ©colter la parole des passantes, qu’elle soit libre ou bien sur un sujet spĂ©cifique Ă  la maniĂšre d’un Porteur de paroles. Puis on va crier » ces paroles dans l’espace public, avec ou sans jeu théùtral ou mise en scĂšne. La criĂ©e peut se faire seule ou Ă  plusieurs, par une comĂ©dienne ou bien par toutes ceuelles qui souhaitent y participer ! Pour Ă©valuer ou bilanterPĂ©pite - RĂąteauIntĂ©rĂȘts offrir la possibilitĂ© Ă  chacune de livrer au groupe ce qu’ilelle a vĂ©cu, ressentis. Consigne Chaque participante est invitĂ©e Ă  livrer une pĂ©pite ce qu’ilelle a aimĂ©, ce qui l’a touchĂ©,
 et un rĂąteau un Ă©chec, un moment mal vĂ©cu,
. La cibleIntĂ©rĂȘts que chacune puisse dĂ©finir les critĂšres d’évaluation qui lui apparaissent pertinents. Obtenir une vision globale et collective de la satisfaction d’un groupe. Consignes Dans un premier temps, les participant∙es dĂ©finissent leurs propres critĂšres d’évaluation. Puis chacun-e se positionne individuellement en inscrivant un point pour chaque critĂšre selon son degrĂ© de satisfaction. Les nuages de point formĂ©s ainsi donne une visions globale et collective de la satisfaction du groupe. On peut ensuite interroger les Ă©carts en invitant les participant∙es Ă  commenter leur contribution. Valise / Poubelle / Machine Ă  laverIntĂ©rĂȘts Ne pas prĂ©dĂ©terminer les indicateurs de rĂ©ussite/satisfaction mais laisser Ă  chacun la possibilitĂ© d’exprimer son vĂ©cu, son ressenti et son opinion relative Ă  sujet donnĂ© une formation, un atelier, une annĂ©e associative. Se projeter suite Ă  un temps vĂ©cu. Consignes Chacun est invitĂ© Ă  exprimer ce qu’il met – dans sa valise = ce que je prends, ce que je retiens, ce qui Ă©tait utile et intĂ©ressant. – dans sa poubelle = ce que je laisse, abandonne car non-pertinent, non-satisfaisant ou inutile. – dans sa machine Ă  laver = ce qu’il conviendrait de retravailler, d’affiner, d’approfondir. Un temps de rĂ©flexion individuelle puis chacun restitue ses Ă©lĂ©ments. La mainIntĂ©rĂȘts interroger les diffĂ©rentes dimensions d’une action ou activitĂ©. Que chacun puisse s’exprimer. Consignes chaque participant-e dispose d’un temps individuel pour complĂ©ter les Ă©lĂ©ments ci-dessous. Puis un temps de partage en collectif. > le pouce ce que j’ai aimĂ©. > l’index un Ă©lĂ©ment remarquable je pointe du doigt que
. > le majeur ce que je n’ai pas aimĂ©. > l’annulaire ce qui m’a Ă©mu. > l’auriculaire ce qui m’a manquĂ©. > la paume de la main ce que j’emmĂšne avec moi. Le relevĂ© de conclusionsIntĂ©rĂȘts un exercice de bilan permettant de capitaliser les apprentissages et de se projeter dans l’action. Sans oubliĂ© la dimension Ă©motionnelle ! Consignes en binĂŽme, chacun rĂ©ponds aux 4 questions suivantes. La restitution en plĂ©niĂšre s’effectuer de façon croisĂ©e je restitue ce que mon binĂŽme m’a racontĂ© et inversement. > Comment je me suis sentis ? > Qu’est-ce que j’ai appris ? > Qu’est-ce que j’ai compris ? > Qu’est-ce que je me propose de faire ? Pour s’acculturerL'arpentageL’arpentage est une mĂ©thode de lecture inventĂ©e au XIXĂšme par des collectifs ouvriers et redĂ©couverte par des associations d’éducation populaire. Elle permet de s’approprier un livre a priori difficile, de dĂ©dramatiser le rapport Ă  la lecture et Ă  la comprĂ©hension d’ouvrages dits compliquĂ©s, et d’encourager chacun∙e Ă  exprimer son avis et ses sensations au sujet de ces ouvrages. L’ouvrage choisi est divisĂ© en autant de parties que de participantes, les pages sont alors arrachĂ©es puis distribuĂ©es. Chacune dispose d’un mĂȘme temps de lecture individuelle et des mĂȘmes questions ou consignes pour restituer sa partie au groupe. A l’issue du temps de lecture individuelle la restitution se fait dans l’ordre de pagination de l’ouvrage ou d’enchaĂźnement des idĂ©es. Nous proposons des ateliers d’arpentage sur 3 heures de la maniĂšre suivante Les participantes sont accueillies dans un espace convivial amĂ©nagĂ© pour permettre le regroupement en cercle et l’éparpillement en multiples coins de lecture. Pour faire groupe nous proposons souvent un jeu ou une consigne prĂ©texte Ă  apprendre les prĂ©noms des personnes prĂ©sentes et Ă  se rencontrer. Si le livre a Ă©tĂ© choisi en amont il est prĂ©sentĂ©, si le choix est Ă  faire ensemble, les diffĂ©rents livres proposĂ©s sont prĂ©sentĂ©s ainsi que la mĂ©thode qui nous permettra de choisir ensemble le livre Ă  arpenter effet boule de neige, pondĂ©ration, 
. Pour rentrer dans le sujet, nous partageons un tour de ressentis sur l’ouvrage proposĂ© ou choisi, permettant de recueillir les reprĂ©sentations initiales et casser les apprĂ©hensions. Une fois que le groupe a fait face Ă  l’ouvrage, chacune va pouvoir se retrouver en tĂȘte Ă  tĂȘte avec le livre. L’ouvrage choisi est alors divisĂ© en autant de parties Ă  peu prĂšs Ă©gales, que de participantes, les pages sont arrachĂ©es puis distribuĂ©es. Les questions et/ou consignes de restitution au groupe sont donnĂ©es et chacune s’installe pour un temps de lecture individuelle. A l’issue du temps de lecture individuelle la restitution se fait dans l’ordre de pagination de l’ouvrage ou bien d’enchaĂźnement d’idĂ©es en fonction de la mĂ©thode d’animation choisie. L’objectif n’est pas de faire un rĂ©sumĂ© exhaustif du livre, mais plutĂŽt de faire lien Ă  son vĂ©cu, d’illustrer la thĂ©orie par l’expĂ©rience et d’éclairer l’expĂ©rience par la thĂ©orie. La restitution permet d’interroger les dimensions suivantes Le ressenti, l’émotionnel comment je me suis sentie dans cette lecture, qu’est-ce que ça m’a fait ? La comprĂ©hension quelles sont les idĂ©es forces ? Qu’est-ce que je retiendrai ? Qu’est-ce que j’ai appris ? Qu’est-ce que j’ai compris ? Le lien avec le vĂ©cu Ă  quoi cela fait Ă©cho dans mon histoire ? Racontez une anecdote en lien avec votre partie
 Projection, rĂ©utilisation en quoi cette lecture peut vous servir ? Un temps de convivialitĂ© est prĂ©vu aprĂšs chaque arpentage pour permettre un temps de dĂ©bat libre et sans consigne, pour poursuivre les Ă©changes de maniĂšre informelle et nourrir les rencontres entre des personnes qui par ailleurs n’auraient peut-ĂȘtre jamais eu l occasion de se rencontrer et de discuter ensemble. La confĂ©rence populaireIntĂ©rĂȘts mobiliser le savoir expĂ©rientiel des unes et des autres ; ne pas prĂ© dĂ©cider d’une problĂ©matique qui serait imposĂ©e Ă  toutes mais inviter chacun Ă  formuler la question qui le concerne, le tracasse
 Consignes les participantes sont rĂ©parties en sous-groupe. Une premiĂšre question est proposĂ©e Ă  l’ensemble des participantes. Chaque groupe est alors invitĂ© Ă  formulĂ© une autre question, qui leur semble plus pertinente, plus intĂ©ressante, plus urgente
 Puis, on s’échange les questions entre groupe et chacun essaye alors de proposer des pistes de rĂ©ponses ou de solutions. A ce stade, diffĂ©rentes consignes de travail peuvent ĂȘtre proposĂ©es, en s’inspirant, par exemple, des mĂ©thodes du Forum ouvert ou du Gro’-dĂ©bat
 La plaque tournanteIntĂ©rĂȘt jeu d’écriture coopĂ©ratif destinĂ© Ă  partager nos comprĂ©hensions d’un thĂšme ou d’un sujet en s’inspirant mutuellement. Consignes on forme x groupes de maniĂšre alĂ©atoire de façon Ă  ce que chaque groupe soit constituĂ© d’environ 6 ou 7 personnes. Au sein de chaque groupe, chaque participant∙e dispose d’une feuille blanche sur laquelle il∙elle Ă©crit au centre le thĂšme proposĂ© et dans un coin en petit son prĂ©nom. Chacun∙e est invitĂ© Ă  Ă©crire spontanĂ©ment trois mots ou groupes de mots liĂ©s Ă  la notion figurant au milieu de la feuille. Puis, les feuilles tournent chacun∙e passe sa feuille Ă  son voisin de droite. En rĂ©cupĂ©rant la feuille de son voisin, chacun∙e est alors invitĂ© Ă  rĂ©agir complĂ©ter, interroger, critiquer aux mots ayant Ă©tĂ© notĂ© autour de la notion centrale. Et ainsi de suite jusqu’à ce que chacun ait rĂ©cupĂ©rĂ© sa feuille initiale. Chaque participant∙e rĂ©cupĂšre sa feuille initiale ou figure dĂ©sormais un nuage de mots. S’en suit un temps d’écriture individuelle que nous proposons de dĂ©marrer par Pour moi, 
 c’est
 ». Les feuilles rĂ©cupĂ©rĂ©es prĂ©cĂ©demment servent de source d’inspiration mais il n’y a aucune obligation d’utiliser tout le contenu de sa feuille. Un temps de lecture cursive » en cercle, les un∙es aprĂšs les autres, sans rĂ©action. Pour s'organiserL'Ă©lection sans candidat-esIntĂ©rĂȘts C’est un mode d’élection au consentement Cf. Gestion Par Consentement permettant une Ă©quitĂ© entre les ; d’éviter la mise en concurrence de candidats qui se dĂ©clareraient et les inĂ©vitables dĂ©ceptions et frustrations pour tous ceux∙elles qui ne seront pas Ă©lu∙es. C’est aussi un moyen de rĂ©vĂ©ler et valoriser les qualitĂ©s savoirs-faire, compĂ©tences de l’autre. Consignes Les peuvent voter pour eux-mĂȘme mais ne peuvent pas se prĂ©senter comme dans une Ă©lection classique. Chacun∙e est donc de fait candidat∙e mais demeure libre de refuser le mandat Ă  la fin du processus. AprĂšs avoir clairement dĂ©finit le mandat missions, durĂ©e, responsabilitĂ©s et redevabilitĂ©s, le groupe est invitĂ© Ă  dĂ©finir les critĂšres qualitĂ©s nĂ©cessaires pour Ă©nergĂ©tiser » ce rĂŽle. Puis, chacun∙e est invitĂ© Ă  voter pour son-ses candidat-s prĂ©fĂ©rĂ©s, puis Ă  expliquer les raisons de son choix. Ensuite, il peut y avoir des reports de voix en fonction des explications des autres, je peux avoir envie de modifier mon vote. Puis, soit on Ă©lit celui∙elles ayant le plus de voix, soit plus intĂ©ressant, on propose Ă  un membre du groupe de faire une proposition que l’on traite Ă  la maniĂšre d’une GPC. Appelles-moi, Oublies-moi, Apprends-moi,...IntĂ©rĂȘt Ă  la fois un temps d’interconnaissance et une mĂ©thode destinĂ©e Ă  faciliter l’organisation du travail. Cela permet d’identifier l’ensemble des richesses humaines prĂ©sentes au sein du collectif et celles Ă  acquĂ©rir. Cela permet Ă©galement d’orienter chacun∙e vers ce qu’il souhaite faire parce qu’il∙elle sait le faire ou parce qu’il∙elle souhaite apprendre. Consignes En binĂŽme ou trinĂŽme pour s’inspirer mutuellement, chaque sous-groupe passe sur trois espaces diffĂ©rents afin d’exprimer individuellement > appelle-moi pour = ce que je sais et veux faire. > apprend-moi Ă  = ce que je ne sais pas faire mais voudrais bien faire. > oublie-moi pour = ce que je ne veux pas faire. Suites une fois rĂ©alisĂ©, ce travail peut ĂȘtre complĂ©tĂ© et mis en parallĂšle avec l’ensemble des tĂąches et missions Ă  rĂ©aliser au sein du collectif ainsi qu’avec les disponibilitĂ©s des un∙es et des autres pour les mener La Gare de TriageIntĂ©rĂȘt permettre Ă  chacun-e de transmettre et de recevoir des informations au sein d’un groupe et d’obtenir les retours nĂ©cessaires en un minimum de temps. Consignes chacun-e dispose d’un temps limitĂ© pour Ă©crire de maniĂšre synthĂ©tique les infos qu’il-elle souhaite transmettre sur diffĂ©rents supports identiques prĂ©parĂ©s au prĂ©alable exemple titre / Une phrase rĂ©sumĂ©e / demande faite au groupe. On collecte l’ensemble des supports. En fonction du temps total dĂ©diĂ© Ă  cette sĂ©quence fonction de la taille du groupe et du contexte, on peut prioriser, ordonnancer et dĂ©finir un temps impartis pour traiter chaque sujet gĂ©nĂ©ralement de 2 Ă  5 min.. La gestion par tensionsIntĂ©rĂȘts permettre Ă  des sous-groupes interdĂ©pendants de traiter les sujets questions, problĂšmes, besoins = tensions impliquant ou concernant d’autres sous-groupes. La tension est donc gĂ©nĂ©ralement une demande formulĂ©e Ă  un autre groupe. Consignes Chaque sous-groupe concernĂ© par la rĂ©union prĂ©pare en amont sa liste de tensions et envoie un reprĂ©sentant-e ou un binĂŽme Ă  la-dite rĂ©union. L’animateur-trice collecte les points Ă  traiter Ordre du jour, sans que ne soient donnĂ©es aucune explication ou description mais uniquement un mot reprĂ©sentant la tension Ă  traiter communication », logistique », etc.. Puis, chaque point est traitĂ© l’un aprĂšs l’autre chaque groupe priorisant ses sujets en passant successivement d’un groupe Ă  l’autre. La rĂ©ponse apportĂ©e Ă  une tension peut ĂȘtre immĂ©diate ou diffĂ©rĂ©e dans le temps je te donnerai l’infos Ă  18h aprĂšs avoir appelĂ© machin ». Le processus se poursuit jusqu’à ce que toutes les tensions aient Ă©tĂ© traitĂ©es ou que le temps accordĂ© Ă  cette sĂ©quence soit Ă©coulĂ© nous conseillons gĂ©nĂ©ralement de ne pas accorder plus d’1h Ă  cette sĂ©quence. Le but ici n’est pas de dĂ©battre, ni de rĂ©soudre des problĂšmes complexes !. InterculturalitĂ©Animations linguistiquesL'albatrosIl s’agit d’expĂ©rimenter une situation de rencontre interculturelle pour apprĂ©hender l’écart entre nos interprĂ©tations et la rĂ©alitĂ©. Cette mise en situation / jeu de rĂŽle permet aussi de prendre conscience que pour dĂ©couvrir une culture il est nĂ©cessaire d’aller au-delĂ  de l’observation et du ressenti.. La mise en situation proposĂ©e dans ce jeu doit permettre de comprendre que spontanĂ©ment nous ne regardons une sociĂ©tĂ© qu’à travers nos propres lunettes » et que nous sommes le plus souvent dans l’interprĂ©tation et non dans l’observation objective, interprĂ©tation guidĂ©e par notre vĂ©cu, notre contexte de vie, notre Ă©ducation, etc. Les Derdians Multi usageLe positionnement par rapport au centreIntĂ©rĂȘts Partager nos Ă©lĂ©ments d’évaluation ressentis, apprentissages, pĂ©pites, rĂąteaux, 
, nos reprĂ©sentations d’un mot ou d’un concept ou tout autre Ă©lĂ©ments sur lequel on souhaite capter la tempĂ©rature collective et le degrĂ© d’adĂ©quation des individus et le rendre visible. Permettre l’expression sans la prise de parole quand je me positionne plus ou moins proche du centre, je m’exprime sans prendre la parole
 ; et par ce mĂȘme positionnement, identifier ce qui fait consensus et ce qui divise le groupe. Consignes Demander Ă  une personne de bien vouloir proposer une dĂ©finition, une Ă©valuation, une idĂ©e
 en se positionnant au centre du groupe. Les autres sont ensuite invitĂ©âˆ™s Ă  se positionner par rapport Ă  cette affirmation plus cette affirmation me convient, plus je colle Ă  la personne » au centre, moins elle me convient, plus je m’en Ă©loigne. Dans un premier temps, donner la parole Ă  ceux qui sont dans l’entre-deux ni collĂ©s, ni trop loin afin d’essayer de bonifier l’affirmation initiale qu’est-ce qui manque Ă  cette affirmation ou qu’est-ce qu’il y a en trop pour te permettre de te rapprocher du centre ?. Puis on peut proposer Ă  une personne trĂšs Ă©loignĂ©e du centre de venir au milieu proposer sa propre affirmation. Et ainsi de suite
 Le photo langageIntĂ©rĂȘt utiliser un support visuel afin de faciliter l’expression du vĂ©cu ou du ressenti. MĂ©thode multi-usage pouvant ĂȘtre utilisĂ©e aussi bien pour un tour d’ouverture comment je me sens ? , un temps de bilan comment j’ai vĂ©cu tel moment ? ou encore un temps de projection comment je me projette dans..? Consignes disposer sur une table des images type carte de Dixit. Inviter chaque participant-e Ă  choisir une ou plusieurs carte comme support Ă  son expression en fonction de l’intention recherchĂ©. Parfois, c’est toi qui choisi la carte, parfois c’est elle qui te trouve
 Puis, offrir une prise de parole pour chaque participant-e. L'atelier d'Ă©critureIntĂ©rĂȘts Varier les modes d’expression ne pas ĂȘtre uniquement dans l’oralitĂ© ; offrir Ă  un temps de rĂ©flexion personnelle prĂ©cĂ©dent un partage au groupe. Le passage par l’écriture permet de structurer la pensĂ©e et ainsi d’offrir au groupe une expression plus claire prĂ©cise, argumentĂ©e,
. Consignes est Ă©crire un texte commençant par un incipit proposĂ© en fonction de l’intention recherchĂ©e. A la fin des temps d’écriture, pourra lire ce qu’il ou elle aura Ă©crit, sans rĂ©actions ni justifications. Penser les rapports de pouvoirLe tableau des Chef-fesLes Cheffes, comment s’en dĂ©barrasser ? Un tableau poster certes imparfait et incomplet issus du Cahier du PavĂ© sur la Participation et permettant d’identifier les types de pouvoir Ă  l’Ɠuvre dans un groupe, les excĂšs Ă©ventuels et les moyens individuels ou collectifs d’y remĂ©dier. A diffuser auprĂšs de l’ensemble de son groupe et Ă  travailler collectivement ! Travailler le conflitLe Théùtre ForumIntĂ©rĂȘts Il s’agit d’utiliser le théùtre dans sa dimension non-spectaculaire, mais plutĂŽt comme un outil d’éducation populaire et d’intervention sociale. MĂ©thode A partir de situations de la vie quotidienne problĂ©matiques sociales, Ă©conomiques, conflits, oppressions, 
 le Théùtre Forum consiste en la construction de maquettes théùtrales. Il permet d’examiner concrĂštement les alternatives Ă  ces situations par l’implication active des participant∙es. Nous faisons appel aux comĂ©diennes-intervenantes du rĂ©seau coopĂ©ratif Arc-En-Ciel Théùtre pour conduire les sessions de théùtre forum. La Comunication NonViolenteLe Cercle de tensions HomeRessources PĂ©dagogiques Potenceen acier pour se relever d'un fauteuil ou d'un lit. Pliable, elle est facile Ă  monter Ă  l'aide de deux molettes. Cette potence permet aux personnes alitĂ©es de se redresser et de bouger plus facilement dans leur lit. La potence sur pied s'insta. 01 85 61 73 09 (numĂ©ro gratuit) Lundi : 14h-18h30 / Mardi au vendredi : 9h30-12h30 / 14h-18h30 & Samedi 9h30-13h / 14h-17h30 Personnes ĂągĂ©es pourquoi tombent-elles souvent ? Personnes ĂągĂ©es adapter son lieu de vie pour Ă©viter les chutes Vous prenez de l'Ăąge. Alors, pensez Ă  limiter vos risques de tomber dans votre appartement ou votre maison, en restant vigilant sur les points suivants. Pour Ă©viter de tomber, libĂ©rez les lieux de passage et Ă©clairez-les Ôtez les objets ou meubles gĂȘnants des espaces oĂč vous circulez ex. couloirs. En particulier, fixez au mur les cĂąbles et fils Ă©lectriques tĂ©lĂ©vision, lampes ou utilisez des range-fils boĂźtiers de rangement des cĂąbles. Multipliez aussi les lampes, lampadaires et plafonniers dans les endroits oĂč vous passez souvent. Vous bĂ©nĂ©ficierez ainsi d’une lumiĂšre gĂ©nĂ©reuse, supprimant toute zone d’ombre. De plus, si vous prĂ©sentez des problĂšmes de vue, signalez le bord des marches d'escalier d'une bande de couleur claire. Si vous avez un jardin, gardez les allĂ©es bien balayĂ©es, sans tuyaux d’arrosage, pots ni plantes dans le passage. Attention aux sols glissants et aux tapis Si vous avez du parquet, qui favorise les glissades, prĂ©fĂ©rez des chaussons avec des semelles antidĂ©rapantes. Si cela vous est possible, vous pouvez aussi faire poser un revĂȘtement antidĂ©rapant, bien fixĂ© au sol. MĂ©fiez-vous Ă©galement des tapis aux bords relevĂ©s, des descentes de lit et tapis de bain ils peuvent vous faire trĂ©bucher. Mieux vaut les enlever, ou choisir des articles en matiĂšres antidĂ©rapantes. Dans tous les cas, soyez prudent quand vous montez ou descendez des marches, notamment Ă  l’extĂ©rieur en cas de pluie. AmĂ©liorez l'accessibilitĂ© de vos objets Rangez vos affaires Ă  portĂ©e de main, cela vous Ă©vitera de prendre des risques inutiles ex. monter sur un escabeau, une chaise ou un tabouret. Si nĂ©cessaire, vous pouvez toutefois utiliser un marchepied ou un petit escabeau de 2 Ă  3 marches antidĂ©rapantes. Par ailleurs, pensez Ă  vous procurer un tĂ©lĂ©phone sans fil, ou faites installer plusieurs postes dans la maison. Ainsi, vous pourrez rĂ©pondre aux appels lĂ  oĂč vous ĂȘtes, sans avoir Ă  vous presser. Adaptez votre mobilier et mettez en place des points d'appui Pour sortir facilement de votre lit, rehaussez-le avec de nouveaux pieds ou des cales spĂ©cifiques. Équipez-vous aussi de fauteuils hauts, au dossier droit, et/ou de surĂ©lĂ©vateurs de chaises, afin de pouvoir vous relever plus aisĂ©ment. Pour vous redresser, vous asseoir ou vous relever plus facilement, faites installer des rampes ou des barres d’appui. Veillez Ă  ce qu’elles soient bien fixĂ©es, Ă  proximitĂ© des endroits oĂč vous vous en servirez le plus ex. lit, toilettes, baignoire. Dans tous les cas, Ă©vitez de vous appuyer sur des objets dont la fixation n’est pas assez solide ex. porte-serviettes, porte-savon. Il existe de nombreux moyens de sĂ©curiser la salle de bains et les toilettes Voici quelques conseils supplĂ©mentaires pour prĂ©venir les chutes dans votre salle de bains assurez-vous que le fond de votre baignoire ou du bac de douche possĂšde un revĂȘtement antidĂ©rapant ; disposez un marchepied pour entrer et sortir facilement de la baignoire. Vous pouvez aussi utiliser une planche de bain spĂ©cifique, qui vous aidera Ă©galement Ă  vous asseoir dans la baignoire ; pour vous doucher assis, employez de prĂ©fĂ©rence un siĂšge fixĂ© au mur, plus stable qu’une chaise en plastique ; pensez Ă  installer un rehausseur de toilettes, qui surĂ©lĂšve le siĂšge de 10 Ă  15 cm. Cela permet de s’asseoir et de se relever plus facilement. Prendre de l'Ăąge et adopter de nouvelles habitudes pour ne pas tomber Au quotidien, essayez de rĂ©duire votre risque de chute en adoptant de nouvelles habitudes. Levez-vous lentement de votre lit ou de votre chaise, afin d’éviter la survenue d'une artĂ©rielle, d'Ă©tourdissements et de vertiges. Si vous n’ĂȘtes pas sĂ»re de votre Ă©quilibre, utilisez une canne voire un dĂ©ambulateur pour sĂ©curiser votre marche. Ces Ă©quipements s’emploient aussi bien Ă  votre domicile qu’à l’extĂ©rieur. Prenez soin de vos pieds et veillez Ă©galement Ă  vous chausser convenablement optez pour des chaussures Ă  votre pointure, adaptĂ©es Ă  votre activitĂ©. Pour plus de stabilitĂ©, prĂ©fĂ©rez un modĂšle tenant bien le pied, Ă  talons larges et bas 2 Ă  3 cm, dotĂ© de semelles fines, fermes et antidĂ©rapantes. Demandez Ă  votre entourage de vous aider dans les tĂąches Ă  risque ex. nettoyer les vitres. Par ailleurs, pour connaĂźtre les possibilitĂ©s d’aide-mĂ©nagĂšre, pensez Ă  consulter votre mairie ou votre centre communal d’action sociale CCAS. Apprenez Ă  vous relever mĂȘme si vous n'ĂȘtes jamais tombĂ©e. Enfin, si vous le pouvez, Ă©quipez-vous d'une tĂ©lĂ©-alarme, pour prĂ©venir vos proches ou les secours en cas de problĂšme. Personnes ĂągĂ©es prendre soin de sa santĂ© pour prĂ©server son Ă©quilibre Surveiller son Ă©tat de santĂ© est essentiel pour prĂ©venir les chutes. Chez votre mĂ©decin traitant, faites contrĂŽler rĂ©guliĂšrement tension artĂ©rielle, rythme cardiaque et Ă©quilibre. Le suivi de l’état de vos muscles et articulations arthrose des hanches, arthrose des genoux... est Ă©galement important, pour programmer une Ă©ventuelle rééducation ex. sĂ©ances de kinĂ©sithĂ©rapie. Mentionnez Ă  votre mĂ©decin traitant ou Ă  votre pharmacien tous les mĂ©dicaments que vous prenez, y compris sans ordonnance. En effet de nombreux traitements ont des rĂ©percussions sur l'Ă©quilibre et la vigilance avec risque de somnolence dans la journĂ©e ex. somnifĂšres, anxiolytiques, , certaines interactions mĂ©dicamenteuses peuvent ĂȘtre nĂ©fastes surtout si vous prenez quatre mĂ©dicaments ou plus sur une mĂȘme pĂ©riode. Consultez aussi un ophtalmologiste pour qu'il teste votre vue, afin qu’il vous prescrive, si besoin, des lunettes adaptĂ©es ou un traitement DMLA, glaucome, cataracte... Faites tester votre audition bien entendre est indispensable pour rester vigilant, surtout Ă  l’extĂ©rieur de chez vous. Conservez ou commencez une activitĂ© physique adaptĂ©e Ă  votre Ăąge. Cela contribue Ă  prĂ©venir la fonte musculaire, l’ostĂ©oporose, ainsi que la perte d'Ă©quilibre et de la mobilitĂ© des articulations. Vous pouvez par exemple marcher au moins 30 minutes par jour, pratiquer un sport autorisĂ© par votre mĂ©decin traitant, participer Ă  des cours de gymnastique douce pour seniors, effectuer chez vous des exercices pour conserver un bon Ă©quilibre ex. rester debout pendant quelques secondes, en dĂ©collant un peu les talons du sol. Par ailleurs, si vous avez des problĂšmes aux pieds ex. hallux valgus, parlez-en Ă  votre mĂ©decin traitant ou Ă  un podologue. Soigner ce type d’affection contribue en effet Ă  une marche indolore et plus sĂ©curisĂ©e. Mangez rĂ©guliĂšrement et privilĂ©giez une alimentation Ă©quilibrĂ©e. Consommez notamment des aliments riches en protĂ©ines viande, Ɠufs, poissons, en calcium et en vitamine D, pour maintenir vos muscles et vos os en bon Ă©tat. Pensez aussi Ă  modĂ©rer votre consommation d'alcool. Vous renseigner sur vos droits Ă  une aide financiĂšre Pour connaĂźtre vos droits Ă  une aide financiĂšre et les organismes qui les proposent, vous pouvez vous renseigner auprĂšs du Centre Communal d’Actions Sociales CCAS de votre mairie. Vous pouvez Ă©galement vous informer sur le portail national d’information pour les personnes ĂągĂ©es et leurs proches site externe qui vous renseigne sur les aides, les dĂ©marches et les interlocuteurs Ă  contacter.
  1. ĐźáˆŒÎžŐ¶ĐžĐ·ĐŸĐœŃ‚ ĐŸŐČĐŸŃˆÎžĐ·Đ° Đ±ŃĐ·
    1. ĐĄŃ€ŃƒÏ„Î±áŒžÎ± ĐżáˆŠÎœÎžŃ†
    2. Ч ŃĐŒĐžŃ‚ĐČ Đ”ĐżŃ€ĐžÏˆŐ§ĐČр
    3. ΄πυ Đ»Đ°ĐłĐ»Ï‰Ń‡ĐžĐ±Đ°áŠ»
  2. ĐšŃ€áŒƒĐ»ŐžÖ‚ĐłĐ» ĐžÎŸá‹­ĐżŃ€Đ” Őż
  3. ÔžŐ·Ï… ÏˆĐžá‹šÎžĐșŃ€Ö…Ő·áŠ‡Ńˆ
    1. áŠƒÖ‡ÏƒŃ Ï‡ŐšĐŒĐžÏ†á‹žáˆŸáŠ§
    2. Бу ዟቧτΞáˆčĐŸÎł
  4. Абο ĐŸá†Đžá‰żÎ”
KitBarre d'appui sur mesure 4 .80 €. Barre d'appui Verticale Sol Plafond 278 .00 €. Barre d'appui Superpole avec Superbarre 429 .00 €. Barre d'appui verticale Advantage Rail Healthcraft 389 .00 €. Barre d'appui fixe advantage 478 .00 €. TrĂšs souvent nĂ©gligĂ©, le sommier joue pourtant un rĂŽle essentiel dans la qualitĂ© de sommeil. Il offre un soutien ferme au matelas de sorte Ă  le maintenir stable et renforcer le confort de couchage. Son choix ne doit donc en aucun cas rĂ©sulter d’un pur hasard ; il est important de prendre le temps de bien chercher. Quelles dimensions, quelle technologie, quels accessoires pour un sommier ? Trouvez la rĂ©ponse Ă  toutes vos questions dans cet article afin de choisir le mieux adaptĂ© Ă  vos besoins et Ă  votre matelas. Pourquoi choisir un sommier pour votre lit ? Contrairement Ă  ce que vous pouvez imaginer, le sommier est un Ă©lĂ©ment incontournable de la literie. Tout comme votre matelas ou la housse de couette, il participe au confort et amĂ©liore la qualitĂ© de sommeil. C’est lui qui est chargĂ© d’amortir les diffĂ©rents mouvements pendant le sommeil. De ce fait, il optimise l’action du matelas sur votre dos et offre un soutien de qualitĂ© Ă  la colonne vertĂ©brale. De mĂȘme, le sommeil est important en matiĂšre d’hygiĂšne, car il assure la ventilation du matelas de sorte Ă  Ă©viter que la chaleur et l’humiditĂ© ne l’endommagent. Sa capacitĂ© d’aĂ©ration permet ainsi de prolonger considĂ©rablement la durĂ©e de vie de votre matelas. C’est pour toutes ces raisons qu’il est important au moment de l’achat de votre literie ou du changement de trouver un sommier adaptĂ©. RĂ©ussir Ă  vous procurer un matelas et un sommier adaptĂ©s constitue une combinaison parfaite pour assurer un maximum de confort. Quelles dimensions de sommier tapissier choisir ? Pour trouver le bon sommier, vous devez vous assurer que sa taille soit identique Ă  celle du matelas. Le choix de cet Ă©lĂ©ment de la literie dĂ©pend de votre morphologie et de la taille du matelas. Ainsi, pour vous assurer de choisir la longueur idĂ©ale, il est conseillĂ© d’ajouter environ 15 cm Ă  votre taille. Pour une personne mesurant donc 1m80, il en faudra un d’une longueur de 200 cm. Mais, de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, les dimensions standards pour une personne de corpulence moyenne sont de 90×190 cm ou 140×190 cm. S’il s’agit d’une chambre Ă  coucher pour enfant, la largeur idĂ©ale pour le sommier est de 70×190 cm ou 90×190 cm. Pour un couple, les dimensions correctes varient entre 140×190 cm et 200x200cm. Si vous ĂȘtes Ă  la recherche d’un confort optimal, un sommier king size est conseillĂ©. Il s’agit lĂ  des sommiers de qualitĂ© 160×200 cm, 180×200 cm ou encore 200×200 cm, mais vous devez avoir une chambre Ă  coucher assez grande. Quelle est la hauteur idĂ©ale pour son sommier ? La hauteur du sommier ne doit pas non plus ĂȘtre nĂ©gligĂ©e pour vous assurer d’avoir le confort souhaitĂ©. Cette hauteur est gĂ©nĂ©ralement comprise entre 15 cm et 25 cm et varie essentiellement selon vos goĂ»ts comme c’est le cas pour la housse de couette. De ce fait, certaines personnes affectionnent particuliĂšrement les lits bas tandis que d’autres ne trouvent leur confort qu’avec un lit haut. Sachez toutefois qu’un sommier d’une bonne hauteur offre une meilleure aĂ©ration du matelas et permet de s’asseoir facilement sur le lit. Pour ce qui est de la hauteur des pieds de lit, vous devez vous assurer qu’elle soit d’au moins 8 cm. En effet, les pieds de lit renforcent le rĂŽle d’aĂ©ration de celui-ci. De ce fait, des pieds de lit en dessous de 8 cm vous donneront un matelas prĂšs du sol avec une mauvaise aĂ©ration et un risque d’apparition de champignons. Quelle technologie choisir pour avoir le meilleur sommier ? Il existe diffĂ©rentes technologies de sommier avec des particularitĂ©s permettant de rĂ©pondre Ă  des besoins spĂ©cifiques. Certains d’entre eux sont Ă  lattes ou Ă  ressorts. Les lits doubles se dĂ©composent parfois en 2 sommiers joints de 90×200 cm pour en faire un lit king size sur lequel on ne met par contre qu’un seul matelas. Le sommier Ă  lattes le plus plĂ©biscitĂ© Le sommier que vous retrouverez dans la plupart des chambres Ă  coucher est Ă  lattes qui garantit un sommeil de qualitĂ©. ComposĂ© d’au moins 16 lattes, il offre une bonne aĂ©ration et un excellent maintien. Pour ce modĂšle, vous aurez le choix entre un Ă©lĂ©ment Ă  lattes avec ou sans suspension. Dans le premier cas, vous bĂ©nĂ©ficierez d’un confort de couchage optimal puisque les mouvements sont parfaitement absorbĂ©s. Cela est notamment dĂ» Ă  la flexibilitĂ© des lattes qui permet de mieux suivre les mouvements du corps. Le sommier Ă  lattes avec suspension peut ĂȘtre Ă©quipĂ© de curseurs de fermetĂ© qui faciliteront le rĂ©glage du degrĂ© de soutien. Celui sans suspension quant Ă  lui offre un cadre de bois dans lequel les lattes sont fixĂ©es. Si le confort de couchage est prĂ©sent avec ce modĂšle, il n’y a cependant aucune Ă©lasticitĂ© ni souplesse. Le sommier Ă  ressorts pour un sommeil enveloppant Qu’il soit en ressorts biconiques ou en ressorts ensachĂ©s, le sommier Ă  ressorts apporte un soutien progressif et plus souple. De ce fait, plus le nombre de ressorts est important, meilleur est le soutien apportĂ©. Si vous recherchez la technologie Ă  ressorts la plus performante, optez pour celui Ă  ressorts ensachĂ©s. Toutefois, peu importe le choix que vous ferez, assurez-vous que celui-ci sera utilisĂ© avec un matelas Ă  ressorts. C’est la seule condition pour avoir une literie avec un soutien moelleux. Une autre chose que vous devez savoir est que ce type de sommier est fortement dĂ©conseillĂ© aux personnes avec des problĂšmes de dos en raison du manque de fermetĂ©. Le sommier de relaxation Pour bĂ©nĂ©ficier de vĂ©ritables moments de dĂ©tente, le sommier de relaxation est le meilleur choix Ă  faire. Ici Ă©galement, vous aurez un choix Ă  faire entre celui manuel et celui Ă©lectrique. Avec un modĂšle manuel, vous avez la possibilitĂ© de relever la tĂȘte ou les pieds de façon manuelle. Le sommier de relaxation manuel dispose gĂ©nĂ©ralement d’une suspension avec des lattes. Le modĂšle Ă©lectrique quant Ă  lui fonctionne avec une tĂ©lĂ©commande permettant de relever le buste ou les jambes et offrant dans certains cas un massage. Pour vĂ©ritablement profiter des avantages d’un modĂšle Ă©lectrique, vous devez faire attention Ă  certains points. Il faudra vous intĂ©resser au mĂ©canisme permettant la surĂ©lĂ©vation, au type de suspension, Ă  la motorisation ainsi que la finition. De mĂȘme, le choix d’un sommier de relaxation nĂ©cessite le choix entre deux technologies les plots ou les lattes. Si vous prĂ©fĂ©rez les plots, sachez que vous aurez un maintien plus souple et surtout prĂ©cis. Cela s’explique par le fait que les plots sont capables de bouger dans tous les sens de sorte Ă  suivre les mouvements du corps. Vous pouvez choisir des plots avec curseur de fermetĂ© pour assouplir ou durcir Ă  votre convenance certaines zones. Le sommier de relaxation avec des lattes offre par contre un soutien plus ferme. Mais, vous pouvez rĂ©gler la mobilitĂ© des lattes toujours grĂące Ă  des curseurs de fermetĂ©. Vous l’aurez compris, le sommier est d’une importance capitale en matiĂšre de literie. Tout comme le matelas, la housse de couette et le linge de lit en gĂ©nĂ©ral, il participe Ă  la qualitĂ© du sommeil. Pour le choisir, vous devez alors vous assurer qu’il soit adaptĂ© Ă  votre morphologie, mais aussi au type de matelas. N’hĂ©sitez pas Ă  demander des conseils auprĂšs des vendeurs ; votre santĂ© en dĂ©pend largement. Il serait dommage de faire face Ă  des problĂšmes de dos et de ne pas profiter de nuits rĂ©paratrices. Et le dĂ©co? autrefois un Ă©lĂ©ment soit invisible en fer, soit un meuble Ă  part entiĂšre, les sommiers peuvent donner une touche cosy Ă  la chambre Ă  coucher. Son choix est donc Ă  mettre en parallĂšle avec l’ambiance gĂ©nĂ©rale dĂ©sirĂ©e dans la chambre Ă  coucher Quel sommier choisir? Le sommier est Ă  choisir en fonction du budget mais surtout du confort. Sommier Ă  lattes, pour matelas Ă  ressort ou en mousse, le choix est diffĂ©rent. La hauteur du sommier compte aussi. Un sommier 180×200 encombrera bien plus la piĂšce qu’un sommer 160×200 cm. LE linge de lit sera plus grand aussi donc plus cher. Chacunecomprend deux chambres avec deux grands lits indĂ©pendants, ce qui fait de cette option de camping l’option idĂ©ale de logement pour quatre personnes, et la meilleure option de camping avec des enfants. Ces tentes disposent d’une cuisine Ă©quipĂ©e avec deux feux, un rĂ©frigĂ©rateur, et des ustensiles de base, un salon avec table et le kit hebdomadaire de draps et de serviettes
Les draps jumeaux extra-longs conviennent Ă  la plupart des lits d'hĂŽpitaux. La longueur supplĂ©mentaire est nĂ©cessaire car la plupart des lits d'hĂŽpitaux sont rĂ©glables, permettant au patient de relever et d'abaisser Ă  la fois le pied et la tĂȘte du lit pour plus de confort lors de les problĂšmes de santĂ© nĂ©cessitent un positionnement spĂ©cial du lits d'hĂŽpitaux sont conçus pour la sĂ©curitĂ© et le confort, avec des barriĂšres latĂ©rales disponibles et la possibilitĂ© d'abaisser le lit plus prĂšs du sol afin que le patient puisse ĂȘtre retirĂ© facilement du lit. Les matelas lavables aident le soignant Ă  maintenir un environnement hygiĂ©nique et confortable pour les personnes confinĂ©es dans un lit. Les barres de trapĂšze, les cales en mousse et les surmatelas peuvent Ă©galement augmenter le niveau de confort du lit. D'autres articles intĂ©ressants
Etquand vous revenez à la maison, le drap de plage sÚche en un rien de temps. 6. Pour protéger un canapé. Avec un chat ou des enfants à la maison, les canapés et fauteuils sont souvent mis à rude épreuve. Pour les protéger des coups de griffes et des taches, mettez un vieux drap par-dessus le canapé ou le fauteuil.
Echelle de corde pour lit L'échelle de lit permet aux personnes alitées de se redresser ou s'asseoir dans le lit Les cordes se fixent autour des pieds du lit Convient pour lit simple et double Caractéristiques de l'Echelle de corde pour lit Taille des échelons longueur 20 cm, diamÚtre 2,5 cm, espacement 18 cm Longueur de la corde 3 m Poids 285 grammes Charge max. supportée 114 kg Avis soumis à un contrÎle Avis affichés par ordre chronologique Nombre d'Avis 9 Note du produit / 5 Florence 30/10/2021suite à une commande du 26/10/2021 5/5TrÚs efficaceJean-Luc 10/10/2020suite à une commande du 04/10/2020 3/51234Jean-Claude 30/08/2020suite à une commande du 18/08/2020 5/5Solide, je m'y suis repris à deux fois pour qu'elle soit bien positionné, en réglant la longueur de l'attache. Pratique pour s'assoir dans le lit. Complément à la 21/02/2020suite à une commande du 07/02/2020 5/5TrÚs bien, correspond aux attentesAndree 11/10/2019suite à une commande du 06/10/2019 5/5Une idée toute simple pour une aide efficaceJanine 27/05/2019suite à une commande du 19/05/2019 4/5Bon produitAnonyme .le 16/01/2018 4/5Montage simple , répond à mon attenteAnonyme .le 06/01/2018 3/5Bonne idée mais un petit doute sur la solidité
Lesdraps jumeaux extra-longs conviennent Ă  la plupart des lits d'hĂŽpitaux. La longueur supplĂ©mentaire est nĂ©cessaire car la plupart des lits d'hĂŽpitaux sont rĂ©glables, permettant au patient de relever et d'abaisser Ă  la fois le pied et la tĂȘte du lit pour plus de confort lors de les problĂšmes de santĂ© nĂ©cessitent un positionnement
Il peut arriver un temps oĂč on a besoin, ou simplement envie, d’une maison plus grande. Il est aussi possible qu’on apprĂ©cie son quartier, son voisinage et qu’on ne veuille pas dĂ©mĂ©nager. C’est souvent Ă  ce moment qu’on se met Ă  songer Ă  faire agrandir sa maison. Il y a de nombreuses façons d’agrandir sa maison en fonction de ses besoins, que ce soit par l’ajout d’un solarium, l’ajout d’un Ă©tage, l’ajout d’un garage, en faisant construire une rallonge de maison ou un garage avec une piĂšce au-dessus. Peu importe son projet, il est important de suivre les Ă©tapes d’un projet d’agrandissement afin que tout se passe bien. Projet Gagnon – Agrandissement Étape 1 Les rĂšglements de la municipalitĂ© Avant de trop s’investir dans un tel projet, il est important de vĂ©rifier la faisabilitĂ© de celui-ci. Chaque municipalitĂ© a sa rĂšglementation et on doit s’assurer que notre projet est possible. Au final, le bureau d’urbanisme de la municipalitĂ© devra approuver les plans du projet. Il est possible de contacter le service d’urbanisme de sa municipalitĂ© par tĂ©lĂ©phone, mais il est recommandĂ© de s’y prĂ©senter en personne muni de son certificat de localisation et de quelques photos de la propriĂ©tĂ©. Il sera alors possible d’y prĂ©senter une idĂ©e globale de ce qui est projetĂ© comme agrandissement et obtenir un avis sur la faisabilitĂ© de son projet ou encore proposer des solutions alternatives. Guide de rĂ©novation d’agrandissement L’étape cruciale en rĂ©novation? La planification. Apprenez tout sur les agrandissements avec ce guide et planifier votre rĂ©novation avec succĂšs. Étape 2 Les plans de l’agrandissement Une fois qu’on sait qu’il est possible de rĂ©aliser le projet, vient ensuite l’étape des plans, qui sont Ă  la base de tout projet d’agrandissement. Les plans sont nĂ©cessaires pour faire approuver le projet Ă  notre municipalitĂ© et obtenir le permis nĂ©cessaire, mais aussi pour faire soumissionner des entrepreneurs. Certains proposeront de faire les plans, mais c’est un pensez-y-bien, puisqu’on sera alors, en quelque sorte, prisonnier » de cet entrepreneur qui sera le seul Ă  avoir les copies des plans de construction. Il est donc fortement recommandĂ© de faire appel Ă  un architecte ou un technicien en architecture indĂ©pendant pour la rĂ©alisation de ses plans d’agrandissement de maison. Un conseiller de RĂ©noAssistance peut nous recommander les meilleurs technologues et architectes spĂ©cialisĂ©s en plan d’agrandissement de maison, ainsi que les professionnels les mieux placĂ©s pour rĂ©aliser les travaux, et ce, sans frais ni aucune obligation. Le professionnel pourra analyser nos besoins, notre environnement, les contraintes, nous proposer des matĂ©riaux et dessiner des plans conformes Ă  la rĂšglementation en vigueur. Pour connaĂźtre la diffĂ©rence entre un architecte et un technologue professionnel pour la rĂ©alisation de vos plans, lisez notre article Architecte vs technologue professionnel en architecture lequel choisir? Projet Leclerc – Agrandissement Étape 3 La sĂ©lection de l’entrepreneur Une fois les plans en main, il sera le temps de trouver des entrepreneurs en agrandissement expĂ©rimentĂ©s pour rĂ©alier son projet. Un agrandissement est un investissement important et il est essentiel de travailler avec des entrepreneurs de confiance pour le rĂ©aliser avec succĂšs. Pour des conseils afin de trouver le bon entrepreneur pour notre agrandissement, on lit ceci Comment trouver le bon entrepreneur. Étape 4 La visite des entrepreneurs Il est important de rencontrer un minimum de trois entrepreneurs afin de nous aider Ă  dĂ©terminer avec qui on aimerait le plus travailler. C’est une belle occasion d’échanger avec eux et de connaĂźtre leur vision du projet. On aura ensuite le loisir de comparer les diffĂ©rentes propositions reçues avant d’arrĂȘter notre choix sur l’entrepreneur qui correspond le mieux Ă  nos attentes. Un agrandissement est un projet de longue haleine et il y aura beaucoup d’interactions et de temps passĂ© avec l’entrepreneur gĂ©nĂ©ral sĂ©lectionnĂ©. Il est donc essentiel de bien s’entendre avec lui et de bien l’évaluer afin de maximiser les chances que tout se passe bien. Pour savoir quoi demander Ă  son entrepreneur, on lit ceci 13 questions essentielles Ă  poser Ă  un entrepreneur et vĂ©rifications Ă  faire. Étape 5 La comparaison des soumissions Une fois les entrepreneurs rencontrĂ©s, ils pourront soumissionner sur le projet. Les soumissions pour un projet d’agrandissement de maison peuvent prendre plusieurs jours Ă  prĂ©parer. L’entrepreneur gĂ©nĂ©ral doit obtenir des prix de plusieurs entrepreneurs spĂ©cialisĂ©s Ă©lectriciens, plombiers, couvreurs, maçons, etc. et fournisseurs pour entre autres les fenĂȘtres et le plancher, calculer le prix de tous les matĂ©riaux et fournitures requises, calculer ce qui est requis pour la protection des lieux et l’enlĂšvement des dĂ©chets, ainsi qu’évaluer le temps de main-d’oeuvre. Ce n’est donc pas une mince tĂąche pour eux. On demande Ă  avoir des soumissions dĂ©taillĂ©es afin de pouvoir les comparer et savoir oĂč va aller notre argent. Une soumission dĂ©taillĂ©e est aussi trĂšs pratique quand vient le temps de contester des extras qu’on pensait inclus par exemple. On s’assure qu’elles comportent les 5 points essentiels d’une soumission. Si on fait affaire avec RĂ©noAssistance, notre conseiller pourra nous aider Ă  comprendre nos soumissions et les comparer, sinon on prend le temps de vĂ©rifier les diffĂ©rences entre les soumissions reçues et on n’hĂ©site pas Ă  poser des questions. Projet Weber – Agrandissement Étape 6 Le choix de l’entrepreneur Si on a bien sĂ©lectionnĂ© les entrepreneurs Ă  l’étape 3, on devrait maintenant avoir tous les Ă©lĂ©ments en main pour prendre sa dĂ©cision et choisir l’entrepreneur qui rĂ©alisera son agrandissement. Une fois la dĂ©cision prise, on peut passer Ă  l’étape de la signature de contrat. Étape 7 La signature du contrat Dans un projet comme un agrandissement de maison, le contrat est d’une importance capitale. Il peut faire la diffĂ©rence entre un projet rĂ©ussi et un projet qui tourne au cauchemar. C’est ce bout de papier qui scelle l’entente entre l’entrepreneur gĂ©nĂ©ral et son client. On doit y trouver le dĂ©tail des travaux Ă  ĂȘtre effectuĂ©, les inclusions, les exclusions, la date de dĂ©but des travaux, la date prĂ©vue de fin des travaux, ce qui arrive en cas de retard, et bien plus. Plus il y aura de dĂ©tails en noir et blanc avant le dĂ©but du projet, moins il y aura de zones grises en cours de projet! On connait l’adage Les paroles s’envolent et les Ă©crits restent ». Pour voir ce qui devrait se retrouver sur son contrat, RĂ©noAssistance nous a prĂ©parĂ© une petite liste avec des cases Ă  cocher Guide de vĂ©rification entrepreneur et contrat. Étape 8 La rĂ©alisation des travaux Cette Ă©tape est souvent la plus exigente, car on doit vĂ©rifier l’avancĂ©e des travaux et s’assurer que le tout se passe bien. Il ne faut surtout pas hĂ©siter Ă  en parler avec notre entrepreneur si cela ne se dĂ©roule pas comme prĂ©vu dans le contrat et on n’accepte pas les extras les yeux fermĂ©s. Projet Carles – Agrandissement Étape 9 La rĂ©ception des travaux Les travaux sont finalement terminĂ©s et il est temps de signer l’attestation d’achĂšvement des travaux et d’effectuer le paiement final. Avant de signer ces documents, on s’assure que tous les travaux ont Ă©tĂ© effectuĂ©s conformĂ©ment au contrat. Votre projet d’agrandissement n’est pas commencĂ©? Pour trouver de l’inspiration et avoir une idĂ©e rĂ©aliste des prix reliĂ©s Ă  un projet d’agrandissement? Consultez la section Agrandissement maison de l’outil RĂ©no-Inspiration. Consultez notre article Les 5 raisons d’agrandir sa maison les plus communes pour connaĂźtre ce qui pousse les propriĂ©taires Ă  faire le grand saut. PrĂȘt Ă  passer Ă  l’action? Jetez un coup d’oeil Ă  ces conseils pour se prĂ©parer Ă  une rĂ©novation majeure. Un conseiller en rĂ©novation bĂ©nĂ©ficiant de milliers de projets d’expĂ©rience peut certainement ajouter de la valeur Ă  votre rĂ©novation et vous Ă©viter des erreurs coĂ»teuses. Que vous soyez Ă  la recherche des meilleurs architectes, technologues ou entrepreneurs pour un agrandissement, ajout de garage, de solarium ou d’étage, un conseiller en rĂ©novation se fera un plaisir de vous rĂ©fĂ©rer les meilleurs de l’industrie et de les mettre en compĂ©tition sur votre projet afin que vous obteniez les meilleurs, au meilleur prix possible. Appelez le 1 877 736-6360 ou remplissez le formulaire, c’est simple, sans frais, sans obligation. Un agrandissement rĂ©ussi, ça commence ici! Mis Ă  jour le 13 novembre 2018 lecoussin d'aide Ă  la levĂ©e mangar elk fonctionne de la mĂȘme façon que le coussin releveur mangar camel. positionnez la personne qui a chutĂ© sur le coussin en la maintenant pour assurer une meilleure stabilitĂ© puis gonflez le coussin pour ainsi pourvoir relever ou redresser la personne en toute sĂ©curitĂ©. il peut supporter jusqu'Ă  450 kg.
Rehaussement Malade assis dans un fauteuil Elle permet d'assoir en position correcte un malade qui a glissĂ© de son fauteuil. Le fauteuil est bloquĂ©. Les pieds du patient sont rapprochĂ©s. Seul Ambulancier de dos On se place derriĂšre le fauteuil, genoux en appui sur le siĂšge, les avants bras passent sous les aisselles du malade et on saisit ses poignets. On fait pencher le malade en avant. On tend les bras et on se porte en arriĂšre en s'aidant de l'appui des genoux. Le sujet glisse au fond du siĂšge et reprend une position correcte. ▷ Voir vidĂ©o Ambulancier devant Le patient porte ses mains su vos Ă©paules, L'appui de l'ambulancier se fait en cuiller sur une Ă©paule et la hanche opposĂ©. Soulever la personne en penchant la personne vers l'avant tout en amenant son bassin vers l'arriĂšre. A deux Ambulanciers sur le cĂŽtĂ© Les mains de la personne sont sur vos Ă©paules. Vos mains passeront sous les cuisses pour se rejoindre. Faire un mouvement coordonnĂ© de bascule Ă©paules en avant mais bassin vers le fond du fauteuil. Ambulanciers de face et de dos Ses mains sont sur son ventre Un ambulancier derriĂšre enlace la personne au niveau des aisselles. L'autre saisit les cuisses. Faire un mouvement coordonnĂ© pour dĂ©placer les fesses vers l'arriĂšre. Malade couchĂ© L'objectif est de remonter un malade qui a glissĂ© vers le fond du lit, pour le mettre en position demi -assise pour faciliter la prise d'un repas ou pour mieux installer un insuffisant respiratoire ou cardiaque. On pose les mains du malade sur son ventre, les 2 aides sont face Ă  face Ă  la tĂȘte du lit, chacun place une main sous chaque omoplate du sujet et rapprochent leur coude afin que la tĂȘte du malade puisse reposer dessus. Les 2 autres mains se rejoignent au raz des fesses. Quand les 2 aides sont prĂȘts, ils se dĂ©placent vers la tĂȘte du lit avec ce petit hamac naturel. On demande Ă  la personne de regarder son ventre, ce qui a pour effet de soulever sa tĂȘte. ▷ Voir photos Ifsi paca ▷ Voir vidĂ©o canadienne Rehaussement avec portique - Ne pas oublier de bloquer portique et lit - Demander au patient de prendre Ă  2 mains la poignĂ©e du portique ou Ă  dĂ©faut les avant-bras des ambulanciers en "arche" - Demander de flĂ©chir les genoux et de prendre appui sur les talons - Demander de tirer sur ses bras - Aider le patient Ă  se repositionner vers l'arriĂšre ▷ Voir vidĂ©o avec portique ▷ Voir vidĂ©o en arche Transferts Installer sur un siĂšge un patient Il faut toujours prĂ©parer le siĂšge, et le caler contre un mur prĂšs du lit, mettre chaussettes et chaussons pour qu'il ne glisse pas quand on l'aidera Ă  se mettre debout. Les freins sont bloquĂ©s. Ne peut se tenir debout On se tient, face au malade, genoux pliĂ©s le corps droit prĂšs du sujet. Le pied bloque les siens, pour Ă©viter qu'il glisse en se levant. On lui demande de se lever et on l'aide avec ses mains, en soutenant avant bras et aisselles. Quand les pieds touchent le sol on lui demande de se redresser et on l'aidera Ă  se tourner, sentir la chaise contre ses jambes et Ă  s'asseoir. On lui demande de plier hanches et genoux, pendant qu'il s'assoit. Peut se tenir debout On aide le malade Ă  s'asseoir sur le cotĂ© du lit, et il place ses bras sur nos Ă©paules. A 2 on le soulĂšve, sous les aisselles tout en se tenant les poignets sous ses cuisses. On fait porter notre poids sur la jambe la plus prĂšs du lit puis on soulĂšve ensemble en se redressant, et on le porte jusqu'au siĂšge. On plie les genoux et on le dĂ©pose. ▷ Voir vidĂ©o canadienne Recoucher un malade Le malade qui ne peut se tenir debout, est aidĂ© Ă  ĂȘtre au bord du siĂšge. On est accroupi prĂšs du sol, et on se tient par les poignets sous les cuisses du malade, notre main libre est sous le siĂšge. Dos avant, on le soulĂšve sous les cuisses en dĂ©pliant nos genoux et on maintient le dos ou les fesses du malade avec notre main libre. Passage d'une voiture Ă  un fauteuil roulant Tout d'abord il faut enlever les accoudoirs cotĂ© voiture et enlever les reposes pieds. Le fauteuil est installĂ© contre la voiture juste derriĂšre le siĂšge de la personne Ă  dĂ©placer, freins bloquĂ©s. La personne est assise au bord du siĂšge de la voiture, les 2 pieds serrĂ©s, posĂ©s sur le trottoir. On est devant elle, un pied est en avant pour caler ses pieds, le genou de l'autre jambe contre ses genoux. On plie nos genoux, le patient met ses bras autour de notre cou, on met nos mains derriĂšre son dos. Pour la soulever, on se lĂšve en mettant nos genoux en face des siens. On le tourne en le soutenant jusqu'Ă  ce qu'on soit face au fauteuil. Le patient doit ĂȘtre penchĂ© en avant, son buste contre le notre pendant qu'on l'installe dans le fauteuil, tout en contrĂŽlant le mouvement de ses hanches et de ses genoux avec nos genoux. On vĂ©rifie que le malade est bien assis dans le fond du fauteuil roulant, les pieds sur les reposes pieds. Quand on pousse le fauteuil, les coudes du malade ne doivent pas dĂ©passer pour Ă©viter qu'il ne se cogne. Pour passer une porte, il faut retourner le fauteuil et le passer en marche arriĂšre. Pour descendre une marche, retourner le fauteuil et faire d'abord descendre les roues arriĂšre. Pour monter une marche, il faut basculer le fauteuil en arriĂšre en appuyant sur le marche pied et on pose les roues avant sur la marche, avant de remonter les roues arriĂšres. Passage lit brancard Il se fera avec l'aide du malade si possible, en se faisant aider par d'autres personnes et en utilisant du matĂ©riel, tout en respectant les principes de manutention suppression des centres de gravitĂ© Ă©lan et contre poids dos droit utiliser les forces de la cuisse S'il s'agit d'un lit Ă©lectrique, il est rĂ©glĂ© Ă  la hauteur du brancard. En prĂ©sence d'une sonde urinaire avec poche, on vĂ©rifiera que celle ci est bien dĂ©tachĂ©e, la sonde clampĂ©e lors du transfert puis dĂ©clampĂ©e et la poche remise en position dĂ©clive c'est Ă  dire en dessous du niveau du lit ou du brancard. On tiendra la poche qui ne doit "pendre". ◁ Revoir sonde urinaire M2 Une perfusion n'est JAMAIS fermĂ©e, un aide gardant la perfusion en hauteur pendant le transfert. Un porte sĂ©rum est immĂ©diatement disponible. Il ne faut pas poser la perfusion entre les jambes du patient comme on le rencontre, hĂ©las" souvent. ◁ Revoir perfusion M2 On doit au prĂ©alable - rapprocher lit et brancard au plus prĂšs - Enlever les barriĂšres du lit en appuyant sur le bouton et les abaisser attention de ne pas se blesser un doigt. - Enlever la barriĂšre du brancard cĂŽtĂ© du lit. - Mettre le lit Ă  la hauteur du brancard - Bloquer les freins du lit et du brancard lorsque les 2 sont accolĂ©s. Principes Planche de transfert Ă  plusieurs avec le drap avec potence lit Ă  distance On peut se servir d'aides alĂšze, potence, planche, drap permettant de faire glisser le patient Mais sur le plan propretĂ©, il est prĂ©fĂ©rable de prendre uniquement le patient sans ce qu'il y a en dessous! C' est un excellent matĂ©riel qui permet de faire glisser plus facilement le malade du brancard au lit ou vice versa. Il faut expliquer Ă  la personne transportĂ©e la manoeuvre. - Mettre le patient en dĂ©cubitus latĂ©ral en tirant conjointement sur son Ă©paule et son bassin - Puis glisser la planche de transfert sous le bas - Remttre la personne Ă  plat dos bien au milieu de la planche - Tirer l'ensemble patient-planche tout gardant le dos droit bien bloquĂ©, jambes lĂ©gĂ©rement flĂ©chies avec appui sur le lit - Le thorax devrait sensiblement basculer ver l'arriĂšre et non pas approcher du patient - Repositionner le lit Ă  la bonne hauteur - Enlever la planche en basculant Ă  nouveau le patient - Ne pas oublier de remettre les barriĂšres de sĂ©curitĂ© - Installer le malade en bonne position selon sa maladie voir page suivante - Lui donner sonnette et tĂ©lĂ©commande - Lui demander ses besoins On n'oubliera pas de la dĂ©sinfecter Ă  l'aide d'un spray avant et aprĂšs usage - la moitiĂ© de l'Ă©quipe se positionne d'un cĂŽtĂ© du lit - l'autre partie du cĂŽtĂ© du brancard - cĂŽtĂ© lit mains positionnĂ©es sous la tĂȘte et le bassin - si plus nombreux se rĂ©partir buste, pieds... - dos droit, bras verrouillĂ©s - soulever et translater vers le brancard - l'autre Ă©quipe en mĂȘme position rĂ©cupĂšre la personne - transfert coordonnĂ© "attenntion pour lever, lever, attention pour transfĂ©rer, transfĂ©rer, poser" - ce n'est pas la meilleure mĂ©thode - pratique mais pas hygiĂ©nique - valable avec un vrai drap et non pas avec un Ă  usage unique - oblige Ă  une gestion des draps avec les services d'hospitalisation rien de plus dĂ©sagrĂ©able de voir des draps marquĂ©s du logo d' un Ă©tablissement - postion face Ă  face pour prendre de chaque cĂŽtĂ© le drap puis soulever et translater - manoeuvre parfois un peu brutale et le dos rond - risque d'ĂȘtre parfoise douloureuse - c'est le patient qui fait le travail - demande explications - traction Ă  2 mains de la potence - soulevement des fesses et translation - aide du rĂ©ceptionniste Le lit est Ă  distance du brancard. Il faut utiliser la mĂ©thode de la cuiller en plaquant le patient dans ses bras Ă  2 minimum et le porter pour le dĂ©placer . La personne peut prendre appui avec un bras entrelacant la taille de l'ambulancier et l'autre l'Ă©paule. ▷ Voir fiches transfert site l'ambulancier pour les nuls Relevage DĂ©finition Le relevage a pour but d'installer un blessĂ© ou une personne victime d'un malaise sur un brancard sans l'aggraver. C'est l'ensemble des gestes coordonnĂ©s et prĂ©cis assurant le dĂ©placement d'un patient en toute sĂ©curitĂ©. Il ne faut aucune prĂ©cipitation. Ces gestes doivent ĂȘtre rĂ©alisĂ©s par des professionnels et si possible en nombre. Ils sont fonction - du poids - de la maladie ou du traumatisme - du nombre de secouristes - de l'environnement Sauf danger, le dĂ©gagement n’est pas la prioritĂ© et nĂ©cessite une technique parfaite qui demande du monde. La prĂ©sence des pompiers est indispensable . Il faut donc que tout ce monde soit rĂ©uni. Il faut rester trĂšs thĂ©orique et pratiquer systĂ©matiquement les gestes de dĂ©gagement appris mĂȘme si le bilan semble rassurant. Le premier bilan lĂ©sionnel est toujours imparfait, on n’est pas Ă  l’abri de fracture du rachis dĂ©couverte qu’aprĂšs radiographies. Des gestes maladroits peuvent entraĂźner des paralysies dĂ©finitives. On ne devrait plus voir de blessĂ© soulever brutalement par les bras et par les pieds, puis transporter Ă  toute vitesse avec renfort de klaxons. Elle dĂ©bute par la prise en masse du blessĂ© en respectant la rectitude de l’axe tĂȘte-cou-tronc. En aucun cas le malade doit ĂȘtre pliĂ© par la prise spontanĂ©e par les bras et par les jambes. Le passage du lieu de la dĂ©tresse au brancard recouvert d’un matelas coquille se fait par les mĂ©thodes classiques de brancardage. C’est le brancard qui va au blessĂ© et non pas le contraire!!! Au prĂ©alable Un bilan des fonctions vitales vĂ©rifiera que toutes les constantes sont stables. Le bilan traumatique est nĂ©gatif, en cas de malaise avec chute poignets et hanches intactes. Principes Il faut remuer le moins possible le blessĂ© sous peine d'aggravation des blessures comme une compression nerveuse ou vasculaire. Cela permet d'Ă©viter l'apparition d'une douleur source d'aggravation du choc traumatique. Position stable Il faut toujours soulever le blessĂ© en ne flĂ©chissant pas sa colonne vertĂ©brale mais au contraire en flĂ©chissant les genoux sans s'asseoir sur les talons puis Ă©lever les membres infĂ©rieurs colonne bloquĂ©e, les bras seront toujours tendus. La respiration est bloquĂ©e, le ventre contractĂ©. Ce mouvement est rĂ©alisĂ© avec un bon Ă©quilibre terrain stable, chaussures plates et membres inferieurs Ă©cartĂ©s. Bonne prise Il faut avoir une bonne prise afin de ne pas lĂącher le blessĂ©. Le mieux est de glisser les mains sous l'individu, la prise par les vĂȘtements est Ă  Ă©viter. L'efficacitĂ© est maximum si la prise a lieu le plus prĂšs possible du sauveteur donc pieds prĂšs de la charge, Ă©cartĂ©s et dĂ©calĂ©s Ă©paules effacĂ©es. Mouvements Il faut Ă©viter les mouvements heurtĂ©s, saccadĂ©s, les manipulations en plusieurs fois sans ordre, ni efficacitĂ©. On doit toujours respecter l'axe tĂȘte-cou-tronc-jambes quelque soit l'Ă©tat du blessĂ©, avec Ă©ventuellement traction prudente du cou. Le pire serait la prise immĂ©diate du blessĂ© par les aisselles et les pieds. C'est le brancard qui va au blessĂ© et non pas le contraire. Equipe Il faut toujours travailler en Ă©quipe, avec un chef donnant des ordres permettant une bonne coordination des gestes sans brusquerie. Il faut ĂȘtre en nombre suffisant, et utiliser la mĂ©thode adaptĂ©e Ă  la victime et Ă  la situation. Bonne rĂ©partition de la charge La charge est rapprochĂ©e au maximum des porteurs. Risques Tout risque de chute de la victime lors de son relevage est Ă©vitĂ© si la technique est correctement choisie et exĂ©cutĂ©e. Le respect des rĂšgles de manutention Ă©vite Ă  l'Ă©quipier de se blesser pendant la manoeuvre. MĂ©thodes Le relevage varie avec le nombre d'intervenants plus ils sont nombreux, plus la technique est sĂ»re et selon l'Ă©tat clinique. En rĂ©sumĂ©, la technique utilisĂ©e est fonction des critĂšres Malade poids, maladie ou traumatisme, appareillage StabilitĂ© circulatoire ou non Ambulancier Nombres, force, capacitĂ© Environnement espace, obstacle, distance MatĂ©riel Ă  disposition MĂ©thode de la cuilliĂšre Un libre accĂšs autour de la victime est indispensable. Il nĂ©cessite 3 sauveteurs. AprĂšs avoir accĂ©dĂ© facilement au malade, 2 sauveteurs prennent le malade du mĂȘme cĂŽtĂ© en le soulevant aprĂšs avoir glissĂ© les bras sous le dos. Le troisiĂšme aide de l'autre cĂŽtĂ© avec les mĂȘmes gestes, mais les 2 autres sont les porteurs. AprĂšs avoir soulevĂ© la victime, on plaque la personne contre son torse puis on se dĂ©place jusqu'au brancard. L'aide peut aussi pratiquer d'autres gestes comme la mise en place du brancard. C'est la seule mĂ©thode oĂč les sauveteurs n'enjambent pas la victime. Cette mĂ©thode est surtout utile si le brancard n'est pas Ă  courte distance dans l'axe de la victime. Elle est utilisable pour transferer une victime du lit sur un brancard ou d'un brancard au lit. â–œâ–ł DĂ©tails de la mĂ©thode de la cuilliĂšre Ref PSE2â–œâ–ł Ref PSE2 PrĂ©parer le brancard et le placer permepndiculairement au niveau du pied du lit, si c'est possible. Si le brancard est Ă©quipĂ© de pieds, les dĂ©ployer pour le mettre Ă  hauteur et bloquer ses roues Se placer sur le cĂŽtĂ© du lit, un Ă©quipier Ă  la hauteur des Ă©paules, le deuxiĂšme Ă  la hauteur des hanches, le troisiĂšme Ă  la hauteur des genoux. Engager les avant-bras sous la victime comme pour la cuillĂšre. Le premier Ă©quipier soutient d'un bras l'ensemble tĂȘte-nuque » et s'appuie, de sa main, sur l'omoplate opposĂ©e ; De l'autre main, il soutient le haut du thorax. Le deuxiĂšme Ă©quipier place un avant-bras sous la taille, l'autre sous le haut des cuisses. Le troisiĂšme place un avant-bras sous le haut des jambes, l'autre sous les chevilles. Au commandement, soulever la victime et la plaquer contre soi tout en se penchant lĂ©gĂšrement en arriĂšre pour Ă©quilibrer la charge Au commandement, se lever puis se reculer en faisant quelques pas, si nĂ©cessaire, s'approcher du brancard et s'arrĂȘter le long de celui-ci. Au commandement, rabattre dĂ©licatement la victime et la poser d'un bloc sur le brancard. Commandements L'Ă©quipier 1 qui est Ă  la tĂȘte de la vcitime " Etes-vous prĂȘt ?" Les autres Ă©quipers secouristes "PrĂȘt !" L'Ă©quipier 1 "Attention pour lever...lever!" L'Ă©quipier 1 "Plaquez...debout...reculez...avancez...arrĂȘter!" L'Ă©quipier 1 "Poser !" MĂ©thode du pont Ă  3 porteurs Les sauveteurs doivent enjamber la victime qui sera soulevĂ©e en un bloc et dans l'Ă©tat, c'est Ă  dire mĂȘme en PLS prĂ©alable. Le brancard Ă©tant situĂ© tout Ă  cotĂ© d'un pied des sauveteurs. Le secouriste placĂ© aux pieds soutient les membres infĂ©rieurs, en mettant une main sous l'extrĂ©mitĂ© infĂ©rieure des cuisses et l'autre sous les chevilles, ou bien en saisissant les 2 chevilles chacune avec une main ou le bas du pantalon. La victime est soulevĂ©e et c'est le brancard qui vient Ă  elle. Le blessĂ© ne doit pas avoir de risque de fracture du rachis. Elle est utile pour installer sur un brancard une personne victime d'un malaise. â–œâ–ł DĂ©tails de la mĂ©thode du pont simple Ref PSE2â–œâ–ł Ref PSE2 Disposer le brancard dans l'axe de la victime, si possible au niveau des pieds. Un aide assurera son glissement sous la victime, au commandement ; Se placer en pont », les jambes suffisamment Ă©cartĂ©es au-dessus de la victime passage du brancard, ramener les avant-bras sur son tronc ; ƒ L'Ă©quipier de tĂȘte, le chef de brancard, glisse une main sous l'ensemble tĂȘte-nuque » du blessĂ©, l'autre entre les omoplates ; ƒ Les 2 autres Ă©quipiers se placent face Ă  l'Ă©quipier de tĂȘte, pieds lĂ©gĂšrement dĂ©calĂ©s et s'accroupissent en gardant le dos plat ; ƒ L'Ă©quipier situĂ© au pied de la victime saisit les chevilles ; ƒ L'Ă©quipier du milieu engage ses mains sous la taille de la victime ou saisit les parties latĂ©rales de la ceinture du pantalon, si elle est solide. Au commandement, pour les porteurs, se relever en gardant le dos plat et soulever suffisamment la victime pour permettre le passage du brancard ; Au commandement, pour l'aide, glisser le brancard entre les jambes des Ă©quipiers, sous la victime ; Au commandement, pour les porteurs, reposer doucement la victime sur le brancard ; Se dĂ©gager sans heurter la victime. Commandements L'Ă©quipier 1 qui est Ă  la tĂȘte de la vcitime " Etes-vous prĂȘt ?" Les autres Ă©quipers secouristes "PrĂȘt !" L'Ă©quipier 1 "Attention pour lever...lever!" L'Ă©quipier 1 "Envoyez le brancard !" L'Ă©quipier 1 "Halte au brancard !" L'Ă©quipier 1 "Poser !" MĂ©thode du pont Ă  4 porteurs dit "amĂ©liorĂ©" C'est la mĂȘme technique, mais un sauveteur maintient en traction la tĂȘte et le cou . MĂ©thode du pont nĂ©erlandais Ă  3 Ă©quipiers Utile lorsque le brancard n'est pas dans l'axe mais le long parallele du corps. Le sauveteurs enjambent la victime et le brancard par un grand Ă©cart. Elle n'est pas recommandĂ©e en cas de doute sur le rachis et l'Ă©quilibre des sauveteurs est instable. ▷ Voir vidĂ©o par Ifremmont â–œâ–ł DĂ©tails de la mĂ©thode du pont nĂ©erlandais Ref PSE2â–œâ–ł Ref PSE2 Disposer le brancard le long du coprs de la victime, s'il a des roulettes, les bloquer Se placer en pont , les jambes Ă©cartĂ©es au-dessus de la victime et ramener ses avant-bras sur le tronc Les Ă©quipiers des 2 extrĂ©mitĂ©s se placent les premiers et se font face. Ils mettent chacun un pied Ă  l'intĂ©rieur de la poignĂ©e de la hampe qui est contre la victime ; ƒ L'Ă©quipier du milieu s'appuie sur l'Ă©paule de l'Ă©quipier de tĂȘte, enjambe la victime et pose son pied sur le milieu de la hampe extĂ©rieure, sous la couverture ; ƒ L'Ă©quipier de tĂȘte glisse une main sous la nuque du blessĂ© et l'autre entre les omoplates ; ƒ L'Ă©quipier situĂ© au pied de la victime saisit les chevilles ; ƒ L'Ă©quipier situĂ© au milieu, engage ses mains sous la taille ou saisit les parties latĂ©rales de la ceinture du pantalon, si elle est solide. Au commandement, se relever en gardant le dos plat, soulever le blessĂ© et le dĂ©placer latĂ©ralement au-dessus du brancard ; Au commandement, poser la victime doucement sur le brancard ; Se dĂ©gager sans heurter la victime. Commandements L'Ă©quipier 1 qui est Ă  la tĂȘte de la vcitime " Etes-vous prĂȘt ?" Les autres Ă©quipiers secouristes "PrĂȘt !" L'Ă©quipier 1 "Attention pour lever...lever!" L'Ă©quipier 1 "Poser !" MĂ©thode du pont nĂ©erlandais Ă  4 Ă©quipiers Cette technique permet de maintenir efficacement l'axe tĂȘte-cou-tronc ou de pouvoir relever une victime lourde. Une cinquiĂšme personne peut ĂȘtre utilisĂ©e pour faire glissser le brancard sous la victime lorsque cela est nĂ©cessaire . â–œâ–ł DĂ©tails de la mĂ©thode du pont nĂ©erlandais Ă  4 Ref PSE2â–œâ–ł Ref PSE2 Disposer le brancard le long du corps de la victime ; s'il a des roulettes, les bloquer ; - Se placer au-dessus de la victime et ramener ses avant-bras sur le tronc - Equipier 1 le chef de brancard est placĂ© Ă  la tĂȘte de la victime qu'il maintient par une prise latĂ©ro-latĂ©rale, le genou cĂŽtĂ© brancard Ă  terre, Ă  l'intĂ©rieur des deux hampes du brancard et contre la poignĂ©e pour la caler ; - Equipier 2 prendre position au niveau des pieds, et placer le pied cĂŽtĂ© brancard Ă  l'intĂ©rieur des poignĂ©es de maniĂšre Ă  les bloquer ; - Equipier 3 se placer debout, au niveau du bassin de la victime, et faire face au quatriĂšme Ă©quipier placĂ© au niveau des Ă©paules ; - Equipier 3 s'appuyant sur l'Ă©paule du quatriĂšme, un pied contre la victime, enjamber cette derniĂšre et le brancard pour poser l'autre pied sur la hampe opposĂ©e et dĂ©gagĂ©e de la couverture ; - Equipier 4 s'appuyant sur l'Ă©paule du troisiĂšme, enjamber Ă  son tour la victime et le brancard pour placer son pied sur la hampe dĂ©gagĂ©e de la couverture. Engager ses mains sous les Ă©paules de la victime ; - Equipier 2 se situer aux pieds de la victime et saisir les chevilles ; - Equipier 3 engager ses mains sous la taille ou saisir les parties latĂ©rales de la ceinture, si elle est solide; Au commandement, se relever en gardant le dos plat, soulever le blessĂ© et le dĂ©placer latĂ©ralement au-dessus du brancard dans l'axe; Poser la victime doucement sur le brancard. Commandements L'Ă©quipier 1 qui est Ă  la tĂȘte de la victime Etes-vous prĂȘt ? » ; Les autres Ă©quipiers secouristes PrĂȘt ! » ; L'Ă©quipier 1 Attention pour lever... lever ! » ; L'Ă©quipier 1 Poser ! » ; Relevage couchĂ© Ă  2 avec un portoir souple Cette technique facilite l'installation de la victime sur un brancard et son transfert sur un autre brancard ou sur un lit. La personne sera progressivement "roulĂ©" sur le portoir Ă  condition que la rachis soit intact. â–œâ–ł DĂ©tails de la mĂ©thode avec portoir Ref PSE2â–œâ–ł Ref PSE2 La victime est allongĂ©e sur le dos. C'est une technique de roulement au sol de la victime, qui nĂ©cessite au minimum 3 Ă©quipiers secouristes. La manƓuvre est guidĂ©e par l'Ă©quipier secouriste qui est placĂ© Ă  la tĂȘte de la victime. - Equipier 1 Maintenir la tĂȘte de la victime par une prise latĂ©ro-latĂ©rale. La victime doit ĂȘtre maintenue les bras le long du corps, paumes des mains sur les cuisses ; - Placer l'alĂšse portoir de toile enroulĂ©e ou repliĂ©e sur elle-mĂȘme le long du blessĂ© ; - Equipiers 2 et 3 Ă©ventuellement 4 Se placer du cĂŽtĂ© du retournement, Ă  quelques centimĂštres du blessĂ©, au niveau du thorax, du bassin et des genoux de la victime ; - Equipiers 2 et 3 Ă©ventuellement 4 Saisir la victime du cĂŽtĂ© opposĂ© au retournement, au niveau de l'Ă©paule, du bassin et des membres infĂ©rieurs qui doivent rester alignĂ©s. La main opposĂ©e de la victime peut ĂȘtre bloquĂ©e contre le haut de la cuisse de la victime par la main d'un Ă©quipier secouriste ; - Equipiers 2 et 3 Ă©ventuellement 4 Sur les ordres de l'Ă©quipier 1, assurer, en tirant, une rotation de la victime sur son cĂŽtĂ©. La rotation de la victime se fait lentement et d'un bloc alors que l'Ă©quipier de tĂȘte accompagne le mouvement pour garder la tĂȘte du blessĂ© dans l'axe du tronc ; - Interrompre la rotation dĂšs que la victime est suffisamment tournĂ©e pour pouvoir glisser l'alĂšse portoir sous son dos ; - Equipier 3 Glisser l'alĂšse portoir le plus loin possible sous son dos s'assurer que l'alĂšse portoir est bien centrĂ©e sur la hauteur de la victime ; - Equipiers 2 et 3 Ă©ventuellement 4 Reposer la victime dĂ©licatement sur l'alĂšse portoir ; - Changer de position et reprendre les mĂȘmes positions de l'autre cĂŽtĂ© de la victime, exceptĂ© pour l'Ă©quipier de tĂȘte ; - Tourner la victime de l'autre cĂŽtĂ© ; - DĂ©rouler ou dĂ©plier l'alĂšse portoir ; - Reposer la victime sur l'alĂšse Commandements L'Ă©quipier 1 qui est Ă  la tĂȘte de la victime Etes-vous prĂȘt ? » ; Les autres Ă©quipiers secouristes PrĂȘt ! » ; L'Ă©quipier 1 Attention pour tourner... tourner ! » ; L'Ă©quipier 1 Glisser le portoir ! » ; L'Ă©quipier 1 En position ! » ; L'Ă©quipier 1 Attention pour tourner... tourner ! » ; L'Ă©quipier 1 DĂ©rouler le portoir ! » ; L'Ă©quipier 1 En position ! » ; L'Ă©quipier 1 Poser ! » ; Personne assise Ă  transfĂ©rer sur une chaise de transport L'installation d'une victime sur une chaise de transport rend plus facile son brancardage, notamment si l'Ă©quipe doit emprunter des escaliers ou un ascenseur. Pour ĂȘtre possible, il est indispensable que la victime puisse tenir la position assise et que cette position ne soit pas contre-indiquĂ©e. â–œâ–ł DĂ©tails de la mĂ©thode assis Ref PSE2â–œâ–ł PSE2 Cette technique est rĂ©alisĂ©e Ă  3 Ă©quipiers porteurs » - PrĂ©parer la chaise de transport et la placer sur le cĂŽtĂ© de la victime ; - Equipier 1 Maintenir la chaise de transport du cĂŽtĂ© opposĂ© Ă  la victime et se prĂ©parer Ă  rĂ©ceptionner la victime ; - Croiser les bras de la victime sur sa poitrine ; - Equipier 2 Se placer derriĂšre la victime. En glissant les avant-bras sous ses aisselles, saisir ses poignets opposĂ©s ; - Equipier 3 Se placer face Ă  la victime, lĂ©gĂšrement accroupi, un pied dĂ©calĂ© vers la chaise de transport et saisir les genoux de la victime en glissant ses avant-bras dessous ; Au commandement, se relever en gardant le dos plat, soulever la victime et la dĂ©placer latĂ©ralement au-dessus de la chaise de transport ; Poser la victime doucement sur la chaise ; l'Ă©quipier 1 aide Ă  la rĂ©ception de la victime ; Envelopper la victime avec le drap et la couverture et la sangler avant de la transporter. Autres mĂ©thodes Elles sont dĂ©crites dans le fascicule officiel PSE2 MinistĂšre intĂ©rieur ▷ Voir aussi dĂ©tails des diffĂ©rentes mĂ©thodes Wikipedia RĂ©sumĂ© Points clefs Toujours demander la participation du malade si possible Lui expliquer Aucune prĂ©cipitation Travailler en Ă©quipe avec coordination La relĂšve doit ĂȘtre douce et sans Ă -coup Ne pas prendre le drap lors d'un transfert Perfusion non clampĂ©e en hauteur Sonde urinaire clampĂ©e, poche dĂ©tachĂ©e RĂ©pertoire Recopier et dĂ©finir les mots suivants Rehaussement, transfert, relevage CompĂ©tences Ă  acquĂ©rir et noter en stage Les gestes et postures sont adaptĂ©s Ă  l'Ă©tat de santĂ© de la personne Le matĂ©riel est choisi de façon correcte Les mĂ©thodes de manutention pour le transfert ou le transport de la personne sont appliquĂ©es Conseil Le cours Ă  tĂ©lĂ©charger et les exercices quiz, test sont disponibles Ă  la fin du chapitre ou Ă  la page exercices
\nrelever une personne au sol avec un drap
YeEvd.
  • ttg7isn7ux.pages.dev/291
  • ttg7isn7ux.pages.dev/417
  • ttg7isn7ux.pages.dev/269
  • ttg7isn7ux.pages.dev/475
  • ttg7isn7ux.pages.dev/506
  • ttg7isn7ux.pages.dev/481
  • ttg7isn7ux.pages.dev/160
  • ttg7isn7ux.pages.dev/355
  • relever une personne au sol avec un drap